Paris,France.
Le lendemain,
Notre chère Aryah, était dans la belle ville parisienne mais elle n'était pas la bienvenue.
Elle était le rejet de la société, elle ne correspondait pas aux critères de la société actuelle.
Elle était considérée comme une insulte aux yeux de la société.
La société c'est les Hommes et leurs idéologies et c'est eux qu'ils l'ont créé.
Ces anciens camarades de classes n'hésitaient pas à se moquer d'elle ouvertement.
...-Aryah t'es devenue comme ça? Dit-il.
Un autre répliqua
...-Tes vielles dents...tu les brosses pas? ajouta-t-il.
...-Mon Dieu mes narines vont saigner à cause de son odeur...mes yeux frôlent l'aveuglement, Rétorquat-elle.
...-Ta bouche toi! Dit-il
...-Écoute toi! Quand je vais m'évanouir à cause de son odeur, c'est la sécurité sociale de mes parents qui va souffrir...
C'est toi qui va me transporter à l'hôpital? Questionna-t-elle.
...-Avec ton gros corps il risque de casser tout son corps frère!
Dit-il.
...-Tshipppp!
...-En tous cas Aryah j'ai été ravie de te revoir...
...-Pas moi j'espère qu'elle va pourrir ici! Dit-elle s'en allant.
Les paroles sont tellement puissantes et ravagent le cœur progressivement...
La bouche c'est une arme qui détruit.
Les Hommes sont tellement cruels et préfèrent tuer les frères plutôt que de les aider.
Ce degrés de souffrance qui s'installait dans la vie de notre Aryah.
Ces insultes perpétrés au final cela devenait normal de se faire insulter.
Après tous elle est folle et pour les Hommes elle le méritait...
Mais pourquoi juger une personne alors qu'on ne connaît pas son histoire?
Pourquoi détruire une personne alors qu'elle est déjà en destruction?
Pourquoi le cœur de l'Homme est si mauvais?
Heureusement que Dieu est la pour donner et manifester cette amour.
L'amour de Dieu est incomparable avec celui des Hommes.
Aryah
Je ne suis pas libre mais je ne sais pas pourquoi on m'en veut...
Qu'est-ce que j'ai fais de mal?
Je sais que j'ai été plutôt désagréable avec plusieurs personnes et maintenant la folie me le fait payer et ça m'attriste.
Mais est-ce que je le mérite vraiment?
La folie a commencé de manière progressive et avant j'étais enfermée dans un hôpital psychiatrique mais je me suis enfuie, je préfère la rue.
Dans cette hôpital, le vrai regard de l'Homme n'est pas réel, c'est une illusion.
Ils font croire qu'ils veulent m'aider mais en réalité, je sais qu'ils ont juste une envie; se barrer.
C'est leurs métiers bien que certains sont animés par la passion et veulent aider d'un cœur sincère, d'autres s'en foutent complément de votre état.
Je savais que c'était superficiel et faux car au final pour eux j'étais une paumée de la vie, une fille sans avenir, une folle, liboma.
Mais quand je me suis enfuie, j'ai réalisé le vraie regard que les Hommes me portaient du dégoût et du mépris.
Je savais très bien que les personnes qui travaillaient dans l'hôpital me regardaient comme ça en réalité mais ils le cachaient.
J'ai compris le vrai regard que l'Homme me portait et au moins je ne me serais pas fait de faux espoirs.
J'ai compris le monde réel et ce n'est pas le monde de Walt Disney,c'est un monde loin de l'utopie très loin même...
La vie n'est pas si facile que ça... Et j'en fais les frais malheureusement.
OMNISCIENT
Gare de Saint Lazare
Soir,
Entre ses doigts se glissent des mélodies affolantes.
Elle joue la mélodie qui était dans sa tête et qui avait besoin de s'écrire sur le piano.
Au loin, un jeune homme écoutait cette magnifique mélodie, il était très surpris.
Il venait tous les jours dans cette gare mais c'était la première fois qu'il entendait une personne jouait magnifiquement bien selon lui.
Il s'approcha d'un pas discret vers la personne qui jouait le piano, elle était de face.
La jeune femme sentant qu'une personne s'approchait, se leva brusquement et s'enfuit en courant laissant le jeune homme perdu avec cette mélodie en tête.
-LIBOMA
