« Il vaut mieux aimé qu'être aimé ; d'abord, on choisi.» ↬ Diane de Beausacq
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J'avais envie de pimenter ma vie banale.
J'avais envie de vivre quelque chose qui me procurerai des ressentis nouveaux, prenants, puissants, obsessionnels.
J'avais envie de partir de ma petite ville campagnarde pour rejoindre la grande, l'urbaine, l'aubaine pour moi.
J'avais envie d'une cigarette. C'était idiot, je ne fumais plus depuis des années. Oui mais voilà, c'est comme ça la vie... Vous faites preuve d'une volonté formidable et puis un matin d'hiver, vous décidez de marcher quatre kilomètres dans le froid pour racheter un paquet de cigarettes, qui vous coûte une oeillade fatale.
Tu étais là, avec tes amis.
Je ne te connaissais pas, toi non plus d'ailleurs. Il n'y avait aucunes raisons pour que tes yeux dérivent sur ma présence, aucunes.
Pourtant je t'ai vu me sourire, me regarder, me scruter, m'aimer l'espace d'un instant.
Ce fut pour moi un moment si extraordinaire, un instant si magique, avec des sentiments tellement inexprimables, que la chute qui fut si violente, me détruisit complètement. Je suis anéantie, abattue, brisé. C'est si dur de revenir sur Terre lorsqu'on a côtoyé les étoiles.
Tu as détourné le regard, me laissant avide, curieux, pantois.
C'est idiot, ton oeillade n'a duré seulement l'espace d'un instant, pourtant tu attises mon attention, mes sens, mes désirs, et ce pendant la journée, mais également quand ses sentiments créent mes insomnies la nuit.
C'est d'ailleurs lors d'une de ses dernières que je me suis résolue à une conclusion : «Aimer, ça craint.»
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Alors ? C'est pas trop bizarre ? ;-;
J'essaie un nouveau style d'écriture, n'hésitez pas à dire ce que vous en pensez.
Oui c'est histoire qui semble pas être très joyeuse, mais j'avais envie, je me suis sentie inspirée.
Elle sera courte, très courte. Mais comme ça elle sera finit dans la soirée, ou demain.
Ouais je vais sortir tous les chapitres, comme ça. Genre un marathon de chapitres.*^*
Hope you like it ! ;;
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Oeillade ↬ Taegi
FanfictionJ'avais envie d'une cigarette. C'était idiot, je ne fumais plus depuis des années. Oui mais voilà, c'est comme ça la vie... Vous faites preuve d'une volonté formidable et puis un matin d'hiver, vous décidez de marcher quatre kilomètres dans le froid...
