Va où ton cœur te porte - Justin Bieber [Terminé]

Le restaurant 🍽

J'ouvris la porte et retrouvas enfin mon mari.

Justin était toujours aussi séduisant. Il savait que je l'adorais les cheveux détachés, mais il était super bien coiffé, les pattes parfaitement coupées. Son costume bleu marine sur mesure qui laissait entrevoir ses tatouages dans le cou me ragaillardit.
Parfois, je me demandais pourquoi il m'avait choisie, moi, mais j'étais au septième ciel d'être son élue.

En ouvrant la porte en grand, je me mordis la lèvre, adorant son air émerveillé. Je l'admirais tout aussi indéniablement.

— Je t'ai enfin trouvé.

Je savais que j'étais radieuse.

— Je t'ai vue le premier.

Il rayonnait en me parlant.

Je replongea dans le souvenir de cette fête pendant les vacances. Je fis attention à ma robe en refermant la porte, puis je descendis l'allée. Me retrouvant à mi-chemin, Justin me tendit la main pour m'aider. Je la pris, le laissant me conduire dans ses bras. Je tins son visage dans mes mains et y déposas l'un de ses baisers les plus gratifiants. Je me sentais à nouveau entière.

— Tu es si beau, chéri !

Je reculas d'un pas pour l'admirer tout entier. Il prit la pose pour moi, plein d'assurance, nous faisant rire tous les deux.

— Je ne suis rien sans ma moitié. Tu es follement séduisante mon amour. As-tu faim ?

— Oui.

— Puis-je t'inviter à dîner ?

Il se déplaça et ouvrit une main pour désigner la limousine.

— Crois-tu réellement que je vais te laisser disparaître pour le reste de la soirée ? (Je ris en me dirigeant vers la portière ouverte de la limousine.) Merci.

Justin vint s'installer à côté de moi dans la limousine extra longue, laissant le chauffeur fermer la portière derrière moi. En installant mes jambes sur ses genoux, Justin les massa légèrement. Ma main caressa la sienne. Il semblait pensif.

— Qu'y a-t-il ?

— Je réfléchis.

— Parle-moi.

— Je vais le faire.

Il plaça mes cheveux détachés derrière mes oreilles, avant d'embrasser ma tempe. Fermant les yeux sous sa caresse, je tins sa main libre et posas la tête sur son épaule. Il mit sa tête sur la mienne.

— Tu n'es pas fatiguée, hein ?

— Non, je suis heureuse. (Je portas sa main à mes lèvres pour l'embrasser.) Joyeux anniversaire chéri.

— Joyeux anniversaire.

En arrivant au restaurant, je fus aveuglée par un million de flashes au moment de descendre de la limousine.

— Attends. Laisse-moi t'aider.

Justin resta devant la porte, et attendit que je prennes sa main tendue.

— C'est bon ? demanda-t-il une fois que je pris sa main.

J'acquiesças, il entrelaças ses doigts aux miens et de sa main libre, bloqua les flashes.

— Vous êtes magnifiques !

— Par ici !

— Par là !

— Joyeux anniversaire !

Je calas mes pas dans ceux de Justin et le suivis, ainsi que Dave, vers le restaurant. (pour celles qui s'en rappellent plus c'est son garde du corps.)

Un autre garde du corps bloquait les mains tendues de la foule. Justin en vit une et s'immobilisa sur place.

— Hé! lança-t-il d'un ton sec, ne la touche pas !

— J'ai rien fait, protesta un type.

— Ne tends même pas la main ! Ne t'avise même pas de le faire !

Justin posa la paume sur mes reins. Il me guida devant lui, sécurisant son passage.

— C'est bon Justin, je gère, annonça Dave.

— Vraiment ?

Le ton de mon mari était impertinent. Je ne pouvais pas le nier : son côté protecteur était sexy.

Le restaurant était somptueux. Je n'y étais pas encore jamais allée, l'odeur de plats italiens me promettait que ce serait génial. Les éclairages étaient magnifiques, j'adorais les bougies sur les tables et la cheminée au fond.

Justin vint me rejoindre.

— Ça va ?

— Oui.

— Ces types peuvent être des sacrés abrutis !

Il passa sa main dans les cheveux.

Une réservation pour Bieber ? (Le maître d'hôtel était aux petits soins.) Suivez-moi.

Sa voix était bien trop aimable quand il nous conduisit à notre table. Des serveurs et des serveuses en noir et blanc s'occupaient de nous.

— J'ai commandé nos plats préférés, m'annonça Justin en donnant un coup de hanche dans la mienne.

C'était impressionnant qu'il me connaisse si bien.

— Tu es trop fort, le complimentai-je.

Il se posta derrière moi, il voulait être celui qui tirerait ma chaise. Voyant à quel point cela lui tenait à cœur, un serveur se retira.

Je m'assis et mis ma serviette sur mes genoux.

— Merci, mon amour.

Justin s'installa à son tour et attendit que le serveur ait terminer de remplir mon verre puis leva le sien pour trinquer.

Quand je levas le mien il lança :

— À ma précieuse épouse. Je t'aime plus que hier et bien moins que demain. Joyeux anniversaire ! À nos cinq cents prochains autres !

Je fis tinter mon verre contre le sien.

— Cinq cents ? (Je sirotas un gorgée de champagne.) Je ne suis pas sûre de pouvoir te supporter aussi longtemps !

— J'ai réfléchis des heures à ce que je voulais te dire.

...

Que va-t-il avouer ?

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