Empika

Partie 1

1.

                  Les yeux vides, sans la moindre émotion, elle fixer les raillent sans les voir. L'événement d'aujourd'hui avait été la goutte d'eau qui avait fait déborder le vase de sa vie, de la longue souffrance qu'était son existence. À présent elle n'attendait plus qu'une chose et n'avait plus aucune hésitation, lorsqu'elle entendit arriver le train, elle fit un pas en avant tombant sur les raille avant de se faire percuter. Le klaxon, qui c'était fait entendre de loin ne pût l'arrêté.

* * *

Il était 8h à peine lorsque la douleur qu'il ressent dans sa poitrine fut tel qu'elle l'extirpa de ses doux songes, comme si son cœur c'était arrêter de battre. C'était ce genre de sensations que ressentait un sorcier lorsque l'un d'entre eux mourait, étant des immortelles ce genre de choses n'arrivait que rarement...Sauf en cas de guère entre les créatures obscures qui peuple ce monde, non pas qu'il y en est entre les différentes espèces, tout du moins pas depuis des siècles, est ça le sorcier pouvait parfaitement en attester.

C'était toujours ainsi, plus le sorcier était puissant et proche de celui qui mourait plus la sensation de perte ressenti était forte c'était là la connexion qu'ils avaient ne leur déplaisent. Étant donné que l'homme était l'un des plus grands sorciers de ce monde, l'un des plus vieux et surtout le plus investi envers sa race, il souffrit de cette perte comme si ce fut celle d'un proche. Il n'avait pourtant jamais rencontré la sorcière en question, il avait uniquement pu sentir sa magie s'évanouir mais il ne put mètre un visage sur celle-ci. Quelque part il se détestait d'être soulagé que ce ne sois personne qu'il connaissait, même si ça ne retirer rien à sa souffrance et son chagrin. Il reprit son souffle, son cœur ayant lui-même repris le rythme de ses habituels battements et tout en acceptant cette triste perte il se leva de son lit.

Sa nuit avait été courte et quand bien même il avait pu faire ce qu'il appelle une grâce mâtinée, il se sentait fatiguer, il avait fait, la veille, face à des problèmes personnels et avait dû sortir une créature obscure qu'il connaissait bien d'une mauvaise passe. Les différentes créatures obscures bien qu'ayant, encore aujourd'hui, du mal à trouver un terrain d'entente s'entraider de temps à autre, les plus ouvertes tout du moins. L'homme fessait parti de celle-là, bien qu'il soit, après toutes ces années, toujours du mal avec les fées, mais qui n'en avait pas, les vampires ne lui posaient aucun problème, lorsqu'ils étaient respectueux des lois bien entendus (enfin de plus importantes) et cela était rare, quant aux aux loup-garous il les appréciait plutôt bien.

Posé au-dessus de sa tête, son animal de compagnie n'avait pas apprécié que sont maîtres le déloge. Il était en train de lui caresser les cheveux, avec t'en d'application qu'il c'était même emmêlé dedans. C'était un magnifique Duani, une sorte de mélange entre un chat et un chien, au long poile et soyeux, son pelage bleu et verres d'eau rappeler à son maître les plus beaux fonds marins. Lorsque la créature se mettait en position d'attaque elle pouvait mesurer plus de deux mètres sur ses quartes pattes, sa queue fine avait en son extrémité une balayette de longs poilés qui luisaient comme les feux. En dehors de ça elle ne mesure que quelques centimètres lorsqu'elle était calme et c'était ainsi la plus par du temps, seule sa taille changeait, son physique rester le même devenant simplement plus mignon, les griffes de ses pattes n'en sortaient plus et ses crocs quant à eux devenaient de petites dents pointues. Le sorcier adorait les animaux et les d'anis apportaient de plus une protection supplémentaire, étant eux aussi des créatures de la nuit. Non pas que le sorcier en est réellement besoin mais il aimait savoir que quelqu'un veiller sur sa maison lorsqu'il s'absentait ou encore qu'il réfugier ses congénères, il aimer l'avoir en plus de ses barrières. Les siècles qu'il avait traversés jusque-là ne l'avaient pas rendu parano mais lui ont appris à se méfier et l'ont rendus quelque peut prudent. Il avait renommé affectueusement l'animal Mr. Dû, cela lui allait bien, c'était à la fois cour et Mignon. Avant de ce lever dans un geste gracieux, le sorcier avait donc pris soin de démêler Mr. Des de ses cheveux corbeau et de le prendre dans ses bras. Sa chemise de nuit en satin bleu ciel glissa le long de son corps pour se remettre droite et sans le moindre plis. Une fois que l'animal eut fini de ronronner aux caresses de son maître, ce dernier le reposa par terre puis il se dirigea vers sont armoires pour choisir une tenue.