Chapitre 27 :

2.7K 87 10
                                    

Ils étaient rentrés au manoir, Klaus, Caroline et Hayley s'étaient changés mais Klaus était reparti aussi vite, pour évacuer sa colère. Caroline l'avait suivi, pour essayer de le calmer. Le reste de la famille, accompagnée de Damon et Hayley étaient au grand salon et Kol faisait les cents pas, essayant de rester calme. Hayley et Damon se tenaient loin de lui, ne voulant pas qu'il passe sa colère contre eux, le reste de la famille le regardait marcher, Rebekah avec ennuie, habituée aux crises de colère de son frère et Bonnie avec un regard qui essayait d'être rassurant.

- Merde ! S'exclama Kol en jetant le vase.

- Tu résumes parfaitement la situation, dit Rebekah, maintenant arrête de faire les cents pas, tu me fatigues.

- Mais tu comprends ou pas la situation Bekah ? Mère s'est enfuie ! Hurla Kol.

- Je sais merci, répliqua Rebekah, mais elle n'a plus de pouvoir, je ne vois pas ce qu'elle pourrait faire !

- Oh je ne sais pas moi ! S'exclama Kol, demander de l'aide à des sorcières peut être !

- Aucunes sorcières n'oseraient se dresser contre nous, répliqua Rebekah, Bonnie est la plus puissante de toutes ! En plus, elle a la puissance de mère à présent !

- Kol, déclara calmement Elijah, assis toi, Rebekah a raison, mère ne peut rien contre nous à présent, elle se montrera un jour ou l'autre, et ce jour là, nous la tuerons.

Kol souffla et alla s'asseoir à côté de sa femme. Bonnie lui fit un magnifique sourire et elle prit la main.

- Quelqu'un a des nouvelles de Carolines et de Klaus ? Demanda Hayley.

- Je vais essayer de les appeler, déclara Katerina.

Elle fit en premier le numéro de son beau-frère mais sans grand étonnement il ne répondit pas. Elle essaya en suite joindre Caroline.

Le téléphone de Caroline sonna et cette dernière regarda qui l'appeler. Katerina. Elle souffla et remit son téléphone dans la poche de son jeans. Elle reparti à la poursuite de son mari, piste pas bien compliquer à suivre, suffisait de suivre les cadavres et le sang. Elle grogna en pensant aux mensonges qu'elle allait devoir inventer pour justifier tout ça ! Elle arriva en face de Klaus, il était sur un tronc d'arbre et fixait un point dans le vide. Elle souffla et s'approcha.

- On peut rentrer ? Demanda t elle.

- Elle s'est enfuie, dit il.

- Je sais, j'étais là, répliqua t elle légèrement énervée.

- Elle a réussir à s'enfuir, car l'autre cabot est venu, continua Klaus.

- On aurait dut le tuer.

- Il est venu pour toi, finit Klaus sombrement.

- Oui ! Einh ? Quoi ? Fit Caroline.

Klaus se leva lentement et s'approcha de sa femme. Elle le fixa venir vers elle sans rien, dire se demandait ce qu'il avait. Ils se retrouvèrent l'un en face de l'autre, très proche.

- Pourquoi est-il venu pour toi ? Demanda Klaus.

- Mais je n'en sais rien moi ! S'exclama Caroline.

Klaus fronça des sourcils et elle le regarda en arquant un sourcil. Elle finit par ouvrir la bouche sous le choque et demanda les dents serrées, avec colère ;

- Qu'insinues-tu ?

- Je me demande juste pourquoi ce loup de bas étage, est venu se soir, un soir de pleine lune te voir, répondit Klaus.

Les femmes des OriginelsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant