Toi qui nous abrite, pauvres petits perdus,
Devant tes terres et tes belles étendues
La chaleur de ton centre et tes monts enneigés
Désert de sable brun, horizon de maréeVient alors le temps du vent :
Quand souffle la brise dans les champs
Et que le rouge enfin envahit la forêt
Formant un tapis aux flamboyants attraits.Ta chevelure blanche recouvre les sommets
Et le vent souffle sur les monts givrés
Et le froid annonce le retour au repos
Des petits et grands animaux.Les cigognes sont passées ! Tes plaines fleuries
Et sous ton grand ciel se développe la vie
La lune se dévoile, les vagues se déchaînent
Contre les grandes falaises, se libèrent de leurs chaînes.Sous tes majestueux atouts
À chaque saison, partout
Tu revêtis tes parures
Avec beauté et grande allure
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Poésie De Mon Être
PoetryVoici mes joies, mes tristesses, mes rires, mes larmes, mes sensations en lettres