chapitre 3

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Coucou mes lecteurs adorés
Ce chapitre est un peu plus long j'espère qu'elle vous plaira. Bizou
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Elle me taquinait certainement alors je fis mine ne riens entendre.

Ma chambre était, tout ce qu’il y a de plus jolie. Il y a cette touche mystique par excellence, le violet. Bizarre c’est exactement ma couleur préférée. Comment elle a su ? 

Pas de temps pour les interrogations j’explore. Elle a ajouté une touche de vert dans les fenêtres. Il y a un fauteuil de de la même couleur, d’un lit avec le bois en forme de canapé de couleur marron contenant deux oreillers avec tissus mauves. Je m’affalai un instant sur le lit.

Cétait si doux et je me surprends à penser que si Gladis avait fait un pas vers moi tout serait différent. Je secouai la tête Non je ne dois pas laisser ces belles​ choses me tournai la tête. J’étalai mes affaires dans le dressing et je retournai me coucher  sur le lit en boule.

Je me sens si lasse de tout. J’aurai voulu avoir une vie meilleure, enfin être quelqu’un d’autre. Dans toute cette merdier j’oublai  maman Odette, cette mère adoptive qui m’a tout donné.

Elle était d’une physique maigrelette mais elle était une combattante une guerrière. Elle n’avait pas d’autre enfant.

Depuis mon plus jeune âge Gladis lui payait vingt dollars l’heure pour me garder ce  qui était assez maigre pour répondre à ses besoins à elle. Je revis tout comme un flash back.

J’étais âgée de 3 ans quand Gladis me laissa aux soins de maman.  Je me rappelle que mon père était mort aux états unis en janvier 1999 et que Gladis a commencé à me maltraiter juste après les obsèques. Elle ne voulait presque pas m’acheter de quoi me vêtir et c’est maman avec ce qu’elle gagnait qui m’habillait.

Je me  rappelle quand j’avais douze ans Gladis l’avait congédié pour une banal histoire de savon volé. Plus personne ne s’occupait de moi et Odette me manquait et Gladis ne m’accordait guère d’attention.

J’avais plutôt l’air d’une Sentaniz que l’air de la fille d'une femme assez fortuné. Alors j’ai ramassé  mes affaires et je partis la rejoindre. Nous étions pauvres et tant bien que mal elle faisait tout pour que je sois éduquée.

Ce n’est que le jour de mon vingt et unième anniversaire qu’elle mourut d’un cancer cérébral…

J’entendis frapper à la porte. C’était Victoria, elle apportait mon dîner
-alors tu es bien installé ? me demanda-t-elle en déposant le plateau sur la table de chevet
Je fis affirmative de la tête
-je suppose que tu sois fatiguée alors restaure toi un peu et repose toi. Dit-elle au bas de la porte.  Si tu as besoin de quoique ce soit appelle nous.

J’allai prendre un bon bain car j’en avais besoin. Je laissai l’eau fraîche coulée sur ma peau. C’était une sensation délicieuse. C’était comme si l’eau qui me coulait dessus emportait mes peines.

Tout de suite après le bain je décidai de porter une jupe à extrémité bouffante et un pull noir. Pour mes pieds j’optai pour des tongs noirs, mes cheveux encore humide je les laisses tomber sur mon dos. Je descendis rejoindre les autres. Mme Gaspard était parties, aucune signe de Victoria mais j’entendis la cadette s’affairer dans la cuisine. Aussitôt je la rejoignis.

La cuisine rétro bleu, de la même couleur que l’extérieure de la maison, contenait des boites, des sacs et des colliers vintages mignons. Elle comprend une grande table et des chaises en bois et une armoire vitré mais avec une touche a l’ancienne. C’est à ce moment que mon portable se mit à sonner ; c’était S.

Cet homme làOù les histoires vivent. Découvrez maintenant