Chapitre 1

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Rio, Brésille
00:23 h

La nuit est déjà tomber depuis quelques heure sur le continent du Brésil, assise dans une vielle Chevrolet 1956, je regarde par la fenêtre les alentours. Petit a petit on s'éloigne de la route déserte pour rentrer dans la ville de Rio, les festivités batte leur plein, tous danse, chante, boivent, rient au éclat, tous sont insouciance​, on pourrait croire que c'est ça Rio, une ville heureuse, mais a quelque mètre seulement il y a les Favelas. Les Favelas sont semblables aux   bidons ville, toit de tôle retenu par deux trois vis sur quatre murs de bois moisi, le genre de cabane ou que tu vis seulement parce que c'est mieux que la rue. Avec le temps on apprend que ce quartier est aussi pourrie que la plus part de ces habitants, mais on peu pas leur en vouloir ici c'est la loi du plus fort. Tu pleur, on te bat pour t'endurcir. Ton père ou ta mère n'a plus d'argent pour leurs crac? Tu te fais violer pour leur payer. Tu veux manger? Parfait va voler, car tes parent n'ont pas plus d'argent que toi. Tu veux gagner ta vie? Compte pas sur l'école tu y iras pas assez longtemps, ça c'est si tu y va, donc ta seul option et de tuer contre un peu d'argent. La police? Les hôpitaux? Les pompier? Ils ne sont pas la pour s'occuper de la décharge dans la quel tu vie ou de la personne qui y vie. Et le plus important, tu t'attache à quelqu'un? Prépare toi à souffrir, car personne vit longtemps ici. Bref vous voyez le tableau...

Mario aussi connaît le tableau, il me dépose donc un peu plus loin pour évité tout problème potentiels. Ha oui j'ai oublier Mario est celui qui ma gentiment proposer d'embarquer avec lui pour le reste de ma route. Je le remercie et me met en direction du cartier paumée de Rio, ce cartier contrairement à l'autre est plongé dans le noir total, aucun bruit venant des habitants est produit, les seuls activités présente la nuit sont celle de la mafia espagnole ou encore  de la mafia de ma famille. Ne soyez pas surpris voyons, c'était tout a fait prévisible.

Il y a deux ans j'ai pris mon sac j'y est fourré quelques affaire et je me suis sauvé pendant la nuit en laissant toute responsabilité derrière moi, j'ai tout simplement été lâche et je pense bien que j'aurais rester vagabonde si ma vie n'étais pas ronger par le désir ardent de tuer. Je vous jure que j'ai essayer de passer outre cette pulsion, mais sans succès... c'est pas pour rien que je m'appelle Hel, selon la mythologie nordique Hel est le nom de la déesse des neuf royaumes infernaux ou pour simplifié la déesse de la mort. Je ne dit pas que j'en suis fière mais au point où j'en suis rendu tuer est aussi banale que déjeuner. sachant que la seul personne que je veux a tout prix tuer est en train de se la couler douce. J'ai donc ravaler ma fierté et je me suis mise en route ici afin d'avoir plus de ressource a ma disposition. Pendant mon absence les affaires de la mafia espagnole on continuer à rouler sous l'autorité de mon père et de mon ancien bras droit, mais maintenant il est temps que je reprenne mon poste et répare le foutoir que j'ai laisser. La tête haute,  je me dirige directement vers mon palais, de toute façons je ne suis pas venu pour voir mes amis de l'époque. Ma route me permet de croiser certain gardiens de nuit que j'ai jadis former je leur fait un hochement de tête en signe de salutation, mais tous réagissent bizarrement, certains se crispe, d'autre semble apeuré, tandis que d'autre semble avoir... pitié? Pas besoins d'être un génie pour deviner que ça ne va pas. Les gardes on nullement le droit d'exprimer une expression autre que neutre pour une raison tout à fait logique que je n'ai sûrement pas à vous expliquer, donc qu'ils affiches de la compassion est inimaginable. A ce moment précis je devrais sûrement faire quelque chose du genre; « je tire mon revolver de ma poche arrière et me cache contre chaque objet pouvant me couvrir» mais ce n'est nullement nécessairement, car de un c'est MES soldats dehors et de deux s'ils voulaient me tuer je serais morte avant même d'avoir franchie le territoire. Mes pas s'accélère de plus en plus pour me retrouver en moins de deux devant la grande porte en bois massif blanche de ma villa. Tous sorte leur armes pour les pointer dans ma direction, mais ne font rien de plus se demandant s'ils doivent tirer ou non ce qui me donne le temps de les observer rapidement. Aucun deux n'est un de mes garde. Non mais sérieux je viens de marcher plus de 13 heures de temps pis ils me font chier de même?

- Si tu part pas d'ici tout de suite, je te pogne, je t'emmène avec les pute, moi pis mes gars on te viole un après l'autre pis je te bute !!!

- tout ceci semble bien charmant mes cher mais ce n'est pas trop dans mes plans pour la soirée.

- tu te prend pour qui sale pute a 5centes  ? Attend que je te fasse regretter d'être venu au monde !

Comme c'est chou! Il pense peu être qu'il va m'empêcher de passer pour renter chez moi !? Je pense qu'on va s'amuser. Un rire jaune sort de ma bouche à la seconde même qu'il prononce ces mots ce qui, bien sur, fait augmenter sa colère a un niveau exorbitant. Qui peu bien mettre un garde aussi susceptible pour protéger sa porte? C'est le pire choix qu'on peux prendre! Bref revenons a nos moutons... Je m'avance cette fois si aussi lentement qu'une lione en chasse de sa proie​, certains s'enfuisent pour sûrement aller avertir les autres tandis que  d'autres charge leurs armes avec solidité.

- tu vois mon chou... S'il y a bien une personne qui va mourir ce soir c'est toi... Fait tes prière mon beau...
Chaque mot prononcée est aussi lent et menaçant que ma démarche.

Mon sang commence à pulsée dans mes veine dû à l'excitation montante, mes pupilles se dilate à leur maximum tandis qu'un sourire des plus sadique s'imprime sur mes lèvres. En ce moment même je ressemble au démon qui habite mon nom, je ne controle plus rien mes membres sont possédés par la rage et l'amusement. N'importe qui ayant un peu de bon sens s'enfuirai en courant, ce qui n'échappe pas a mes nouveaux amis. Les sentants s'éparpillé partout dans l'espoir de peut-être survivre, j'en profite pour attaquer, c'est pas comme si j'avais juste ça à faire les regarder! Tranquillement, je me penche prend le petit couteau de survie qui a dans ma botte et en deux temps trois mouvements j'égorge les deux gorille derrière, le sang gigle de partout se mélangent avec la panique des autres. Toujours avec mon sourir j'avance vers les survivants en se moments même je suis le portrait cracher d'une psychopathe sortie tout droit de shinning. Rien ni personne peut m'arrêter, ouais sauf la fléchette tranquillisante qui vient d'atterrir sur mon coup.

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⏰ Dernière mise à jour : Apr 07, 2018 ⏰

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Un mot: vengeance Où les histoires vivent. Découvrez maintenant