Chapitre 5: Drôle de journée

58 1 0
                                    

Les deux hommes se braquèrent en me voyant et me demandèrent qui j'étais. Je leur répondis que j'avais entendu une belle mélodie et que je l'avais suivie. Ils se calmèrent et l'on se mit à discuter.
Au fur-et-à-mesure de la conversation l'homme au yeux doré devient de plus en plus sérieux alors que son ami, lui devenait de plus en plus amical et attachant.
Notre conversation s'arrêta quand la jeune fille, qui se nommait Lacie, s'approcha pour nous dire de rentrer.
Soudain une bête féroce me bondit dessus me faisant tombé à terre. Je ne pouvait plus bouger paralisé par le danger que représentait mon agresseur.

-Oups! Je suis désoler aller vien Cheshire.

-Miaou! Rororororo...

-Aaaaaaaarg! Enlevé moi ce monstre!me mis-je a hurlé.

-Cheshire vien ici.

-Rorororororororororo...

-iiiiiiiiiih il se frote contre moi aidé-moi je vous en supli !!!!!les supliais-je les larmes aux yeux

-Ahahah c'est sa ta décendence Glen. Sa promer !!!! Ahahahah

-Grrr...

-Cheshire tu vien ici!

-Ouin! Je vous en suplie je ferait tous se que vous voulez OUIN!!! J'étais maintenent en larmes

-Rororororo

-Ahahahahah on est pas sorti de l'auberge ahahah

-...grr....

-Vien ici vilain matou!

-Miaou! Rororororo

-Aaaaarg OUINNNNNN!

-Ahahahah bonne chance mon cher ami ahah

-Vien....s'il-te-plait Cheshire...

-Miaou! Rororo..

-Ouinnnnn!mon ame commenca a partir telment j'avais peur.

-LACIE ATTRAPE CE FICHU CHAT ET TOI JACK ARRÈTE DE RIRE COMME UN PERDU! ON DIRAIT UN SADIQUE FOU!!!!!

-Glen Cheshire ne veut pas venir...

-JE M'EN FICHE PREND LE ET ENFERME LE DANS TA CHAMBRE GILBERT EST TÉRORISÉ ON DIRAIT UN GOSSE!!

-Ahahahahahah....on dirait que Glen s'énerve!

-LA FERME JACK!!

-Vien Cheshire on part...

-Miaou!

-Tu vas bien gil...

-Ou....oui...merci...Glen...snif...

-Pourquoi tu as peur des chats?

-Je pré...préfère pas y repencer...snif.

-Ce n'ai rien...Aller vien on vas ce coucher....

-D'ac...d'accord....snif.

Le lendemain Lacie me demanda de la peindre près d'un des poteaux qui soutenaient la maison. Je passais la jounée à faire chaque feuille de sa couronne et du poteau couvert de lièrre. Nous avons mangé puis nous nous sommes couchés.

De l'ombre à la lumièreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant