Cet homme là

chapitre 5/ chez Oliver

Oliver en media
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Je gravis quatre à quatre l’escalier qui menait à la chambre d’amis. Je suis si impatient de voir celle que je chérissais.

Bon Dieu pourquoi elle a choisit cette chambre ? Sa place est dans la mienne.

Mais bon je comprends qu’elle n’ait envie de coucher dans ma chambre vu comment j’ai mis fin a notre petite séance de l’après midi.

Quand j’y repense j’ai la rage envers ma secrétaire, Michaela Brant de m’avoir interrompu de la sorte. J’étais enfin arrivé  devant la porte, je m’y attardais un peu. Je ne savais pas vraiment quelle attitude adoptée.

  « Mon vieux reprend toi » me fit une voix interrieurement.je frappai légèrement. Comme elle ne répondait pas je poussai la porte. Elle n’y était pas. Je l’interpelai puis elle me répondit depuis la salle de bain.
- bonsoir Oliver. me dit-elle en sortant de la douche.

Elle s’était enroulée dans une serviette beige et tout de suite ma mémoire remonte à quelques heures plutôt. Elle est si belle.

J’aurais aimé la prendre là maintenant a même le sol. Rien que d’y penser je sens mon membre ce dresser a travers mon jeans.
-est ce que ca va ? Questionna-t-elle avec une vague d’inquiétude dans les yeux.

Mon regard se perdit sur sa bouche. Si sensuelle … si douce.
Arrête de la regarder ainsi si non elle va prendre la poudre d’escampette.

-oui ca va. Répondis-je en essayant de calmer mes pulsions. Je voulais seulement…
Sans attendre je la plaquai au mur et je l’embrassai. J’adore le gout de ses lèvres. On dirait  du miel. Sa main descendit sur mon torse et je remonte sous mon cou. Cette fille va me rendre dingue.

Je continuai à l’embrasser mais je n’irai pas plus loin. Aujourd’hui quand j’ai failli lui faire l’amour avec elle, elle me regardait d’une étrange façon comme si elle voulait voir quelqu’un a travers moi.

Je maudis ce con qui a osé la faire souffrir. Si le téléphone n’avait pas sonné je lui aurais surement fais l’amour, ce qui ne m’aurait guerre déplu mais d’un autre coté je ne voulais pas avoir le rôle de doublure.

Je veux qu’elle m’aime moi pour ce que je suis et non pas pour remplacer l’autre crétin. Je la repoussai légèrement et je susurrai
-je voudrais bien aller plus loin mais j’ai décidé de ne pas brusquer les choses. Tu es encore fragile.

Elle hocha la tête et s’éloigna
-c’est vrai. Benh bonne nuit.
Putain elle va pleurer 
Je ne veux pas lui faire de mal.

Mon Dieu… je crois que je suis amoureuse de cette femme. Je me rapprochai d’elle et je posai une main sur ses épaules.
-tu es sure que ca va aller ?
Elle tourna vers moi, essuya ses yeux du revers de la main et ajouta
-bien sur que ca va aller. Je me sens comme Alice aux pays des merveilles.

Ce qui nous fait pouffer tous les deux. Je libérai un long soupir intérieurement. Elle était si adorable je suis si impatient de mieux la connaitre. Je lui souhaite bonne nuit et je file vers ma chambre.

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      Valérie en média
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Je regardai Oliver sortir de la chambre, il était si sur de lui. Je ravalai mes larmes. Putain je n’arrive pas à comprendre j’essaie de l’utiliser pour oublier Steven. Et je suis qu’il la comprit encore heureuse qu’il se soit arrêté à temps.

Que je suis bête.
Que vais-je devenir maintenant ? Je soupirai et je me dirigeai vers le dressing.

J’enfilai une nuisette rose et je me laissai tomber sur le lit. Ma vie avait pris une de ces tournures. D’un coté Steven me manque d’un autre quelque chose m’attire chez l’autre.