Alors que je rentrais
D'une journée studieuse
Et que la nuit tombait,
Escapade périlleuseSon arme s'éleva
Remplaçant la lune venue.
Sur moi frappa
Et le noir futAu côté de cet homme
Je rouvris mes yeux
Une si grande forme
Pour un si petit lieuAvec calme je pris la parole
Ce qui l'étonna
Il me prit pour une folle
À en croire le visage qu'il affichaMais la folie ne m'habite point
Car contrairement aux apparences
Elle préfère celles qui usent de leurs poings
Aux petites qui pensent.C'est d'une confiance
Aussi aveugle qu'elle m'est utile
Qu'il fait de sa vie un roman
À la vitesse d'un battement de cil.C'est le malheur de l'enfance
Qui guide ses pas
Imaginant que sa malchance
Est ce qui le forgeâtIl subissait la colère
Mais aussi la violence,
Respirait la poussière
Sans une pensée de vengeance"Tu veux me donner à mon tour
La puissance de vaincre.
Mais moi c'est le jour
Et non cette souffrance acreQui me soutient
Et comme le soleil
Ma force revient
Tous les jours de plus belleLâche tes remords
Ouvre ton âme,
Libère ton corps
De toutes ces larmes.Vois tu la clarté
Qui se répand pour toi
Dans le ciel pour la journée
De ta nouvelle joie.."Écrit en décembre 2017
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Poésie De Mon Être
PoetryVoici mes joies, mes tristesses, mes rires, mes larmes, mes sensations en lettres