Sang.[1]

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SALUT LOL.

L'avant-dernier chapitre.

J'suis désolé d'en avoir fait qu'à a tête.

Je vous aime?


Je sais pas.

J'aurais dû la rattraper.

Elle n'avait jamais été aussi bouleversée , elle n'avait jamais autant pleurer.

Et je ne l'avais pas autant fais non plus.

Alors quand j'ai vu l'action, je n'ai pas pu m'empêcher de crier.

Puis ce cri, ce cri, il s'est transformé en larmoiement.

Puis j'ai couru, couru aussi vite que je le pouvais, en n'oubliant pas de foutre le désordre dans la circulation.

Le même désordre qui se précipitait dans mon esprit.

Elle avait quitté l'hôpital en furie, surement déstabiliser de voir Yoonhwo dans un état pareil, les paupière presque marrons et le teint si pâle, en n'oubliant pas les multiples tuyaux qui passaient dans sa gorge.

Et lorsqu'elle est sortie de la chambre, j'ai cru que c'était sans danger, sans problème, qu'elle irait calmer ses émotions dans un coin du parc à côté de l'hôpital.

Mais Yoongi me demanda quand même de la rattraper, qu'il ne fallait pas qu'elle reste seule.

Alors je l'avais écouté, je l'avais suivis de pret, sans jamais transgresser la distance de sécurité de plusieurs metres.

Et je ne savais pas.

Je ne savais pas, je le jure.

Je ne savais pas...

Sinon, je l'aurais arrêté dès que j'en avais eu l'occasion.

Je lui aurais attraper le poignet avant de serrer son frêle corps contre le mien.

Frêle était le mot.

A la place, je l'ai laissé partir devant mes yeux.

Elle avait traversé sans regarder.

Je crois que le son de la voiture freiné raisonnera pour toujours dans ma tête.

Le bruit du pare-brise se briser aussi.

Je me précipitai vers l'accident, et mon cerveau se vida lorsque je la vis, le visage en sang sur le pavé.

Son si beau visage qui avait bercé le quart de ma vie.

La femme qui m'avait apprit à aimer était entrain de se vider de son sang devant moi.

- Sofia! Hurlais-je avant de la prendre dans mes bras.

Mais c'était trop tard, j'aurais dû le faire bien avant.

- Allez, ça va aller, ça va aller. Dis-je nerveusement en posant ma main sur le haut de son crâne qui était entaché de sang.

Ce liquide coula entre mes doigts et pour la première fois de ma vie, j'avais peur.

Pas la peur qu'un enfant peut avoir lorsqu'il a peur du noir.

C'était quelque chose d'horrible, qui vous envahissait la poitrine puis la gorge, vous donnant envie de vomir.

La peur qu'elle me quitte comme ça.

La peur que la femme que j'aimais parte dans mes bras.

- Appelez les ambulances! S'il vous plait! S'il vous plait! Hurlais-je, le visage crispé en voyant le sien entre mes mains.

Incapable; koo junhoeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant