1. Commencement

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Une nouvelle journée dans une nouvelle ville noté l'ironie don je fais preuve. Avant cette tragédie j'habitais à Lyon et me voila à Paris. Après m'être habiller simplement d'un slim noir et d'un t-shirt noir aussi et des mes vans chérie je rejoignis mon grand frère en cuisine qui n'étais pas tout à fait réveiller vue la tronche qu'il avait. 

"Hey toi ' dis-je à mon frère qui me répondis juste en grognant comme un ours. Juste pour dire il s'appel Aidan.  Je pris une pomme que je fourra dans mon sac et je m'arrêta en face du miroir du couloir. Je vis mon reflet avec un teint pale qui pourrais rivaliser avec Blanche Neige et mes long cheveux noir corbeaux et mes yeux noir qui donne un air de film d'horreur sur mon visage la seul touche de couleur sur moi son mes lèvre rose rouge charnue.  Je suis la photocopie de mon frère. Puis nous sommes pas frère et soeur pour rien j'ai envie de dire.  Pour ma part je ne suis pas bavarde j'aime beaucoup trop la solitude pour essayer de me faire des amis. Je préfères être accompagner de livre que d'humain à par mon frère. 

Je descendis les escalier de notre appartement à une vitesse folle car mon ringard de frère claxonner comme un malade en bas pour que je me magne un peut.  Moi qui voulais monter devant je vis sa nouvelle conquette fin sa nouvelle pouf. 

"Une nouvelle con-quette. Aidan" demandais-je à mon frère, "ferme la Adé". Je vis le pot de peinture se retournais vers moi elle a voulue faire une battle de regard avec moi sauf qu'elle ne sait pas que je ressortirais gagnante si elle veut jouer à ça. 

"Qu'est ce que tu veux la gothique tu te prend pour qui ?"

"Pour ton pire cauchemar et toi t'es qui pot de peinture ?" Demandais-je 

"Prend son ironie comme de la rigolade Charlotte ne fais pas attention à elle." Dit mon merveilleux con de grand frère 

" Le sens de l'ironie est une forte garantie de liberté. Maurice Barres . Alors ne crois pas que je t'aime pot de peinture. " Après cette petite discutions je mis mes écouteurs et je m'évadais dans mon petit monde de la musique. 

Après m'être diriger vers les listes des élèves je partit à la recherche de l'amphithéâtre après une longue et minutieuse recherche je la trouvas enfin cinquantaine  élèves était assis à attendre notre professeur. Tous me dévisagèrent bon je veux bien comprendre que mes yeux donnent un air glauque mais pas à se point non plus fin je l'espére. J'avais repéré dans ma classe le groupe de filles populaire au mini jupe et à la teinture blonde et au rouge à lèvre rose bonbon. C'est cliché un peut non, je l'admet.  Après que notre professeur principale vienne pointé le boue de son nez je pris vite place au fond de la classe. Bon malgré mon apparence bizarre t glauque d'après certaine personne je suis une très très bonne élèves, ce qui réjouis mon frère au plus haut point. 

Un garçon près de moi avais essayer de me parler mais il c'était manger un énorme vent, ses amis pouffèrent de rire directement. J'espère qu'il m'excusera mais la gente masculine j'aimerai bien m'en passer après ce qu'il m'est arriver l'année dernière. Je  n'ai pas envie de retourner voir un psy.  Le professeur me coupa de ma rêverie 

"Toi la récite moi une citation" Je le regarda un moment avant de répondre, quelque filles rigolèrent en croyant que je n'allais pas répondre, non enfaîte j'étais juste entrain de réflechire à qu'elle citation je pourrais réciter. 

" Le seul moyens de se délivrer d'une tentation, c'est d'y céder. Résistez et votre âme se rend malade à force de languir ce qu'elle s'interdit. Oscar Wilde." 

"Très bien jeune fille très bien comment te nommes tu ?" 

"Adela, Adela Janson." Dis-je d'une voie détacher.  Que le ciel m'aide à moins parler pendant cette année de droit. 




Joyeux MalheurWhere stories live. Discover now