Chapitre 38

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PDV HARRY

Je ressens plusieurs sensations qui me sont inconnu. Enfin presque. Je ressens de l'envie. Je la veux maintenant. Je la près de moi, autour de moi. Je la veux pour toujours. Je ressens aussi de la peur et de l'excitation. Drôle de combinaison pour un moment si unique. Mes intentions ont changés radicalement en quelques secondes. J'ai maintenant peur de lui faire mal. J'ai peur qu'elle ne me pardonne jamais. J'ai peur de me décevoir. Mais je sais que ce moment est magique. Je la sens faire effet sur moi et mes gestes.

Et maintenant, nous sommes là. Je le regarde avec tant de passion, tendresse et admiration. Elle est sublime. Un magnifique gâchis que je peux tenir dans le creux de ma main. Mon magnifique gâchis. Ma Claire.

La pièce est remplie d'une atmosphère jamais vécu dans cette maison. L'air est lourd, mais à la fois si léger. Je me sens presque flotter lorsque je la regarde. Je me sens voler dans les airs car je sais qu'elle sera mienne. Cette pensé arrive directement dans ma verge. Bordel. J'ai bien peur que je lui aurait sauté dessus à l'heure qu'il est, si je ne m'avait pas controlé. Mais je veux en même temps ne pas avancez trop vite. Profiter du moment. Je veux qu'elle aille un semblant de ce qui aurait pu se passer si elle avait abandonné son combat. Je veux avoir l'illusion que je n'ai pas besoin de l'attacher au lit pour pouvoir lui prouver combien je l'aime. Je veux avoir l'illusion qu'elle m'aime en retour et me supplie pour mon affection et mes caresses. Je veux l'entendre me supplier jour et nuit de la prendre, encore et encore.

Je sais pourtant très bien qu'elle n'aurait jamais accepté. J'ai été patient, pourtant. Aujourd'hui était le jour où j'était à bout de me battre. À bout de me battre pour lui prouver quelque chose qu'elle ne voyait pas. De l'amour dans mes yeux. J'ai moi aussi besoin de croire en cette illusion.

Claire est maintenant nue devant moi, et attaché. Sans aucunes défenses et échappatoire. Bordel qu'elle m'excite. Je ne sais pas si les cordes ont un effet de plus sur moi, mais j'aime bien la voir attacher. Il faut dire que j'ai un désir pervert. Très pervert et mal. Ses grands yeux bleus me regardaient. Bordel, elle respire l'innocence. Je défais la ceinture de mon pantalon, et me force pour ne pas la fouetter sur le champs. Putain de yeux bleus.

Elle respire bruyamment. J'avais espérer que le chloroforme la détende un peu. Sa tête est sur le coté, ses yeux sont fermés. Je veux qu'elle me regarde. Où sont passés mes iris bleus préférés? Je m'avance vers elle et lui prend délicatement, mais hâtivement le menton. Je ne veux pas que les choses ralentissent maintenant. Tous se passait si bien. Sa tête me fait désormais face, mais elle les garde fermé.

"Ouvre les yeux mon ange."
Elle tourne faiblement la tête de gauche à droite.
"Claire..."
Mon ton dur lui fait enfin réalisé qu'elle n'a pas le choix. Je les vois apparaitre. Ils ressemblent à deux morceaux du ciel. Un ciel qui était autrefois si bleu. Pourquoi me semblent-ils si gris?

"Bien..."

Alors que je m'attaque à mon pantalon qui semble si difficile à enlever, elle retourne sa tête vers la droite et referme les yeux. Non, non!

"Tu les garde ouvert." Sifflais-je.

Pourquoi mes mains tremblaient-elles? J'avais définitivement besoin de d'aide. J'avais besoin de sentir ses petites mains qui m'aide à descendre mon pantalon sur mes jambes. Je la vois se forcer à garder son attention sur moi. Elle se chuchote alors;

"Trouve une diversion."

Je vois sa petite poitrines s'élever et s'abaisser rapidement. J'avais attendu cet instant si longtemps. Je rêvais depuis plusieurs années à la regarder de la sorte, sans gêne.

"Tu étais pour moi, amour-" commença t'elle. Je la coupa instantanément. Je me rappellerais toujours la première fois que je le lus. J'avais 15 ans. Je l'avais trouvé dans une vielle boite chez mes grand-parent, dans leur sous-sol quelque peu abandonné. La magnifique édition de poche avec des reliures d'or qui devait daté d'avant la naissance de mes parents. Je l'avais lu, intrigué. Je me rappelle encore ma première pensé.

"Je veux la trouver."

