Il y a toujours eu ce doute. Cette sensation de mal être inexplicable. J'ai beau aimé, adoré. Etre celle qu'on me demande d'être. Je reste toujours le deuxième choix. J'ai des amis mais qu'est ce que je suis pour eux ?
Le problème des relations c'est qu'on ne ressens pas pareil. Certains aiment plus, d'autres aiment moins. Et tout ça dans le fin fond de leurs esprits.
Je ne comprends pas vraiment pourquoi est ce que tout le monde est si hypocrites. Personne n'ose dire.
Quand on aime on le cache, quand on déteste on le cache.
Cette société trop pleine de faux semblants. Je ne comprends pas.
Pourtant nous avons surement tous eu ce malheureux soir ou toute la tristesse du monde nous tombe sur les épaules et notre plus grande envie c'est de parler. Mais qui appeler ?
Pour certaines personnes c'est une évidence ! Votre meilleur/e ami/e ! Mais est ce que vous voulez vraiment le déranger pour des choses aussi futiles que votre tristesse ?
Alors vous prenez votre téléphone et scroller dans votre liste de contact en regardant les noms. Puis vous pleurez parce que au final... qui vous écoutera ? Qui prendra le temps, son temps, a vous écoutez pleurnicher ?
Et c'est dans ces soirées là, qu'on sent vraiment la solitude. La vraie. Celle qui vous écrase la poitrine et qui vous donne envie d'hurler que vous voulez plus que ça.
Nous voulons tous la même chose ! Une relation spéciale avec quelqu'un, une personne avec qui ont peut tout dire tout faire. Mais si ce genre de relation est rares c'est peut être parce qu'on écoute pas assez ?
Ciblés sur nos problèmes égoïstes on en vient a oublié le mal qui nous habite tous.
Tu mérites d'être consolé plus que les autres ?
A bon entendeur.