1er parti : La vie en Rose...ou presque...Chap 4

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Emilie s'installa dans le fauteuil près de la bibliothèque dans le salon et regarda l'autre fauteuil vide, elle l'observa longtemps. Tellement longtemps, qu'au bout d'un moment elle eu l'impression que tout était démeublé, tout était blanc autour d'elle, il ne restait que cet insignifiant fauteuil ou il n'y avait rien... En faite si il y avait bien quelque chose, il y avait une absence, l'absence de l'être le plus chère pour elle.Cette perte, elle le ressentait comme une interruption brutal dans sa vie, un arrêt de lecture, dû à cette fissure énorme dans son cœur et même dans tout son être, provoqué par cette nouvelle, qu'elle avait apprit par téléphone : la mort de son mari. Ce moment resta grave dans son esprit:

"Madame Maliou, je suis désolé de vous annoncé que votre mari est décédé..." Emilie n'avait plus écouté que quelques mots par-ci par-là qui passait après cette phrase. Elle ne disait rien. Elle ne savait rien dire. Le téléphone lui glissa des mains et rebondi sur le sol, on entendait l'interlocuteur demandé si elle était toujours au téléphone. Mais Emilie était ailleurs. Elle prit sa veste, son sac et sorti du salon de coiffure, les yeux dans le vide. Personne ne savait se qu'elle avait à son travail. Une fois la porte refermé derrière elle. Elle se décomposa, elle se mis a pleuré, mais elle essayait de se retenir, se qui donnait lieu à de nombreuses grimaces en se forçant à sourire malgré elle. Elle voulait sauvé les apparences, elle se ressaisie et essuya c'est larme en se dirigeant vers l'arrêt de bus. Emilie avait la tête d'un panda, les gens l'épiaient dans le bus; ils la jugeaient. Le bus passa devant les bureaux du journal, il y avait de la fumé ! Il continua son chemins comme si de rien était. Alors que de la route, on voyait très bien les camions de pompier sur le bas cotés qui arrose la source de fumé (et surement le feu du coup). Elle descendit l'arrêt suivant, et marcha jusqu'à chez eux. A la porte elle pris ses clés dans son sac et commença à tremblé. Elle repensait à se qui s'était passé ce matin...elle s'en voulait. Elle fini par rentrée. Déposa les clés sur la commode, lâcha son sac et sa veste. Emilie commença à passé dans toute les pièces de la maison. Chaque pièce, lui rappelait des souvenirs différents de George. Souvent des moments heureux, complices mais aussi cette dispute, bête qui lui restait en tête et qui la rongeait de l'intérieur. Il y a beaucoup de questions qu'elle se posait intérieurement...comment est-il mort? Elle a cru entendre le mot voiture et feu rouge, par l'interlocuteur. Un accident? Que serait-il passé si il se serait réveillé à l'heure? Il a griller un feu rouge? Est-ce qu'il m'en voulait pour ce matin? Si ça tombe il s'en souviens pas.Non il faut dire il s'en souvenais pas... Elle passe dans le couloir, elle ne retenait plus ses larmes. Une autre question lui vient en tête. Que va t-elle faire de la maison !? Ils venaient de l'acheté,comment va t-elle la payé maintenant avec son petit salaire minable de coiffeuse, en plus, la maison lui semble bien vide désormais. Elle arriva dans le salon ou elle s'installa dans le fauteuil près de la bibliothèque. Après un long moments sans rien faire, dans le silence le plus total, elle dit cette seule et unique phrase :

_C'était donc vrai, Édith Piaf avait finalement raison ! "heureux, heureux à en mourir"

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⏰ Dernière mise à jour : Jun 03, 2017 ⏰

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