J'allais trouver cette fille. La fille qui allait mené ce poème à la vie. Alors je m'étais acharné jour et nuit à le savoir sur le bout de mes doigts. Et maintenant que je l'avais trouvé, je ne pouvais pas laissé tombé de garçon de 15 ans, encore beaucoup trop ignorant de la vie. Je ne voulais pas me laissé tombé. Je l'ai cherché, trouvé et fais mienne. Si la vie m'avais appris une bonne chose, c'est que lorsqu'on désire quelque chose du plus profond de son âme, on doit aller le chercher. Quelques sois les conséquences.

"Tu étais pour moi amour, tout ce vers quoi mon âme languissait. Une ile verte en mer, amour, une fontaine et un autel, enguirlandés tout de féeriques fruits et fleurs..."

Elle me fixais, ouvrant les yeux au maximum. Elle n'avait pas réaliser qu'elle avait parlé à voix haute. Je sentais que je n'allais pas durer longtemps à me contenir. J'allais bientôt perdre le contrôle.

"Si belle... Si douce."

Sa peau était du satin sous mes doigts. Une pur merveille. J'approcha ma tête de son cou, et commenca à lui sucer la chair sensible. Elle hoqueta. Je venais de trouver son point sensible. Juste derrière l'oreille. Elle haleta rapidement. Merde, elle ne savait pas l'effet qu'elle me procurais. Je lui chuchota;

"Tu es belle, Claire. Tu es si belle. Ne sais-tu pas à quel point tu me rend fou?"

Je ne coupa jamais notre contact visuelle alors que je promenais délibérément mes mains sur son corps. J'abaissa ma main droite et alla vers son sex. Je passa seulement un doigt sur sa fente. Elle mouillait déjà terriblement. Je mis un doigt en elle. Je scruta sa réaction. Elle était comme je l'avais imaginé. Elle perdit son souffle. Je la sentis se resserre autour de mon simple doigt. Merde, merde, merde. J'en ajouta un deuxième avec difficulté. Elle poussa un gémissement plaintif.

"Chut... Tu fais ça si bien, ma belle."

Je fis de lent vas et vient. Elle se resserra encore plus. Les traits de son visage étaient crispé. Je lui caressa son ventre, espérant la calmer. Je mis ma main libre sur sa poitrine. Je pouvais sentir son coeur battre très vite. Ne pouvait-elle pas sentir le mien? Je retira mes doigt, et pris les oreiller qui était sur le sol. Je les positionna sous son bassin, afin de l'élever vers moi. J'ajouta mes deux doigt d'un coup, et positionna mon pouce sur son clitoris. J'effectua des mouvement circulaire. Je voyais qu'elle se détendais. Parfais. Son visage commença à être déformé par le plaisir.

Ma verge reposait douloureusement sur mon bas ventre. Je n'en pouvais plus. Je retira encore une fois mes doigt. Je passa ceux-ci sur mon érection et commença enduire ma verge de sa substance. Ma tête tomba vers l'arrière alors que je me donnais du plaisir sans gêne. Je sentais le regard de Claire sur moi, guettant mes gestes. Je fut encore plus exiter de savoir qu'elle me regardait. J'arrêta de me toucher et m'approcha vers elle. Je reposa mes avants bras de chaque sa tête, et essaya du mieux que je pouvais de me positionner sans l'écraser sous mon poids. Je dirigea la tête de mon érection vers ses fentes humides. Le simple contact me fis grogner. Bordel. C'était trop. Je glissa en elle le plus lentement possible. Elle cria un cris déchirant. Elle se tortillait. Sa respiration s'enflammait, comme la mienne.

"Je t'en supplie, Harry. S'il- Arrête! S'il te plait." Elle pleurait. Elle avait l'air d'avoir vraiment mal.
"Je suis désolé, ma chérie, mais je ne peux pas arrêter,maintenant."







(YO YO LES COPAINS! 1325 mots pour ce chapitre!!!!!! Je le trouve... étrange? Il n'est pas à mon gout, mais je ne sais pas quoi changé. Donné moi vos avis!

Ok. C'est la première fois que j'écris du smut, donc soyez indulgent! Je ne sais pas pourquoi mais dans ma tête, c'était mieux. Je m'attendais à mieux de part sur la plan de l'écriture... Il faut dire que je dois surement me pratiquer! (😏)

LA FIN ARRIVE À TRÈS GRAND PAS! J'ai bien peur que le prochain chapitre soit beaucoup plus court que celui-ci. Je vous dis au revoir, et on se revoit très bientôt! Xx)

C'était luiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant