Epilogue 2

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Mélia, court dans le somptueux parc de mes parents, ses cheveux blond vole au vent, un somptueux sourire orne son visage angélique. Elle est tellement belle, insouciante et innocente à travers elle c'est moi que je vois.

Tout allait bien pour mon bébé confortablement installée sur sa serviette dans le parc verdoyant en une belle journée ensoleillée... Quand tout à coup un petit animal, ayant trouvé le compagnon de jeu idéal, a sonné la charge et s'est rué sur mon bambin. Heureusement il ne s'agissait que d'un petit chien inoffensif, un yorkshire-terrier, d'humeur joueuse. Arrivé à hauteur du bébé, le petit chien lui tourne autour, sautille sur place, le taquine. Après quelques secondes passées sans prêter attention à l'animal, Mélia se prend au jeu et rend à son petit compagnon quelques gentilles tapes amicales.

Les deux compagnons d'un jour s'observent à nouveau quelques secondes, se jaugent avant que le chiot ne riposte et se mette à mordiller les doigts de ma fille, puis les orteils de son soi-disant adversaire. Des mordillements qui ressemblent plus à des chatouilles comme en témoignent ses éclats de rire. Ma princesse finit par ne plus savoir où donner de la tête, dépassée par les attaques incessantes du canidé. Et quand, toujours sans violence, ce dernier lui attrape l'oreille, elle se retrouve sur le dos agitant ses petites jambes dans le vide. Vaincu.

-Papa! Crie t'elle
-Papa!

J'ai beau l'entendre, je ne la vois pas. Cherchant par tout les moyens de savoir d'où proviens ses cris. J'ai beau chercher partout ... nul part ... rien plus de Mélia plus de Eva non plus. Jai chaud, mon coeur bat tellement vite que je risque la crise cardiaque.

-EVA, MÉLIA. Hulé-je à mon tour. OU ETES VOUS?

Plus un bruit, plus de parc, plus de soleil, plus de chien, d'arbres d'enfants. Tous deviens noir puis des rires ... Eva je reconnais son rire. Eva mon amour ou est tu? Mes yeux  commence à s'embrumer de larme. Soudain je la vois, port de tête haut, bras croisé sur la poitrine , sourire au lèvre.

-Tu profite bien du spectacle Alexis? Tu as voulu jouer,  ...  tu as perdu. Me nargue t'elle. Dis moi espèce de porc sa fait quoi de passer à côté du bonheur? Et de te dire que ça là ... tous ça. Dit elle en faisant un signe de la main à Mélia qui reviens près d'elle. Tu la eu en ta possession et tu la balayer en un claquement de doigt.

Elle ne me laisse pas le temps de lui répondre quoi que se soit que déjà elle me tourne le dos. Emportant au loin ma vie passé.

-NON! NON! NON! REVENEZ!

Tout à coup je me réveil en sursaut, trempé de sueur, ma poitrine monte et descend à un rythme effréné. Mes point serrés le long du corps tendu par la rage qui m'anime. La bouche seiche je me penche, attrape la bouteille de whisky qui traine au pied de mon lit comme les dix cadavres de bouteilles éparpillés ici et là!
La brandissant, je l'apporte à mes lèvres pâteuse, le liquide ombré qui s'en écoule m'apporte une brûlure bienvenue. Encore un cauchemar! Dix mois que je fais des rêves étranges, sept mois qu'il sont devenus cauchemar. Peut être à cause de la prise d'alcool et de drogue, les deux ne font pas bon ménage. M'Apercevant  de se que je viens de dire, je balance rageusement la bouteille d'alcool contre le mur. Elle fini par éclater en mille morceaux, dans un bruit sourd en moins de cinq seconde. Quel ironie? Exactement le même sort qui m'est arrivé dix mois plus tôt.

Moi Alexis Maynard, je suis devenu, une pauvre merde, je ne suis plus que l'ombre de moi même, le départ de la femme de ma vie je ne m'y suis toujours pas résolu alors pour oublier je suis sortie avec cette Alice, ont faisait la tournée des boites ont picolé jusqu'à plus soif si bien qu'avec la fatigue accumulée je me suis mis à snifer de la cock. Devenue rapidement dépendant je n'étais ni en mesure de m'occuper de ma fille, ni même de l'appeler pour prendre de ses nouvelles. Mais c'est pour elle que j'ai trouvé la force de me battre, repenser à ce que j'avais perdu à jamais ma donner la force de partir en cure de désintoxication. Malheureusement hier, parti pour Seattle les retrouver en profitant de l'anniversaire de ma  fille pour aller les retrouver et reconquérir Eva. Tout mes bonnes résolutions ont volé en éclat quand tôt le matin dans l'allée de son immeuble, je me suis retrouvé avec un mec sortant de chez elle! Il ne m'a pas fallu longtemps pour comprendre qu'Eva m'avait remplacé Et sûrement trouvée un pére de substitution à ma fille!

Dans le fond elle n'a pas tellement tord, Eva n'est pas le genre de femme qu'on trompe. Non! Elle du genre qu'on épouse et à qui on fait des gosses.
Moi! Je lui ai fais un gosse sans l'épouser et de sur plus je l'ai trompé. Quand à Mélia, la dernière fois que je l'ai vu, elle avais à peine 4 mois! C'est tous juste si je ne suis pas un étranger pour elle. Cette dure réalité fait monter une larme unique qui se met à couler le long de ma joue droite.

Anéanti, de voir qu'un autre ai la place que jai occupé jadis me tord les boyaux, mon estomac ne le supportant pas, je rend à même le hall tout mon déjeuner.

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Et c'est déplorable, accablé, Et éprouvé que jai regagné mon penthouse, je me suis soûlé, baiser Alice. Re soûler, puis comprenant qu'elle avait définitivement tirée un trait sur nous, ... sur notre famille, j'appelais ma mère, pour répondre favorablement à sa requête.

Pourquoi moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant