Va où ton cœur te porte - Justin Bieber [Terminé]

La jalousie 👿

Sans me débarrasser de mes chaussures, j'allas dans la cuisine. Je me rappelais que c'était la que nous nous avions échangé notre premier « Je t'aime ». Sur le comptoir en marbre devant le frigo, je trouva un cœur en papier, et un festin de saumon et de roses rouges.

Désir et romantisme. Il avait assuré sur ce coup-là. Mon cœur chancelait.

« Vois m-tu où je veux en venir ? Ton douzième indice : les fleurs s'épanouissent quand tu les arroses ;) Quand ai-je arrosé les tiennes pour la première fois ? »

Flashback

— Tu m'as amenée ici pour flirter avec d'autres femmes ?

J'ouvris la porte de la maison où Justin et moi nous étions réfugiés pour fuir tout le monde pour le week-end. J'adorais ces mini-refuges où nous nous rendions spontanément. J'adorais ce côté la chez mon petit ami. Ce que je n'aimais pas, c'était quand j'allais au toilettes dans un restaurant et que j'en sortais pour voir des serveuses se jeter à son cou.

Ce que je détestais encore plus, c'était ce sourire sur son visage quand elles lui glissaient leur numéro.

— Je ne filtrais pas, insista Justin.

— En tout cas, j'avais l'air ravi d'avoir son numéro ! Je me suis absentée cinq minutes ! Zut alors, qu'est-ce que tu cherche avec ses nanas ? Tu n'es pas responsable de qui tu attires, Justin, mais tu l'es si tu entretiens le doute. Secoue-toi !

— Non, du calme. Ça n'a rien à voir ! Relax !

Je roulas des yeux.

— Alors s'était quoi Justin ?

Il passa devant moi pour rentrer dans la maison.

— Rien. Qui aurait cru que tu serais jalouse ?

La vérité de ses propos me pris au dépourvu. Oui, c'est évident, mais je ne m'attendais pas à ce qu'il le dise sans ambages. Il est comme ça - je vais reconnaître que je suis vexée mais c'est la vérité.

Je soupiras en ôtant mes chaussures et les posas à côté de la porte d'entrée. Justin me laissa seule, et monta avec sa mauvaise humeur. Je resta dans la cuisine avec la mienne. Je sais ce dont une fille a besoin dans ce genre de moments : chocolat et glace. Heureusement, j'avais un mélange des deux : glace au chocolat.

Peut-être avais-je surréagi ? J'étais allée au toilettes et quand j'étais revenue, ils étaient en train de se marrer. Quelque chose me traversa. Je ne pris même pas le peine de demander de quoi ils parlaient.

La serveuse avait regarder par dessus son épaule et m'avais vue revenir à la table. Elle avait profiter de ses diz secondes pour griffonner son numéro et le glisser à mon homme. Ce que ces nanas me testaient ! Mon petit copain regarda le numéro mais une fois qu'il vu que j'étais là, il le jeta feuille par terre.

Oh non, je n'avais pas surréagi. Ils pouvaient s'estimer heureux que je ne l'aie pas sauter dessus à travers la table. Souhaitant me mettre à l'aise mais têtue comme une mule, je m'étendis sur le canapé et zappas. J'avais du regarder trois heures de télé-réalité. J'étais à fond quand j'entendis «Chérie» venant de l'étage.

Je me blottis sur le canapé. Je n'avais pas l'intention de bouger. Une seconde plus tard, je l'entendis descendre l'escalier. Je comptais faire semblant de dormir, mais je savais qu'il me prendrait dans ses bras pour m'emmener au lit, alors je me remis devant la télé.

— Chérie...

— Quoi ?

Je posa brusquement mes yeux sur lui. Il surgit derrière le canapé. Je voulais l'ignorer mais il n'allait pas laisser les choses se passer comme ça. Il mot sa main sur ma taille, désireux sur mon attention.