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Dans la salle de classe numéro trois cent seize, l'air chaud de l'été arrivant écrase l'esprit des élèves. Dans cette salle, close par une porte, deux fenêtres et quatre murs,  Mya se sent oppressée et suffoque de chaleur. Pour échapper à ce redoutable ennemi, sa seule solution est de dormir. Elle ne sentira plus ce poids sur ses épaules et errera dans un univers hors du temps. C'était da seule solution d'échapper à l'emprise du démon chaud et à cette heure de mathématique devenue insupportable. Elle recula donc sa chaise, déposa lentement sa tête entre ses bras et se laissa emporter par le vide de son esprit pour sombrer dans un léger sommeil.

La musique résonnait fort se jour là, Gabrelle dansait sur la petite table du salon telle une folle. Vêtu d'un simple short en tissu transparent, le maillot de bain rose fluo qu'elle portait se voyait à des kilomètres. Son torse était découvert et laissait apercevoir son ventre plat et sa taille fine ainsi que sa poitrine plutôt légère recouverte de son haut de maillot à franges rose. Les résultats du brevet venait de tomber et comme elle même un jour auparavant, Gabrelle était heureuse. Sa mention très bien lui donner cent euros et sa fierté était sauve. Tout comme elle, Mya avait reçu ses résultats du bac français et avec une note globale sur quarante de trente cinq, elle partait dans sa filaire S, avec beaucoup de points d'avance. Son TPE, la ravie aussi beaucoup avec une note de dix-neuf sur vingt,  score qu'elle ne pensait pas avoir. Et puis la dernière, qui finissait sa sixième était juste heureuse pour ses soeurs et riait avec elles. Pour fêter leur réussite,  les trois inséparables se jetèrent dans la grande piscine qu'elles avaient. Nos soeurs vivait dans une immense villa sur Nice, sur les hauteurs des collines. Leur villa était très grandes, avec un immense salon qui faisait le centre de la pièce à l'étage du bas,  suivi au fond d'une salle avec un bureau, d'une autre avec une bibliothèque et une petite avec un toilette. A l'avant du salon, le cuisine était ouvert par une porte ronde découpe dans le mur et en face, une sorte de buanderie. La maison ressemblait à un chalet avec l'ambiance bois et couleur chaude. A l'étrage, qui avait vu sur la salon, quatre chambres était disposées à la ligne, ainsi que deux salles de bain et une salle de sport. Une terrasse traversé les quatre chambres.
Ce jour là, le neuf juillet deux mille seize était une année parfaite,  mais tout se bouscule vite dans une vie.

Mme Hugstier: Mya ? Hum..Mya Torpeur !!!

La jeune fille se réveilla en sursaut. Elle avait passer deux heures à rêvasser sur son passé. Elle entendit les murmures des élèves et les ricanements d'autres. A vrai dire, Mya était détesté dans son lycée, pourquoi ? Elle ne savait pas, la seule chose dont elle était sûr, était que les gens là regardé bizarrement. Mya est une jeune femme aux cheveux bruns, lisse avec les reflets noirs, couleurs très belles. Mais elle les cachaient souvent par un chignon mal fait. Ces yeux étaient cependant des plus étranges, c'était peut-être ça,  la cause de ses moqueries. Ils étaient verrons, l'un marron, l'autre bleu ciel ce qui lui faisait un regard perçant et déstabilisant. Elle avait aussi un corps musclé, et fin et une taille parfaite. En toute honnêtée, elle était belle. Mais son caractère était l'inverse de son physique, il était fade, et moche. C'était une fille qui aimait la solitude,  alors le fait d'être rejeté ne la dérangé pas. Elle adore aussi tenir tête aux professeurs. Elle est rebelle et égoïste,  ainsi qu'une grande râleuse. De plus, sa façon de parler aux autres est agressive et irrespectueuse. Mais Mya n'a pas toujours était comme ça,  la vérité est qu'il y a encore un an, elle vivait la plus merveilleuse ses vies. Elle avait un petit ami,  une bande d'amis adorable même si c'était les seuls qui l'accepter, elle vivait une belle vie, sortait et faisait des soirées très souvent. Mais ce temps est révolu.

Mya: Quoi ? Je vous dérange peut être ? Non, je crois pas, je dors calmement sans foutre le moindre bordel. Vous dites rien par contre aux groupes de débiles de Valentin, Hugo et James qui font les cons et envoi des boulettes en papier sur les gens ainsi que vous et aux pestes de premier rang qui insultes les autres et se maquille. Donc, vous me laisser tranquille, s'il vous plaît.

Du sang sur les mainsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant