Chapitre 8 : La disparition.

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Dans la même soirée Peter c'est fait une petite amie, Pierre. Comme toutes les personnes ici. Les trois mousquetaires essayent encore de savoir pourquoi tout le monde s'appelle Pierre ici. Mais apparement c'est un rituel ou une habitude. Ça vient automatiquement.

Peter et Pierre sont très attachés. Ils se sont rencontrés en se fonçant dedans, quand Peter jouer avec ses deux acolytes. Ils ont eu un coup de foudre si on puisque dire. Ils ont parlés, ils ont appris à ce connaître. Puis dans une cabane en haut des arbres, pour leur deuxième rencard, ils se sont embrassés. Et voilà, maintenant ils sortent ensemble.

Ça fait désormais quatre jours qu'ils sont ici. Christine remarqua qu'une des ces copines manquer à l'appel. Et elle remarqua que des cerveaux disparaissaient. Quant à Maurice il resté enfermer dans la petite maison à écouter du Claude François et en buvant du vin rouge. Il était au paradis.

Christine se rendit donc à la maison de son amie mais celle-ci avait elle aussi disparu. Christine paniqua et couru à la maison. Elle croisa Peter entrain de crier, et de s'affoler dans tous les sens dans la rue.

''- Pierre !! Pierre !! Où es-tu ? Répond moi ! Je t'en supplie !! Disait Peter en tournant sur lui même.''

Christine s'approcha de Peter et lui posa une main sur son épaule.

''- Pie- Oh ! Christine c'est toi ! S'exclama Peter déçu.
- elle a aussi disparu !? Demanda Christine, même si elle savait déjà la réponse.
- elle devait être la depuis des heures et je m'inquiète. Commença à paniqué Peter.
- tu ne trouves pas qu'il a des cerveaux qui disparaît Peter ? Mon amie Pierre à elle aussi disparu.
- Oh.
- on devrait aller voir Maurice et le prévenir. S'exclama Christine sûr d'elle. ''

Peter hocha la tête et ils partirent prévenir Maurice de la situation.

Quand Peter et Christine expliquèrent la situation, Maurice se mit en colère. Car il se doutait bien qu'il devait quitter ce petit paradis. Ou il avait tout ce qu'il désirait, vin rouge plus du Claude François.

Après que Maurice est fini de bouder et de faire sa crise comme un bébé. Ils font leur valise, ou plutôt leur sac à dos. Et ils quittèrent ce petit monde, par peur de disparaître eux aussi.

''- mais vous savez combien de temps on peut survivre seul dans ce monde inconnu plein de grand être ? Demanda Christine assez inquiète de ne pas pouvoir contrôler la situation.
- non. Répondit Maurice triste et en colère de ne plu pouvoir écouter du Claude François et de ne plu boire du vin rouge.
- et si elles étaient juste aller se promener ? Réfléchis Peter.
- Peter je pense qu'elle t'aurai prévenu. Répondit Christine. Bon aller trouvons nous un endroit où dormir. S'exclama Christine fatiguée. ''

Ils marchèrent jusqu'à trouver une éponge abandonnée. Ils s'installèrent dessus et ils s'endormirent paisiblement.

Le lendemain matin, ils reprirent la route, ils trouvèrent un marcher sur un parking. Ils volèrent un morceau de pain qu'ils se partagèrent à trois. Ils continuèrent jusqu'à trouver une porte avec un passage par une porte, c'est un petit passage pour les chats. Ils l'escaladèrent et ils rentrèrent.

Ils sont tranquille dans cette maison, jusqu'à qu'ils entendent de la musique. Ils avancèrent pour savoir d'où sa provient et ils poussèrent une porte pour percevoir un jeune homme âgé de 16 ou 17 ans, entrain de jouer à un jeu vidéo. Ils entrèrent et ils s'installèrent dans la niche au pied du lit, et ils passèrent le reste de la journée ici.

Le lendemain matin, Peter est le premier debout à cause des ronflements du garçon. Il se lève et grimpe sur le lit. Il se met au dessus de la tête du garçon et il joue avec ses cheveux.

Ce dernier bouge la tête et il se réveille, il hausse les sourcils.

''- salut ! S'exclama Peter en souriant.
- Aaaaahhhh !!!!! Cria le garçon. ''

Lea-Duval

Pierre.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant