Au plus tu me demande de t'oublier, au plus je penserais a toi. Au plus tu me demande de ne plus t'aimer, au plus je t'aimerais encore plus.
Tu restera toujours le pire connard du monde mais pourtant j'arrive pas à te détester car j'ai enfin trouver l'autre moitié de mon âme. Pourtant, après tout ce que tu m'a fais, je devrais y arriver avec facilité. Mais non. Tu détiens mon cœur comme un putain de gardien de prison !
Et je t'en veux ! Je t'en veux d'avoir une telle emprise sur moi. Je t'en veux d'être grand, brun, maladroit, timide et charmant avec des yeux envoûtants. Je t'en veux de me rendre folle de toi, ta voix, ton rire, ton sourire, de tout ! Je t'en veux d'être ancré en moi comme ça...!
Tu sais je suis de ces filles mises de côté parce qu'étant tombée réellement amoureuse un fois, je suis tombée dans l'incapacité d'aimer un autre que toi. Et j'ai l'impression de ne pas pouvoir m'en sortir et pour cela mon cœur me crie d'en finir. Parce que je ne t'ai pas vraiment chercher tu m'es tombé dessus comme un putain d'ange déchu !
Alors depuis ce jour j'ai vraiment cru aux promesses et à toutes ces stupidités, j'ai cru que toi et moi ça pouvait fonctionner. J'ai cru que tu étais le bon. Tu résonnais dans ma tête comme un saleté de bourdon...
Et puis a vif tu m'a écorchée, enchainée... Tu ma détenue prisonnière de ton rire, de ton sourire, ta voix.. de toi, tout simplement. J'ai beau me battre contre ces chaînes enivrantes, je ne vois pas comment me débattre de cette foutue tourmente.
Comme possédée, tu hantes mes pensées. Me mettant dans une incapacité que personne ne saurais affronter. Alors je reste là, impuissante, pendant que tu déchire le "nous". Je ne sais pas ce que j'ai bien pu faire pour avoir mérité ça... Mais j'accepte ma sentence et souffre en silence.
J'ai perdu, oui, mais pourtant dieu sait que j'y ai cru... Le temps passait et moi j'étais encore là, telle une folle, à t'aimer. Puis les larmes coulent et le temps s'écoule... Tic.. Tac..
Personne ne peut me comprendre. Les mots sont déjà écrits, les phrases sont quasiment déjà toutes faites, personne ne comprendra jamais... On ne peux expliquer avec nos mots, parce qu'il n'y a que nos maux qui savent parler.
Je t'aime mais te déteste de m'avoir rendue ivre de toi !
C'est un combat sans fin, dans lequel on bat en vain car il suffira toujours d'un tir pour tous nous détruire.
T'étais pire qu'un rêve. Mais j'avais oublié, l'espace d'un instant, qu'ils avaient tous une fin...
#Moi
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No Let It Fall
PuisiCe recueil concentrera des poèmes, textes et citations de toutes sortes rédigés par moi même ou non (les sources seront citées) #Je suis responsable de ce que j'écris et non de ce que vous lisez# Aucuns copyright ne sera toléré sur mes écrits, mer...