❝ Apocalyptic Love. ❞ [ FR ]

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CHAPITRE 8 ; CURSED

PDV Taeyong.

Elle est partie, j'ai entendu la porte se fermer. Les larmes me montent aux yeux. Tous ça c'est à cause de nous et elle n'en sait rien. Je suis maudis. Mon dix septième anniversaire arrive et je n'ai donc plus le droit de m'approcher d'une seule fille et je tombe sur elle,  par hasard. La vie est vraiment bien faite ! Je ne devais pas la rencontré et, la seule fille que je rencontre, c'est elle. J'en suis sûr.  Ça doit forcément être elle. Elle n'en sait rien. Elle ne se soucie de rien.
Elle a le sourire facilement collé sur le visage.
Elle rigole joliment en penchant la tête vers l'arrière.
Elle tappe du pied quand elle est offensée.
Elle tappote ses ongles contre la table quand elle est stressée.
Elle remonte toujours ses collants en publique.
Elle attache ses cheveux en queue de cheval comme si elle allait servir son dernier combat à chaque fois quelle se bat.
Elle ne pleure pas.
Elle ne montre aucune émotion à par la joie sur son visage.
Elle est dans ma tête, dans mon coeur et quand je vois une femme, je la vois elle. Je suis tombé amoureux en un rien de temps alors que je n'aurais pas du. Comment vais - je sauver le monde si je me bat contre mon âme soeur ? Tous ça n'est qu'une histoire de temps, mais à la fin, nous allons de toute façon tous mourir. Ça a déjà commencé avec l'accident de Gangnam, le survivant en quarantaine va déclencher l'apocalypse. Il faut que quelqu'un le tue avant que tout l'hôpital soit contaminé. Sinon, se sera le début de la fin.

Mon portable vibre, les gars m'envoyaient des messages.

de Bunny à NCT is like TT ;
" Mademoiselle ? Avez - vous des nouvelles de Taeyong ? "

de 10;10 à NCT is like TT ;
" Il est rentré chez vous ? "

de Whitie à NCT is like TT ;
" Si il est rentré, va t - il bien ? "

à NCT is like TT ;
" Je suis rentré. Et ne me parlés plus jamais de cette meuf. Je l'ai virée de l'appartement. C'est l'histoire ancienne. "

Vu. Ils avaient tous vu mais aucun n'avait osé répondre. C'est vrai que j'y suis allé un peu rudement, mais c'est ce que j'avais à faire. On verra bien ce qui se passera demain si je la croise. Je ne pense pas qu'un tremblement de terre ou un tsunami va se crée si on se croise dans les  couloirs du lycée !

. . .

Je me demande où elle va dormir cette nuit. Si elle vivait ici dans cette chambre d'hôtel avec moi, c'était peut - être parce qu'elle n'avait nulle part où aller ?