Au mépris, je garde la sagesse...

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Au mépris, je garde la sagesse
Au bonheur, je lui donne l'ivresse
À la douleur, je fais vieillesse
À la vérité, je m'y confesse.

Je m'agenouille et songe à la Vie,
Je me recueille et s'il faut je pries.
Je m'adresse aux rêves inaccomplis.
Je m'isole, me console et péri.

On s'accroche au pensées pourtant vides.
On s'en veut d'être des humains avides
On désir réconfort et bons guides:
Once d'espoir en nos coeurs timides

Et soudain on sourit, on s'élance
Dans la Nature si sensible
Qui prend nos soucis, et la souffrance,
On l'a désir, ses bras invisibles.

Car d'un réconfort aussi tendre,
Notre esprit noir ne peut nous prendre.

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