Whiskey me away Francais

MILLIE ii

Je suis dans la salle d'accouchement, mais mon médecin n'est pas encore là. L'infirmière vient de regarder pour lui, pour savoir ce qui se passe l'enfer.

« Oooongh! » Dieu ces putain de contractions ! Je peux sentir la tête du bébé pressant contre moi, essayant de sortir. Si cette infirmière putain ne me remettre ici bientôt je vais avoir ce bébé sans elle. Elle ne semble pas savoir ce que le baiser qu'elle fait en tout cas ! Ce doit être sa première journée en tant qu'infirmière ! Ooogh!"

L'infirmière s'ouvre la porte. Elle vient en souriant. Je veux me lever et claquer l'heureux tout de suite de son visage !

« J'ai de mauvaises nouvelles. » Elle fronce les sourcils délibérément, comme elle parle à un enfant, «votre médecin respecte un bébé à un autre hôpital. Mais la bonne nouvelle, c'est..."elle oblige un faux sourire, « que le médecin de la maison apporte un bébé dans le couloir et qu'il sera ici dans dix minutes. » Le sourire ne quitte jamais son visage. Sa voix est aigue et moyen de Goddamned chipper. J'ai envie de la tuer !

"Vous ne comprenez pas. Je vais avoir le bébé maintenant. Aller me chercher un médecin putain maintenant!" Je crie.

« Eh bien, pouvez vous... comme, croisez vos jambes pendant un petit moment? » Elle croise ses jambes comme pour me montrer comment.

"Ce que le baiser il la question avec vous Ouuuggggghhh!" Oh Dieu ça fait mal. "Me chercher un médecin putain ! Vous muets salope!"

Elle va de la salle avec une expression totalement offensée sur son visage et peut-être une perspective totalement différente sur la vie aussi bien.

Croiser mes jambes ? Elle n'a pas dit juste que. Elle ne peut pas être si bête. Je compte les secondes. Depuis, elle a quitté. Soixante huit secondes plus tard, un jeune médecin arrive.

« Comment nous portons-nous? » Sa voix est étonnamment calme.

« Je vais avoir mon bébé. »

« Je sais. C'est pourquoi je suis ici. Quelle distance sont les contractions venir?"

« Non, vous ne comprenez pas. Je peux sentir sa tête popping out."

Il soulève ma robe. "Oh mon ! Vous ne rigolaient pas." Il se tourne vers l'infirmière et dit très sévèrement. « Gants! » Il marche un style de cuisine armoire et récupère quelques serviettes. Il soulève mes jambes et glisse les serviettes sous mes fesses. Jusqu'à maintenant, j'ai été très mal à l'aise avec toutes les personnes tirant vers le haut de ma robe et ébahis à moi, mais en ce moment, j'ai vraiment ne donnent pas une merde si ils le montrent à la télévision nationale, tant qu'ils obtiennent cette chose hors de moi ! J'entends le claquement des gants en caoutchouc. Le médecin a dit quelque chose à l'infirmière et elle revient avec une serviette remplie d'instruments en métal.

« Bon, maintenant il est temps de pousser. » Il me sourit. Cela calme moi. « Maintenant pousser. »

Et puis, je pousse, mais je suis épuisé, et je n'ai pas encore poussé une fois encore. J'arrive vers le bas profond, et je pousse. Et je suis en poussant, pousser, pousser et moi ne pouvons pousser plus et je m'arrête et je suis haletant comme un chien et Oh mon Dieu ça fait jamais de mal. Je veux tuer Johnny pour faire cela pour moi. Laissez lui montrer son visage putain !

« Et pousser. » Il dit encore. Et l'infirmière vient à mes côtés et elle tient ma main. Et je me tourne vers lui et que je lui donne ce que j'espère, c'est un haineux "Je serait étouffer la vie hors de vous, si je n'étais pas tellement occupé" coup d'oeil tandis que je secoue sa main lâche.

J'ai cesser de pousser et j'ai pant et respirer et haleter.

