Chapitre 15

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PDV d'Alice

Depuis quelques jours maintenant, depuis notre discussion la nuit dernière, Léo ne met plus ses lunettes. Donc, ça donne ça :

(NDA : Pour ses yeux, ils ont toujours été verts

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(NDA : Pour ses yeux, ils ont toujours été verts. J'ai oublié de vous le dire au chapitre précédent 😅)

Ça lui vaut l'admiration des filles. Mais je dois avouer qu'il est canon. Mais je le considère comme mon frère. Et lui aussi. Enfin, je crois. . .

Aujourd'hui, on nous a dit qu'au mois de Novembre, on aura examen. Donc dû coup, on n'a plus de week-end. Enfin si, mais on ne sort pas pour faire du shopping ou autres. Si on sort, c'est pour chercher de l'aide pour nos révisions. Sinon, on reste dans nos chambres, à réviser, avec notre compagnon de chambre.
Ce qui veut dire que je vais rester dans ma chambre, avec Aloïs, tous les week-ends. 😧😧😧😧

Mais je ne m'en plaint pas. Au contraire. Depuis ce matin, Aloïs me parle normalement. Il me drague, certes, mais sans exagérer sur les compliments. On parle sérieusement, on est franc l'un vers l'autre.

Par contre, il y a une chose que je ne supporte pas : que Aloïs invite des jeunes filles dans NOTRE chambre !

Moi : Pourquoi ces jeunes filles sont-elles ici ?

Aloïs : Cela te dérange-t-il ?

Moi : À ton avis !? C'est pas possible de ce concentrer avec des filles qui gloussent comme des dindes qui se font plumer !

Fille n°1 : Hey ! On est là, nous. On existe.

Moi : Je m'en fout. C'est pas à vous que je parle. Et puis d'un côté, ça m'arrange : Je n'aurais pas à dire ma façon de penser dans votre dos. Je serai franche.

Fille n°2 : Tch. . . Sale vieille !

Moi : Pardon ?!

Fille n°3 : En plus d'être vieille, t'es sourde.

Fille n°2 : Laisse tomber, Amélie. La vieillesse tue l'ouïe. N'est-ce pas, Caroline ?

Caroline : C'est vrai, Patricia. Regarde ses cheveux blancs. Ça prouve qu'elle est vieille.

Moi : . . .

Je reste calme. Je ne commettrais pas de meurtre.

Amélie : Aurais-tu perdu la parole ?

Moi : . . .

Respire, inspire. Et Aloïs qui ne répond pas. Qui ne fait que regarder. Idiot. Mais je ne dis rien. Je préfère encaisser que leur rendre leurs insultes et aggraver les choses.

Aloïs : Bon, les filles, laissez la "vieille" tranquille, s'il vous plaît. On doit respecter les vieilles filles

Elles gloussent. Et lui aussi. Je craque.

Des amours de jumelles Où les histoires vivent. Découvrez maintenant