Debout sur tes quatre pattes
Tes petits encore dormants
Toi qui les protège tant,
Sais tu que tu les épatesTe voilà réveillée
Te voilà partie
Chercher à manger
Chasser quelques perdrixTout le temps
Sous ton pelage luisant
Et ton air dominant
Tu penses à tes enfantsÔ louve,
L'amour pour tes petits
Que tu éprouves
Ils le ressentent aussiÉcrit le 26/03/2017
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Poésie De Mon Être
PoesíaVoici mes joies, mes tristesses, mes rires, mes larmes, mes sensations en lettres