Au bord des larmes.

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Tous les jours, on m'insultais, frappais au collège, dans la rue. J'en avais vraiment marre.

Tous les soirs je rentrais en pleurs, et ma mère rentrant tard le soir, ne remarquait rien. Comme toujours.

Le samedi qui arrivait, ma mère qui ne travaillait pas les samedis, m'a demandée d'allez acheter du pain. Je pris un peu d'argent et suis allée à la boulangerie. Sur le chemin, j'étais en train de remarquer que les gens autour de moi s'arrêtaient, ils me fixaient. Tous. Ça me faisais peur.

"-Dégoûtante.."

"-Elle est vraiment hideuse !"

"-Elle fait peur.."

"-C'est elle qui les a tuées ?"

"-Ma chérie, ne regarde pas..."

"Non...S'il vous plaît, écoutez moi...Je n'ai rien fais" ! J'aurais aimée prononcer ces mots, hélasaucun son ne sortais de ma bouche.

Les larmes montait, elles coulait doucement le long de mes joues puis, une fois que j'avais retrouvée ma voix, je m'étais mise à hurler, hurler pour tout.

Les larmes montait, elles coulait doucement le long de mes joues puis, une fois que j'avais retrouvée ma voix, je m'étais mise à hurler, hurler pour tout

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Pourquoi personne ne me croyait ? Pourquoi ? Si seulement j'avais sue à ce moment là.

Soudain, les gens ont arrêtés de me fixer, comme si rien  ne s'était passer, ce qui était le cas, j'avais cessée de pleurer, mais quelques larmes coulaient encore. Sur le chemin du retour, j'ai déposée  le pain chez moi sur ma table du salon, et j'ai eu une idée: Aller chez Nana, pour que tout cesse. Que j'étais bête.

Ce n'était vraiment pas une solution, mais à mes risques et périls, je pensais que je devais y aller. Le lundi matin, j'ai dit au revoir une dernière fois  à ma mère avant de m'en aller "en cours". Oui, c'était la première fois que je séchais. Je me suis rendue chez elle, un peu apeurée, mais en prenant mon courage à deux mains, je pouvais le faire.

Sa porte étais ouverte, je suis entrée et commença alors à fouiller sa maison. Rien. Je n'ai pas eu le choix: direction la cave ! Génial ! En fouillant légèrement dans cette pièce de l'enfer, j'ai trouvée une sorte de dessin d'enfant: 

 Je n'ai pas eu le choix: direction la cave ! Génial ! En fouillant légèrement dans cette pièce de l'enfer, j'ai trouvée une sorte de dessin d'enfant: 

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Il y avait une écriture d'enfant, et des dessins simpliste: 

"-Andrea, Nana, Papa, Maman... C'est bizarre..."

"Papa" et "maman" étaient barrés.Et il y a un prénom en plus: Andrea. Elle avait une sorte de peluche à sa main. En fouillant un peu plus, j'avais remarquée une lettre un peu déchirée...

Not my friend.  [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant