chapitre 1

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Lorcan retint une exclamation de triomphe:plus que deux mille et il serait enfin de retour à la maison!une energie nouvelle infusa son corps fourbu par de longues heures de voyage.Il alluma la radio et se mit a chanté a tue-tête.             
S'arretant de chanter il contempla le paysage familier qui défilait devant ses yeux.Huits longues années s'etaient ecoulées dépuis qu'il avait vu ses ces champs figés dans la froidure de l'hiver pour la derniere fois.Et sans la mort de harry il ne serait jamais revenue...
Harry et lui ne s'etaient jamais aimes.Les Fitzgerald les avaient adoptés de deux familles differents,Harry dès sa naissance et lui a l'âge de neuf ans

Kathleen jeta les derniers haricots dans la boîte et ressera la ceinture qui maintenait en place sont jean aux formes flottante,le bruit d'un ronflement se fit entendre derrier elle ,elle esquisa un sourire:ses deux chiens s'étaient endormis.Aussitôt elle frémit;Qu'arriveraient il a ses animaux si lorcan reapparaissait, et qu'il la forçait a partir? Lorcan. Kathleen n'avait jamais reussir a le chasser de ses penssées. A maintes reprise elle s'etait imaginé leurs retrouvailles, l'indifference et le mépris avec lequel il l'a traiterait. Le plus inquietant, c'etait qu'elle n'avait aucun moyen de s'opposer a lui.

Enfant lorcan avait tjrs fait montre d'une grande douceur avec elle et d'une férocité sans bornes a l'egard de ceux qui avaient voulu la faire  souffrir. Ll n'avait jamais manifesté la moindre pitié pour ses ennemis.
Et son ennemi, aujourd'hui c'etait elle !depuis qu'elle en avait pris pleinement conscience, elle passait des nuit dans l'iquitude, l'oreille aux aguets, comme si elle s'attendait avoir apparaitre lorcan dans la grande chambre q'uelle occupait, tel un fantome surgi des pans les plus secrets de sa memoire. Si jamais Lorcan revenait, aue Dieu l'en preserve, il n'aurait qu'a la fixer de son regard vert magnétique pour lui faire avouer toute la vérité.
Dec a coté d'elle dit:
-En tout cas c'est une blle journée inconscient de la tournure des pensées de la jeune femme, elle leva la tête pour voir son ami et regarder le ciel
Kathleen contempla le paysage avev une detresse croissante. Peut être le contemplerait elle pour la derniere fois!
Non! Elle ne supportait pas cette idée
-je ne veux pas partir!  s'ecrit elle si vivement que ses chiens se reveillerent en sursaut. Je ferais n'importe quoi pour rester. Je le supplierai a genoux de retourner d'ou il vient et de nous laisser tranquilles....
-Tu ne feras jamais une chose pareille.
-Si!
Elle preferait encore vivre au manoir avec Lorcan que de devoir partir de Ballykisteen
-Je suis prete a devenir sa servante, si cele peut le dissuader de me chasser, sil le faut. Je suis trop attachée a cet endroit. Je mourrais si je devais le quitter
-Dec j'ai peur
-Tu n'as rien as craindre, je suis là
Il l'a prit dans ses bras en lui caressant maladroitement les cheveux. Elle nd demandait qu'a le croire!

Devant le bureau il aperçut un groupe de femmes entrain de discuter. Son estomac se serra et ses paumes devinrent moites. Toujours ces troubles digestifs liées au decalage horaire
-Bonjour madama O'Grady!
-Des cheveux d'anges avait declaré la dama la premiere fois qu'il etait arrivé a Dooley. Dommage qu'on ne puisse pas en dire aurant de ses manieres
En  cet instant, bondissait un poing furieux dans sa directions
-Retourne en enfer Lorcan Fitzgerald

-Bonjour a vous! S'exclama t'il en retour avant de refermer la fenêtre sur les imprecations que lui lançaient les commeres

Oui vieille folle, je me rappelle, dit il sans desserer les dents
Pui furieusement il ecrasa l'accélerateur
Coupa les moteur il effectua les dernier metres sur la lancée du véhicule et tira le frein a main. La voiture s'immobilisa. Levant les yeux vers la demeure, Lorcan se senti brusquement pris d'un acces de colere. Les choses avaient bien changés! La peinture etait bien usée et deux volets pendaient sur leurs gonds. Plus loin un moorceau de gouttierer penchait dangereusement. Le manoir etait toujours aussi splendide, avec ses allées d'arbres centenaires, mais a l'évidence, il avait besoin de sérieuses réparations.
-cétait bien le genre de Harry de le laisser tombée en ruines...
La mine sombre, il mit pied à terre et se dirigea vers la porte. Il entra sans frapper. Un silence troublant régnait dans la maison, et Lorcan passa pièce par pièce avec une inquiétude croissante. Plusieurs objets de valeur manquaient. Un miroir ici, un vase de porcelaine là, des chandeliers en agent...
Son cœur se mit a battre la chamade. Combien de temps Harry avait il été malade? Où était sa mère?
Mû par un affreux pressentiment, il se mit a courir et fonça a l'étage, jusquà la chambre maternelle. La piece etait telle que dans son souvenir, à ceci près qu'aucun effet personnel n'y trainait. Fiévreusement il ouvrit les placards:ils étaient vides. Le dessus de lit, poussiéreux, semblait navoir pas été retiré depuis longtemps
Morte
Sa mère était morte! .

Entre passions et soupçonsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant