Chapitre 2

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Après s'être calmer, on regarde le beau ciel bleu azur. On "s'amuse" à trouver les formes que prennent les nuages. On est là, étendue sur l'herbe, à attendre que le temps passe vite.

Donc en gros, ON S'EMMERDE À MORT. Il n'y a rien à faire. Donc je me disais que l'on devrait organiser une petite soirée chez moi. Donc, je propose :

Moi : Et si on fait une petite soirée chez moi ?

Lucas : T'as fumé de l'herbe à chat ou quoi ?

Moi *sarcasmes* : Non, juste du cannabis.

Oz : Je trouve que c'est une bonne idée. Mais il y a un problème : à cause du merdier que vous avez foutu, vous êtes punis, de sortis ou de soirée.

Moi : Oui, mais vois-tu, mon daron est en voyage d'affaire et il vient dans 8 jours. Donc c'est bon.

Oz et Lucas se regardent mutuellement. Ça se voyait qu'ils ne sont pas convaincus.

Moi : Eh bien, cachez votre joie. Vous en faites une tête.

Lucas *soupir* : Tu as vraiment un trou de mémoire. Souviens-toi de la fois où on a fait une "petite" soirée

Flash-back

Mercredi 18 juillet à 21h30

On avait fait une petite soirée chez moi. Comme mon père était à l'hôpital, et qu'il ne devait normalement pas rentrer avant 1 semaine, j'ai décidé de faire une teuf. Oz s'occupait de la musique, Lucas de la nourriture et moi du confort.

Une jeune fille brune m'emmena dans la chambre, m'embrassa et commença à me déshabiller. Que demander de plus devant cette magnifique nana.

Mais voilà, alors qu'on était en train de faire notre "sport", je vis par la fenêtre de ma chambre la voiture de mon père.

Je me rhabillait, m'excusa au près de la nana et descendit en trombe les escaliers. Je criai à tous de partir, mais personnes ne m'écoutaient. Oz et Lucas comprirent et m'aidèrent à les faire sortir.

Mais c'était peine perdue : mon père entra à l'intérieur de la villa.  Il fut vert de rage en voyant tout ce monde.

Papa : SI PERSONNE NE SORT D'ICI, JE VAIS VOUS FAIRE CONNAÎTRE L'ENFER SUR TERRE.

À ces mots, il n'avait pas fallu 30 secondes pour que tout le monde décampe d'ici.

Et bien sûr, Oz, Lucas et avions bien morflé.

Fin Flash-back

Moi : Oui, bon c'était une erreur de ma part.

Lucas : Une erreur que nous ne risquerons pas de refaire.

Alors qu'on se chamaille, je vois Oz se tenir le menton, l'air penseur.

Moi : À quoi penses-tu, Oz ?

Oz : Je suis d'accord pour faire une petite soirée.

Moi : Super ! Et donc ?

Oz : Et donc je vais appeler mon oncle et lui demander si on peut faire une fête chez moi.

Lucas/moi : SUPER ! 😀😀😀

Moi : Oh, tu sais que je t'aime toi.

Oz : rassure-moi, t'es pas gay.

Moi : VA TE FAIRE FOUTRE ET APPEL TON ONCLE OSCAR.

Il part en rigolant. Quel enfoiré, je vous jure. Deux minutes plus tard, il revient, la tête baissée et tremblant.

Moi : Alors ?

Oz : Et bien... C'est que. . .

Lucas : C'est que quoi ? Tu stresses. . .

Oz : Il... Il a dit...

Moi *sur les nerfs* : POUSSE UN PEU PLUS LOIN TA PHRASE ! ACCOUCHE !

Il me saute au cou. Il commence à relâcher son emprise. Huh ? Me dit pas que... IL RIGOLE ?

Oz *se tordant de rire* : Ô mon Dieu, vos tronches. . . Si seulement vous pouvez voir vos tronches. 😂😂😂😂

Il essaye tant bien que mal de parler mais c'est peine perdue. Au bout d'un moment, il reprend son souffle.

Oz *s'essayant les larmes* : ONCLE Oscar a accepté. On peut faire la fête dans 3 jours.

Moi : Ah super. . . 😥😥😥. Mais avant JE VAIS TE TUER. NE ME REFAIS PLUS JAMAIS ÇA.

Je lui cours après. Mais on rigole tellement qu'on a du mal à courir.

Au bout de quelques minutes, on décide de commencer les achats pour les préparatifs de fête.

Des amours de jumelles Où les histoires vivent. Découvrez maintenant