Le fils de L'imaginaire ~ Peter Pan ~ [TERMINER]

Chapitre 7

Avant de commencer la lecture de ce chapitre je voulais vous dire qu'étant donné que j'ai à mon actif Trois fictions en cours d'écriture sur Wattpad sans compter un livre et une autre oeuvre à côté, les chapitres de mes fictions seront surement court, mais je ferai en sorte de les poster plus souvent. J'essayerai de faire ça pour pouvoir mettre à jour mes textes plus rapidement. 

Bisous à tous et bonne lecture ! ♥

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Les jours et les mois passaient et le ventre de Dove ne faisait que prendre de l'empleur et tout le monde se poser la question "Mais comment cela se faisait-il ?" Mais cela même la jeune fille n'était pas capable d'en donner la réponse.

C'est allongé dans son lit que nous la retrouvons en compagnie de sa meilleure amie.

-Dove, tu devrais vraiement faire un teste de grossesse tu sais ? Lui conseil son amie.

-Mais pour qui faire ? Puisque je te dis que je n'ai jamais eu de relation sexuel avec personne ! commence à s'emporter la blonde.

-Je te crois ! Mais tu n'as jamais entendu parler de ce fait divers comme quoi, un homme à éjaculé dans l'eau d'une piscine et certaines filles qui se baignaient dedans sont tomber enceinte à cause de ça ? Et pourtant elles aussi n'avaient pas eu de relation sexuel avec le père de leur enfant(s).

  - Mais ça c'est de la connerie Sofia ! Je suis sur que tu as encore lu ça sur un de ces postes débiles que l'on trouve sur Facebook ! Je te rappelle que ce que tu trouves sur internet n'est pas toujours vrai !

-Certes mais imagine c'est ce qui t'est arrivée ! Tu es allée à la piscine quand pour la dernière fois ? lui demande sérieusement la brunette.

Dove se leva d'un jeste vif de son lit sur lequel elle était allongée et se va à la fenêtre admirée les milliers d'étoiles qui brillent dans le ciel.

-S'il te plait, laisses-moi avec ça... souffla Dove épuisée.

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-Wow... tu as vu son ventre

-Il parait qu'elle 'est tapé toute l'équipe de football

Les bruits couraient dans les couloirs de l'école, tout le monde ne faisait que parler de Dove et de son fameux ventre. Tout le monde parlait mais elle ne pouvait rien faire pour les en empêcher.

Il était l'heure de la pose déjeunée. Tout le monde se retrouvait à cafétéria pour manger et retrouver ses amis. Sfia et Dove se retrouvait comme chaque jour dans le hall de l'établissement pour y être au calme, car il est vrai qu'à cette heure si tout le monde ne pense qu'a aller manger. Elles discutaient tranquillement dans le coint quand le directeur vint à leur rencontre.

-Mademoiselle Cameron, veullez me suivre dans mon bureau s'il vous plait !

C'est remplit d'incompréhension qu'elle suit les pas du  veille homme, en direction de l'administration.

-J'ai entendu parler de ce qu'il vous arrivait en ce moment. Est-ce que vos parents sont au courant de cela ? lui demande-t-il avec le plus grand sérieux.

-Je ne vois pas de quoi vous voulez parler monsieur.

-Le bruit court dans toute l'école que vous êtes enceinte, et en voyant la taille de votre ventre mais doutes ne peuvent que se confirmer.

Elle se lève d'un bond, lance un regard noir au directeur ainsi qu'à sa secretaire qui se trouvait d'un le coint de la pièce et part en claquant violement la porte du bureau. Elle traverse rapidement les couloirs ainsi que le hall d'entrée pour enfin sortir du lycée.

-Hey ! Qu'est-ce qu'il se passe ma belle ! s'exclame son amie, devant laquelle elle était passé sans la voir.

-Ecoutes Sofia j'en ai assez d'être ici, j'ai besoin d'air laisse moi tranquille s'il te plait ! 

Le visage de la jeune fille était inondé de larmes et ses yeux étaient rempli de tristesse. Sofia n'avait pas le temps de lui répondre qu'elle était parti en courant.

PDV Dove :

Je ne ressentais plus aucune douleur. J'entends beaucoup de bruit et d'agitement autour de moi. Alors c'est ce que l'on ressent lorsque l'on meurt ? Nous ne sommes plus capables de réagir à quoi que ce soit ? Je ne voulais pas finir comme ça, même si quand j'étais petite je me disais toujours que jamais je n'arriverai à l'âge de 18 ans. Je ne le pensais pas vraiment. Et pourtant me voilà, là, étendu sur le sol.