Chapitre 6 - C'est moi ken.

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Point de vue havana.

Qu'est-ce que je fou là ?
Je suis en plein milieu d'une forêt, je ne comprend pas, je me suis endormie à l'hôtel et je me réveille dans une forêt ?

Wow, wow, wow...

Je peine à me relever une fois relever je sens que quelque chose à changée.

Peut-être me suis-je faite mal ?

Je me tâte de partout afin de décelée ne serais-ce que l'ombre d'une douleur, mais rien.

Je reste figé un instant lorsque je remarque ma tenue.
Mon vernis.

Le même qu'ha...

Non c'est pas possible je délire c'est sa ?
Je m'appuis contre un arbre puis inspire et expire doucement.

Je me fout une claque.

-Aïïïe !
Criais-je.

Sa-y-est je deviens folle.

Je touche mes cheveux mon nez, n'ayant pas de miroir je tente de vérifier via mes souvenirs tel une aveugle.

C'est moi, c'est.. je suis havana.

Un sentiment de joie s'empare de mon esprit !
Je me met à sourire comme une débile, je décide de partir en direction "inconnue" à la recherche de la civilisation, je vais enfin pouvoir revoir ma mère, ma soeur, ma famille..

Mais attendez on m'avais pas enterré ?

Point de vue Nina

Je me réveille en sursaut.

Je suis en vie.

Un sentiment d'échec s'empare de moi.
Une balle dans la tête sa aurais était sur.

Je passe désespérément mes mains dans mes cheveux.

Je regarde autour de moi.

Je suis où ?

Oula.

Je me met à paniquer, c'est quoi ses vêtement, cette chambre ?

Je deviens folle ?
Les médicament on dût me faire délirer... J'ai du faire de la merde, comme d'habitude.

Je décide de m'habiller et de quitter cette hôtel au plus vite, je ne supporterais pas de vivre une seconde de plus.

On dis que lorsque l'on est sur le point de mourir on regrette notre vie, on veut vivre,  quand j'ai avalais cette poignet de medicaments, je n'es pas le moins du monde regretter, j'étais heureuse d'enfin mettre fin à cette mascarade qu'est ma vie.

Mais non, je commence vraiment à croire que je ne connaîtrait jamais le véritable bonheur, celui qui te fais sourire en te réveillant le matin, non moi je me réveille en tirant la geule.

Je sort de la chambre d'hôtel, puis de l'hôtel personne ne ma intercepté afin de payé, et heureusement expliquer cette achat à mes parents serais bien trop complexe car moi même je ne sais pas ce que je foutez ici.

Je décide de rentrer chez moi.

Putain je n'est pas de quoi payez le taxi !

Vous savez quoi ? Je vais prendre le bus à l'ancienne.

Je m'arrête à un arrêt de bus, je ne sais même pas qu'elle heure il est, je décide de rester assise la, bêtement. Aussi bien il ne passe pas, aussi bien il arrive dans une heure.

-Excuse moi ?
M'interpelle une jeune fille.

-Oui ?

-C'est toi Nina samras ?
Me demande t'elle l'air ahuri.

-Euh oui pourquoi ?

-Je pourrais avoir une photo s'il-te plait ?

-Euh..pou... Oui.

Je ne comprend pas vraiment, même pas du tout.

Je prend un selfie avec la jeune fille qui ensuite me complimente sur une pseudo carrière.

Puis un autre groupe de jeune filles arrivent, puis une foule curieuses commence à s'approcher, des tonnes de telephones sont rivés sur moi, ont m'interpelle de partout, les gens semblent surpris et heureux de me voir.

Putain de bordel de merde qu'est-ce qu'il se passe nom d'un chien ?!

Alors que je commence à avoir un putain de mal de crâne, ne sachant plus du tout ou donner de la tête, je sens quelqu'un me prendre par le bras et me traîner rapidement en dehors de la foule qui commencent d'abord a nous suivre, puis leurs course est arrêtée lorsque j'atteris finalement dans une voiture.

Je n'est meme pas le temps de prendre la parole que la personne qui ma ammener jusqu'ici prend la parole, il a l'air inquiet voir en colère.

-Mais t'es malade ou quoi ? T'afficher à un arrêt de bus ? C'est n'importe quoi qu'est-ce qui t'a pris Nina ?
Le jeune homme semble ahuri face à mon comportement.

-Hum.. Excuse moi mais.. On se connait ?

Il me regarde en haussant un sourcil, puis s'approche de moi et reste fixer mes yeux.

-Ta pas fumer.. Ta bu ?
Me demande t'il.

-Hein ? Quoi ? N'importe quoi.

-Nina écoute il ne faut pas agir de cette manière encore moins alcoolisé, ni même sur un coup de tête c'est super dangereux crois moi.

-Mais..

-Il n'y a pas de mais Nina, je suis exposé aux médias depuis plus longtemps que toi, j'ai donc plus d'expérience, et de vécu dans se domaine, donc écoute se que je t'es dis et ne joue pas les butés s'il-te-plait.

Je ne dis rien, l'impression d'être une gamine qui se fais gronder par sont père.
Je ne comprend décidément rien.

-Maintenant dis moi où se trouve ton hôtel, mon chauffeur va t'y ammener.

-Non.

-Quoi non ? Nina il faut que tu tienne ton agent au courant de se qu'il s'est passer, les médias vont inventés toutes sortent de connerie sur ta présence à cette arrêt de bus.

-Je m'en fiche je ne veut pas y retourner.

-Bons honnêtement je te penser plus intelligente que sa. Tu est à présent dans un monde de requin, t'es moindres fais et gestes sont epiés, une chance que je sois passé devant cette arrêt de bus et que je t'es vu, sa aurais pu être dangereux, il faut que tu informe ton agent de cette incident je doute qu'il apprécierait de voir que Nina samras était toute seule à un arrêt de bus, crois moi c'est mieux qu'elle l'apprenne de toi.

-Qu'est-ce que tu ne comprend pas par "je ne veut pas y retourner" ?
Lui répondis-je agacée.

-Nina... (soupire) bon..
Il se tourne vers le chauffeur et lui indique une adresse.

-Mais au faite tu est qui, je ne comprend rien !
Lui redemandais-je.

Il me regarde quelque seconde, puis finis par me répondre.

-C'est moi ken.

Bresson (Fini) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant