Chapitre 1 : Fin de la guerre

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Information avant de commencer votre lecture : Cher Lecteur ayant des lacunes avec la langue française, n'étant pas écrivaine, romancière, essayiste, nouvelliste, poète, fabuliste, dramaturge, critiques littéraires, pamphlétaires, etc. J'ai corrigé cette histoire en utilisant les applications suivantes : Languagetool / Cordial / Scribens / Reverso. Il se peut qu'il reste des fautes même en utilisant ses applications. Bonne lecture.

Mpreg : C'est une abréviation de "Male pregnancy" dont la traduction française est "Grossesse masculine", ce qui signifie donc, que la fanfic que vous vous apprêtez à lire contient un/des homme(s) enceint(s). Attendez-vous à des explications pseudo-scientifiques tirées par les cheveux et à un accouchement plutôt périlleux.

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Le soleil venait de se lever de ses rayons orangés sur un champ de ruines qu'était devenue la Vallée de la fin. On pouvait voir la terre retournée suite au combat, des traces d'impacts dans le sol. Les statuts de Madara Uchiwa et d'Hashirama Senju qui étaient fièrement dressés n'étaient plus que des fragments tachés de sang éparpillé sur le sol. Tout n'était que désolation suite au combat de nos deux Ninjas qui avaient vaincu Obito Uchiwa, Madara Uchiwa et Mugen Tsukuyomi.

Sasuke Uchiwa était allongé face contre terre souffrant atrocement de ses blessures interne qu'externe. Il sentait que ses os avaient tous été touchés par les attaques qui lui avaient infligé. Sa respiration était difficile tout comme ses yeux qui lui faisait si mal qu'il ne pouvait les garder ouverts. Il prit une grande inspiration et soupira une dernière fois. C'était donc ainsi qu'il finirait lui le dernier Uchiwa de Konoha.

Naruto Uzumaki était allongé sur le dos regardant hébété le triste spectacle que lui offrait son ami. Pourquoi ne se relevait-il pas ? Il se leva avec quelque difficulté pour le rejoindre évitant les fragments des statuts. Kurama n'était pas en état de regarder les conséquences de ce triste combat qui venait d'être fait retournant dans sa cage pour se reposer. Il s'écroula à genoux à ses côtés agrippant sans réfléchir son épaule le retournant priant qu'il soit en vie. Il découvrit son visage opalin recouvert de terre mélangé à du sang d'une main tremblante, celui-ci mit son doigt sur la carotide à la recherche d'un pouls, mais ne sentit rien augmentant sa panique dans son esprit. Ses larmes se mirent à couler le prenant dans ses bras ne pouvant s'empêcher de répéter des non. Il fut sorti de sa transe par la voix de Kurama qui avait été réveillée par sa détresse.

« - Arrête de pleurer. » Intervient-il d'une voix neutre découvrant son état.

- Je ne voulais pas que ça se finisse comme ça ! s'exclama-t-il en pleure devant la non-réaction de l'ébène dans ses bras.

« - Tu es stupide ?! Dans une guerre, il y a toujours des morts. De plus, tu vas pouvoir le ramener au village ! Je suis certain que Sakura lui fera un très bel enterrement et te remerciera de lui avoir ramené ! » Rappela-t-il en grognant tapant contre la cage comme lorsqu'il était encore enfermé.

Naruto fut choqué des paroles de son Bijû prenant de plein fouet la vérité qui s'était longtemps voilé la face. Il regarda le visage de Sasuke sans vraiment le voir observant les alentours. Il n'était pas stupide, c'était la situation qui l'était. Il ne pouvait s'empêcher de penser qu'il avait tué la personne qu'il aimait le plus au monde. Et tout ça pourquoi ? Pour qui ? Il se redressa remontant le corps du brun de manière à avoir sa tête dans le creux de son cou.

- Ce n'est pas possible. Réveille-toi, crétin. Supplia-t-il ne voulant pas le perdre.

Kurama avait raison de lui rappeler qu'au début, il avait entrepris tout ça pour Sakura pour avoir ses faveurs, croyant être amoureux d'elle. Cependant, la rosée n'était plus la raison principale de vouloir son retour depuis bien longtemps maintenant. C'était devenu vital pour lui, ayant développé une relation particulière entre eux depuis leur enfance jusqu'à présent. La douleur qu'il ressentait à cet instant n'était rien comparée à l'idée d'avoir perdu son monde par sa propre faute.

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