formule 1 // lewis [ RÉÉCRITURE ]

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PDV EMMA.

La sonnerie de mon téléphone indique que je dois me réveiller. J'ai sérieusement la flemme, mais je me suis rappelée que j'ai un entretien d'embauche en Formule Un, chez Mercedes, ce qui pour le coup, est plus que motivant. Il est actuellement 9h35, je dois être chez Mercedes à 11h30, ce qui me laisse du temps pour me préparer, largement d'ailleurs. Je saute de mon lit et me dirige vers la cuisine pour prendre mon petit-déjeuner sur le canapé. J'allume la télévision, et tombe sur une interview de Lewis Hamilton qui datait de deux-trois jours. Lewis. Il parlait de sa nouvelle voiture qui était superbe malgré les nombreux réglages qu'il devait faire dessus pour trouver la perfection. Il était tout sourire, et ne se doutait pas encore que j'allais rentrer dans son écurie. Son si beau sourire allait très vite disparaître. Lewis a toujours été un beau gosse et sincèrement il l'est toujours maintenant d'après les médias et les photos que je regarde, même si je m'efforce de ne pas y penser au vu de mon affection pour lui. Lewis est un beau brun avec un sourire de tombeur et un corps d'athlète, alors forcément qu'il en fait tomber des centaines. Cette pensée me dégoûte et je préfère me concentrer sur mon jus d'orange.

Lewis et moi, on se connaît depuis que l'on a deux ans, malheureusement, on ne s'est jamais bien entendu tout les deux. Il me tirait les cheveux, je lui faisais des croches pieds et on se bagarrait souvent, si ce n'est tout le temps, pour les mêmes jouets. Nous étions pourtant condamnés à rester ensemble, nos parents respectifs sont de très grands-amis et j'ai grandis avec un petit-garçon et maintenant un homme que je déteste. Heureusement avec le temps, nos chemins se sont un peu séparés, il est devenu quelqu'un de connu, et un grand pilote, tandis que moi j'ai tracé mon avenir seule sans pour autant oublier mon rêve. J'ai l'impression que quoiqu'il se passe, nous sommes liés à quelque chose de bien plus fort que la haine : la passion. J'ai toujours dis à Lewis que je serai la première fille à entrer en Formule 1, et que je reviendrais le faire chier. C'est ce que je compte faire aujourd'hui même.

Je regarde l'heure et je pars me changer, mon grand dilemme, mes vêtements. Je suis toujours en train de chercher quoi me mettre alors que mon dressing est grand. J'opte finalement pour une tenue simple et classe pour faire bonne impression. J'enfile ma veste et ma casquette Mercedes Il est déjà 10h50, j'ai environ 25 minutes de route alors je ne traîne pas. Je ferme à clé la porte de mon appartement à Monaco. Mercedes m'a contacté car Bottas s'était blessé et avait décidé de partir de chez Mercedes, en prenant sa retraite. Mais, pourquoi moi ? Je suis  dans le baquet Mercedes depuis toujours, grâce aux parents de Lewis et aux miens, je suis comme la protégée du groupe, mais ils n'ont jamais osés me faire entrer en Formule Un, par peur de faiblesse, sûrement, alors que j'ai largement montré en Formule 2 et 3 de quoi je suis capable. L'inconvénient d'être une femme dans un sport dominé par les hommes. Ce week-end est la deuxième course du championnat et j'ai été conviée à un entretien que je vais passer avec plaisir. Je monte dans ma Mercedes. J'arrive vers 11h20 et on m'emmène jusqu'au bureau où je vais m'entretenir avec le directeur que je connais déjà.

Y'a plus qu'à maintenant.

PDV LEWIS.

