Pensées d'été

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I

Fruit , frais

Jolie , joueur , et juteux fruits frais
Je vous offre de ma vie la mort
Vous si beau brillant et baroque
D'une espèce disparue

Je vous offre la vie nouvelle que vous méritez
A travers un voyage impossible dans l'intérieur
Hideux mais exquis fruit

Vous me voyez vibrer
Saliver
Baver
Ce n'est qu' impropre mais cela me plais et m'écœure

Je vous offre la vie nouvelle que vous méritez
Voyager au plus loin de votre âme
Vous étiez raffiné pour finir Gâté après cette saison d'été !

II

Amour naissant

N'étiez vous pas senser vouloir être destructeur
Une si horrible chose
Mais si ensoleiller que je vous vois à travers mon être
Bougez, tournez , hurlez

La naissance est un temps de fête
Mais seulement lorsque le nouveau née
Est autre chose q'un cadeau empoisonné

Tu n'es rien d'autre q'un mur plat
D'un froid ardent
Qui me détruit de l'intérieur
Voulez vous voir la vie avec la mort

Dans une même pâte où règne
La maladie putréfaction et mort
Ainsi que la vie et la gaité

Dans ce moment où nous ressentons l'amour
D'un être aimé
Où le cri appelant à une revote
De ce cadeau d'été

III

Souvenirs ardents

Je me souviens de ce 14 juillet ou tout n'était que fête
Pleine d'ivresse et d'allégresse
Ces jours d'été si bon si plein de quêtes
Qui menaient mon âme vers une solution en caisse

En effet ce 14 juillet fut mon dernier
car certains hommes décidèrent de foncer
Tête baissé sur , nous , fous
Que nous avions été

De croire que cet été
N'aurais jamais été
Le dernier d'une longue
Et belle amitié

À toi le soleil n'est à présent que flamme
À toi le ciel qui n'est que Roche
La terre qui n'est qu 'âmes tourmentées
Ma folie fut de croire en la bonté de l'homme

IV

Le nouveau Monde

Quel beau pays ! N'est il pas
Je trouve que oui
Vous n'êtes pas d'accord ! je m'en sent fort aise
Vous sentez l'instabilité ? Je ne la vois

Vous l'avez choisi ! Vous l'avez voulu
Je n'y ai pas pris part sa c'est vrai
Car à la différence d'un pigment nous somme les mêmes
Et encore trop de gens ne l'entendent

Je vous ai vu ! Oh oui je vous ai vu
Vous ne le saviez pas ! Ah vous ne le saviez pas
Mais ce monde regorge de danger !
Comme un mur contre les étranger

Qu'a t'il fait ? J'aimerais vous le demandé
Vous ne le savez pas car vous savez quoi !
Les pantins ne sont que de bois !
Mes chers amis ne vous seriez vous pas Trumper ?

V

Chute du pétale

Sa vous l'aviez vu
Ah sa vous l'avez goûté
Traversant m'abîme
Amertume de mon être
N'attendez pas qu'il vienne !

Car il est déjà la
Vous l'avez mis à vos tables à vos chevets

Depuis longtemps déjà
Il attends derrière vous
Après vous vous dites pieux
Banalité , ne sont vos mots
L'heure venus vous tomberez
Et tout comme lui vous seriez déchus !

Alors qu'attendez-vous vous pour vous laisser mener ?
Dans cette danse en aller et retour
Dans cette valse qui ne finit
Sur le point d'orgue de la terre
Au milles idées déchues

Temps passé , Temps présent Où les histoires vivent. Découvrez maintenant