« Et pousser. »

Et je pousse. « Et pousser. » Et je pousse. Je perds le comte car je me concentre sur poussant, et sur la douleur, je suis en. Le bébé se sent plus comme un melon d'eau qu'un nourrisson.

« Et pousser. »

Je jure devant Dieu, s'il dit de pousser une fois de plus putain, je vais arracher la tête. Lui laisser un bébé putain et je vais dire il pousse.

« Très bon ». Et le compliment me fait me sentir mieux. Me donne envie de faire mieux. « Et près de là. » Je peux voir le dessus de la tête du docteur piquer au-dessus de ma robe. « Et une plus grande Poussée! »

Je pousse avec tout ce que j'ai et Oh mon Dieu ! Il se sent merveilleux, comme un train de marchandises vient de passer de mon corps. Doux soulagement ! Et la douleur.

J'entends un snip et le médecin se dresse et tient mon bébé par ses jambes. Ses jambes. Il a un tout petit pipi de pipi peu. Je sens mes sourcils augmenter. C'est un garçon. Mais il est bleu. Il fesse du bébé. Il tient mon bébé tête en bas. Pourquoi il tient lui à l'envers ? Il fesse mon bébé encore une fois, et mon bébé hurle !

C'est le plus beau son au monde.

Le médecin remet le bébé à l'infirmière et elle lui termine dans une couverture. Elle l'emmène de l'autre côté de la salle.

« Félicitations, c'est un garçon. »

« Colle ». Je m'entends dire à haute voix.

« Quoi? » Visage du médecin est perplexe.

« Rien ». Je suis souriante

« Ce qui vous allez nommer lui? » Il remonte à travailler sous ma robe.

« Johnny, après son père. » Et je l'aime partout à nouveau. Je lui pardonne. Il doit venir. Il ne serait pas manquer ça. Il est probablement dans la salle d'attente. Mais comment il sait que je suis ici ? Sûrement il aurait garder un œil sur moi. Mais comment il sait quel hôpital ? Ou quand je me suis admis ? Je pleure. Comment a fait une telle chose merveilleuse se tellement foirée ?

« Comment nous portons-nous? » le médecin a dit que l'infirmière me nettoie sous ma robe. « Nous faisons beaucoup mieux. »

Je vois le médecin prendre un instrument de la serviette. Sa main disparaît sous ma robe.

"Cela va coincer un peu. Je vais me contenter de mettre quelques sutures. »

Il marmonne quelque chose à l'infirmière et elle repart et revient. Après quelques minutes, sa tête apparaît sous mes pieds, « et nous sommes tous ensemble. » Il se dresse et marche sur à l'infirmière. Il regarde par-dessus son épaule, pointant à mon bébé ; il chuchote quelque chose à lui et puis se tourne vers moi. « Il est un beau garçon. » Il sourit. "Je pense que c'était ma livraison plus rapide jamais, il essuie la sueur de son front sur son avant-bras et puis tend ses mains pour l'infirmière et elle enlève ses gants.

"Je n'aime pas manger et courir, mais nous sommes réels occupés aujourd'hui. Je dois y aller." Il regarde l'infirmière avant qu'il s'agit de mon côté. « Nurse Betty devrait être en mesure de gérer les choses d'ici. » Il murmure. J'ai rire à sa référence au personnage du film bouffon. Il serre ma main et puis laisse.

Nurse Betty mains mon bébé à moi avec une petite bouteille de formule, et je suis effrayé. Il est à moi ! C'est mon travail pour prendre soin de ce petit bonhomme. Je regarde son visage peu précieux. Quelque part entre les médecins fessée et maintenant, petit Johnny a dérivé au large de dormir. Il a une culture épaisse de cheveux blonds. Il a l'air comme il a été un bain de soleil, sa peau est si sombre. Ses yeux sont meurtris. Je touche mon nez à la sienne et je lui baise. J'ai manger la bouteille à ses lèvres et il commence à sucer. Je me demande où Johnny est. J'aimerais qu'il soit ici pour voir son fils. Pourquoi il n'a pas essayé de venir pour moi ? En trois mois, pas un mot. Je pleure, ruisselant sur mon pauvre bébé. Où est Johnny ? Il devrait être ici.