Un jour, on m'a parlé de la liberté.
Liberté d'expression, ou simplement liberté.
Elle permet de parler librement,
Sans jugement.
Mais nous, nous nous en privons.
Nous nous réprimons.
Nous sentons dans notre gorge une boule coincée.
Mais nous n'osons pas la lâcher.
À cause de cette société,
Qui aime nous caricaturer,
Qui nous nourrit de mots blessants,
Qu'on ressent intérieurement.
Alors, pour cacher cette haine,
Nous sourions.
Nous étouffons notre peine,
Et nous rions.
La liberté existe,
Mais elle n'est pas exploitée.
Il faut donc qu'on persiste,
Pour trouver sa clé.
Peut-être qu'un jour nous lèverons notre verre,
À la liberté.
Peut-être qu'un jour la terre entière,
Ne va plus hésiter
A ouvrir son cœur.
Ce jour sera celui du bonheur,
Celui où on ne sera plus rejeté,
Le jour où on va tous s'aimer.
Les différences vont nous rapprocher,
Les races, les nations seront mises de côté.
Et nous penseront,
À l'avenir qui se prépare,
Et nous construirons,
Un seul continent qui s'appellera l'espoir.
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Larmes du cœur
Puisi''Le regard est la chose la plus pure de l'homme ; regarde bien au fond de ses yeux avant de croire ses mots''.
