MAUVAIS TIMING

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Nous sortons de la chambre de Mélia, je suis euphorique à l'idée de la posséder. Une fois à l'intérieur de notre chambre, je la plaque sans ménagement contre la porte, un petit cris de surprise passe à travers ses lèvres charnues. Mon dieu, que j'ai envie d'y goûter! Je m'abaisse sur celle-ci, mon baiser se vaut affamé, autoritaire, elle introduit sa langue dans ma bouche et trouvent ensemble la dance parfaite pour nous laisser pantelant tous les deux. Je glisse mes mains baladeuses sur ses flancs, pour acheminer à mon but ultime ses seins, rond fermes et volumineux pas du tout la même description qu'elle m'en avait fait 10 minutes auparavant. Je les soupèses les malaxes et je finis de durcir dans mon pantalon. Eva à la respiration courte et saccadée, je me détache d'elle le temps pour moi de lui retirer son affreux t.shirt, j'en profite pour lui retirer son legging qui lui fait un cul superbe!

-Pas de culotte Madame. Dis-je en bougeant mes sourcils.
-Fait moi l'amour Alex. Répond t'elle à bout de souffle.

Répondant à sa supplique, je la porte jusque sur notre lit, me déshabille entièrement devant Eva qui se rince clairement l'œil.
J'aime qu'elle me regarde avec son petit air coquin sa m'excite tellement. Une fois entièrement nu, je me positionne devant ses jambes que je maintien fermement ouverte pour pouvoir avoir libre accès à se sexe qui ne demande qu'à être baissé. Au premier coup de langue, elle se tortille, sa tête allant de droite à gauche, je continue dans ma lancée en insérant deux doigts en elle se qui la fait hurler de plaisir. Parfait! À se train là elle n'en aura plus pour longtemps.

-Allez bébé, montre à ton homme comme tu aime que je m'occupe de toi, lâché toi Eva! Vas-y! Ordonnais-je.
-Hum ... Ouiiiiii mon amour c'est Bon continue t'arrête pas.
-J'en ai pas l'intention bébé profite sa va durer toute la nuit. Dis-je fière de moi.

Sentant qu'elle est sur le point de jouir, je cesse tout mouvement et entre brutalement en elle. Putain! Ce que c'est serré, on dirais que je fais l'amour à une vierge!

-Ça va? M'inquiétais-je.
-Oui, c'est bizarre, on dirais que c'est une première fois pour moi, doucement s'il te plaît.

Je commence à me mouvoir lentement en elle, de peur de lui faire mal, puis voyant qu'elle se détend de plus en plus en lâchant des petits râles de plaisir j'y vais plus franchement.
Je la pilonne fort et vite ne la lâchant pas des yeux. Ses mains se balade sur moi, sur mon cul, mes jambes puis en me griffant le dos elle me rapproche d'elle pour que nos bouches se lient. Elles est sur le point de jouir quand.

"Ding dong!" "Dinc dong !"

Suivit de coups portés à la porte d'entrée, soucieux je stop tout mouvement. L'excitation d'Eva la pousse à protester.

-Je t'en supplie mon ange n'arrête pas, n'arrête pas.

Je vois dans son regard de la supplice, elle n'en peux plus elle est à deux doigts d'atteindre l'orgasme et compte bien y arriver. Elle me pousse puis m'enjambe pour être à califourchon sur moi, tient, ma queue pour pouvoir la positionner correctement et m'empale. C'est elle qui domine et le spectacle qu'elle m'offre est des plus existant, ses seins bougent aux grès de ses mouvements. Seulement je la repousse quand j'entends.

-Police! Ouvrez! Nous savons que vous êtes là monsieur Maynard!

Merde! C'est quoi encore ce délire, sortant à la hâte du lit, je vais d'un pas rapide à mon armoire enfiler un bas de survêtement pour pouvoir ouvrir à l'agent de police qui s'impatiente derrière ma porte d'entrée.

-Rhabille toi! Dis-je sèchement à ma femme.
-C'est une blague! Tu compte me laisser dans cette état?

Et re merde! La voilà maintenant qui me fusil du regard, ne pas assouvir sa femme au lit est du jamais vu chez moi. Malheureusement, circonstances obligent nous ne pouvons faire autrement puis qu'est-ce qu'elle croit! moi aussi je suis resté sur ma faim ! Ne voulant perdre plus de temps je me contente de lui rappeler de se revêtir et part au rez-de-chaussée.

Pourquoi moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant