ne faites confiance à personne.

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Aujourd'hui, je suis morte.
La vie n'as pas été tendre mais je pensais que j'arriverai à tenir le coups, à essayé de le passé des autres et à faire ma vie seule. Finalement je me suis trompé.

*

Les faits commence un jours, de Juillet 2017. J'avais finis les cours quelques jours plus tôt. Ce jours la, j'étais invité pas une ''amie'' que j'avais rencontré au lycée de cela, il y a quelque mois.
À peine levé, que je reçois un message de mon ''amie'' qui porte le doux nom de Laurine. (Désolé à toutes les Laurine)
Je prend mon tel et je lis le message: '' coucou ma belle, j'espère que tu viens aujourd'hui tu va pas me posé un lapin quand même?'' Je soupire et répond: ''putain tu sais qu il est que 7h, on se vois a 11 tu aurais pu l envoyé un peu plus tard je me lève la. Mais tkt pas je serai la.'' Je lui envoie et je pose le téléphone et je vais sous la douche. Je fais coulé l'eau pour l'avoir à bonne température qui est pour moi assez chaude. Je mis glisse nue. Après l'avoir pris je me séche et m'habille. Je met des sous-vêtements de la même couleur, puis je met un long débardeur noir et un sarouel noir et bleu assez large. Puis je vais dans la cuisine je me fait un café et vais dans le salon avec et commence a le siroter devant ma télé qui diffuse des vidéo youtube sur le cinéma. Après l'avoir fini je regarde l'heure: 10h30. Je me lève met mes chaussure prend mon sac avec quelques affaires qui me sembles indispensable. D'un coup un penser me traversa l'esprit, et si c'était une de ses filles qui passe meur temps a se maquillé et a parlé de mec...au premier à bord elle semblait pas être comme ça donc je vois pas pourquoi ça changerai. Je pars donc avec mes écouteurs dans les oreilles et marche vers république. Où par heureuse chance, Laurine habite. Après une petite dizaines de minute de marches j'arrive devant chez elle a 11h moins le quart environs. Je sonne puis elle me fait entré en me disant qu elle habite au rez de chaussé. Curieux me dis-je en entrant. Je trouve facilement son appartement car elle m'attend la porte ouverte. Elle me saute dans les bras, je la rattrape tant bien que mal en cachant ma surprise je lâche juste un petit sourire. Elle m emmène dans son appartement dont l'odeur de la weed s'est incrusté dans les mur. Elle me fait visité. Je lâche quelques compliments sur sa tenue et son appartement. Puis elle fini par sa chambre dont les volé sont fermé. Sur son bureau quelques cours et un cendrier y sont déposé. Sur ce dernier se trouve un joint posé en équilibre, je devine qu'elle viens de roulé. Elle prend le cendrier et le joint et m'emmène dans son salon. Puis elle me fait m'asseoir sur son canapé et elle s assis à côté de moi. Elle allume alors son joint prend une taffe et me le tend. Je le prend en la remerciant et on commence a le fumé a tour de rôle. Pendant qu'on le fume elle commence a me caressé les cuisses en souriant, et d'un coup s'en prévenir gard, elle se met sur moi et commence à m'embrasser. Je dis rien et me laisse porté au jeux d'un coup, je me sens comme fatigué et je m'endors.

*

Après je ne sais combien de temps, je le réveille. Je sens que je suis pas au même endroit. L'odeur a changé, l'aire est plus humide. Je ressent une certaine pression. Lorsque j'ouvre complètement les yeux, je remarque que je suis dans une cave attaché a une chaise et je vois Laurine de dos en train de faire je ne sais quoi.
Lorsqu'elle se retourne, son visage affiche une grand sourire et elle dis:
- coucou ma belle bien dormis? Je la regarde dans les yeux ne bougeant pas et en disant rien. Je savais déjà ce qu'elle allais allais me faire.
- tu es énervé? Tu me boude? Tu veux plus me parlé? Tkt pas je connais un moyen de te faire parlé. Au moment où elle fini sa phrase, elle baissa un levier et une table sorti du sol, puis elle s'approcha de moi et elle attacha mes deux mains plus particulièrement mes doigt, a un mécanisme.
- je vais t'expliquer les règles de mon jeux. Je vais te posé des questions et si tu me répond pas, que tu m'insulte ou que j'estime que ta réponse est un mensonge ce petit jouet va coupé un de tes doigt. Voilà. Dit-elle en me regardant comme ci elle attendais une réponse. Mais elle peut bien allé ce faire foutre. Je dirais rien et je me retiendrais même de crier.
- Bon première question: as tu bien dormis? Dit-elle. Je posa un regard arrogant dans le siens et ne dis rien. D'un coup sans crié gars un lame s'abatta sur mon pouce, et le coupa. Je lâcha un cris aigu mais ne dis rien de plus et baissa la tête.
- au faite j'ai oublié de te dire. Quand aura plus de doigts la lame qui est derrière toi s'abattra sur toi. Question suivante: comment t'appelle tu? Dis-t-elle en rigolant. Je gardai la tête baissé en me préparant pour le coups suivant. Avec surprise deux doigt furent​ coupé, ce qui fit que je ne pu retenir mon cris de douleur qui résonnait dans la pièce.
- Au une petite surprise, ajouta-t-elle en rigolant. Question suivante: est-tu sur de ne vouloir répondre à aucune de mes question? Je garda la tête baissé en serrant les dents pour supporté la douleur et la prochaine lame. C'est à ce moment que les deux derniers doigts de ma mains droites furent coupé. J'essayai tant bien que mal de contenir mon cris mais en vain. C'était trop dure. J'en avais les larmes au yeux. Je releva la tête et ouvra la bouche pour dire quelque chose mais aucun mots n'en sortit. Elle me regarda et lâcha ses mots: tu veux dire quoi? Je la regarda puis ferma ma bouche. Tu n'as pas répondu à ma dernière question dommage. Que...quoi?! Commença à sa dernière question? Sans avoir le temps de comprendre tous les doigts de ma main gauche furent coupé en même temps et au moment de crié...aucun son sortit de ma bouche. Je ne comprenais pas..aurais-je perdu la voix en criant.
- madame aurais perdu la voix avec ses crié, dit-elle en rigolant. De toute façon tu n'auras plus besoin. Au même moment, j'entendis la lame qui se trouvais dernière moi se mettre en marche comme si elle se m'était à tourner et se planta dans mon dos et commença à me déchiqueter. Je voulais crier, cracher l'aire de mes poumons mais aucun sons sortis. Et je mourrai lentement sans pouvoir dire quelque chose. Je fermai alors juste les yeux et me laissa emporté.

*

Maintenant je suis enfermé dans cette pièce comme fantôme et je revis cette longue séance de torture à chaque fois qu'elle ramène quelqu'un sans pouvoir dire quelque chose. Prisonnière pour l'éternité.

Fin.

recueil d'histoire pas très gaie.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant