Boss lover ( Signé )

~15~✔

NOTE DE FIN À LIRE S'IL VOUS PLAIT! 

"I remember all of the things that I've taught I wanted to be
So desperate to find a way out of my world and fi ally breath
Right before my eyes I saw my heart it came to life
This ain't easy it's not mean to be
Every story have it scars."

Remedy - Adele.

I'll me scruta pendant quelques secondes puis encra son regard dans le mien.

-Commençons. Fit-il en s'approchant pour s'asseoir. 

Je m'installai et allumai mon dictaphone.

-Monsieur Starling,  comment s'est passé la transition de PDG au sein de Starling Entreprise de votre point de vue? 

-Je dirai bien. Sitôt arrivé aux États-Unis, mon père a annoncé son remplacement.  J'ai eu affaire au Conseil composé des principaux actionnaires.  Je leur ai présenté mes futurs projets et je crois que ça a marché.

-Et en ce qui concerne les employés? 

-Il a fallu que je fasse un petit speech pour me présenter. Ils l'ont bien pris et j'en suis heureux.

-En ce qui concerne Starling Entreprise,  quel travail effectuez-vous au sein de la société?

-Nous aidons les petites entreprises à se former. Nous leur donnont des avances qui leur permettront de lever le pied. Puis, au bout d'une certaine échéance, ils nous verse ce qu'on leur avait avancé avec un taux d'intérêt qui va dépendre de l'économie courante et du montant de leur prêt.

-Vous leur proposez votre aide ou ce sont eux qui font le premier pas? 

Il s'humidifia les lèvres puis croisa les bras. Sa veste bleue se souleva un peu.

-Je dirais que ça va dans les deux sens. Nous faisons des campagnes dans tout le pays et en retour, ils viennent nous voir. Parfois de très loin.

-Pour satisfaire ces demandes, vous le faîtes vous-même? 

-Nous avons des succursales plus ou moins conséquentes dans plusieurs points du pays, Miami, Seattle, Chicago,  Boston et autres. Les contacts se substituent selon leur degré de prêt. Si une entreprise voudrait prêter dans les millions, je m'en occupe personnellement. Outre l'argent des actionnaires, la banque a aussi une part à donner. De ce fait, nous demandons à ce genre de demandons à ce genre d'entreprise de signer un contrat. Mettre autant d'argent en jeu est un risque qu'il faut prendre mais avec soin. 

-Vous avez passé une partie de votre vie en Italie,  est-ce un choix pour votre avenir ou un choix parental? 

-Il faut dire que toute cette histoire débuta après la mort de ma mère. Mon père s'est marié à Vivian et il nous a envoyé mon frère Alexander et moi en Italie, pays d'origine de sa mère à lui. Ma sœur a été dans un internat au Canada. Elle avait 9 ans,  j'en avais 12 et Alex 15. Mon frère et moi aurions pu rentrer directement mais on a préféré continuer en Europe. Il est allé en Angleterre pour ses études de journalisme voulant se détacher de Père et moi, je suis allé à Bocconi pour continuer dans l'économie. Cela m'avais toujours fasciné. De jouer avec la monnaie.

L'interview dura ainsi plus de quarante-cinq minutes encore. Puis, je le raccompagnai vers l'ascenseur avec sa secrétaire.

-Au revoir monsieur et merci de nous avoir accordé ces précieuses minutes.

-De même Mlle. Nous nous reverrons à la séance photo.

Il me sourit puis les portes se fermèrent.