Le réveil sonne et m'indique que je dois me réveiller. J'ai la flemme, je déteste ce foutu machin qui fait beaucoup trop de bruit pour l'heure qu'il est. En plus je dois aller me faire interviewer comme d'habitude, et Dieu sait combien je donnerai pour que ça s'arrête. Mais, j'ai le meilleur métier du monde alors je ne me plains jamais en public. Je me lève du lit et prends les fringues que j'ai préparé la veille. Sauf que le « Monsieur Lewis d'aujourd'hui » a choisi que cette tenue ne va pas. Je mets alors dix minutes à choisir un putain de bas et des chaussures. Qu'est-ce que j'étais compliqué. Je descends dans le hall, dans la salle du petit-déjeuner, les managers devaient déjà avoir terminés puisqu'ils n'étaient plus là, j'attrape des pancakes et des flocons d'avoines,  en faisant ma petite photo pour Instagram, et regardais mon fil d'actualité, la tête ailleurs. Une photo d'Emma, je ne sais d'où, apparaît dans mes suggestions. Moi et Emma, ça a toujours été, comment dire, compliqué, on se connait depuis notre enfance, mais nous n'étions pas comme tout les gosses qui jouent ensemble. On était plus du genre à s'envoyer nos petites voitures à la gueule.

Emma est une magnifique brune aux cheveux longs bruns, des magnifiques yeux verts. Un sourire d'ange et ce que j'aimais sûrement le plus c'est ses fossettes, ça l'a rendait incroyablement sexy, et cela ne m'étonnes qu'à moitié si elle a posé pour bon nombre de magasines. C'est la légende de la photo qui m'interpelle, et je fronce les sourcils.

@emmercedes
- Ready to go in Mercedes AMG F1, and become the first girl in Formula One :) !

Pardon ? C'est elle qui allait remplacer Valterri ? Ramenez moi mon coéquipier, je préfère encore un mec qui est discret qu'une grande gueule comme Emma. Je le sens très mal, cette histoire, déjà que les rivalités sont dures en Formule Un, si je me retrouve avec une fille qui, rien qu'à sa présence, m'énerve, je suis mal barré. Je vois mon manager débarquer et s'installer à côté de moi.

- Bon, comme tu le sais Valterri n'est plus dans notre écurie, mais ce matin, Emma, que tu connais sûrement déjà, rejoins l'équipe. Il va sûrement avoir beaucoup de critique sur elle, sachant que c'est la première femme à rejoindre une écurie aussi haut gradé et une femme en F1, tu connais ton sport, tu sais ce qu'il va se passer. Je compte sur toi pour qu'elle s'adapte. Elle est douée, aucun doute là-dessus, ne t'inquiète pas, tu as un rendez-vous avec elle à 15h30, pour parler et qu'elle s'acclimate à l'environnement. Enfin tu sais tout.

Ça, je ne doute pas qu'elle soit douée.

- Ah, d'accord.. aucun problème. ajoutais-je.

Je le sens pas du tout cette histoire, je la déteste et elle me déteste, et on doit faire une équipe, une équipe qui gagne.

J'ai fini mon interview, et je me dirige vers le rendez-vous avec Emma. C'est la première fois qu'on se revoit depuis longtemps et la dernière fois, c'était déjà extrêmement tendu. Je me dirige vers le bâtiment quand je l'a vois arriver, en face de moi, elle et son grand sourire plaqué au visage qui me fait lever les yeux au ciel. Elle a ce don de m'agacer, quoiqu'elle fasse, et c'est la seule qui est capable de faire ça.

- Lewis Hamilton.

- Emma Lowers.

Elle me sourit hypocritement puis leva ses yeux en l'air, et je monte les marches, elle me suis et j'ouvris la porte ne la tenant pas pour Emma, ce qui l'a fait râler. Je compte l'a faire galérer jusqu'au bout. On discute pendant deux bonnes heures et on note quelques théories et idées de communications pour l'équipe que l'on présentera aux managers. Non, en réalité, on s'est engueulé parce que nous n'étions d'accord sur rien. Je l'a sens compliquée, cette année.

OMNISCIENT

Lewis pensa à Emma toute la nuit, Emma pensa à Lewis toute la nuit et les deux repartirent en pensant à leurs relations.
Malgré leurs airs de cons, ils s'aimaient.
Ça se voyait.

« L'AMOUR COMMENCE PAR LA HAINE »

...

-em'

-1315 mots.

// ce premier chapitre à été réadapté et corrigé selon mes goûts actuels et avec mes préférences, j'espère que ça vous plait, et love à ceux qui viennent d'arriver \\

Love Ya.