formule 1 // lewis [ RÉÉCRITURE ]

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lui : dommage pour toi, je compte bien rester la et parler"

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Je soupira et continua mes longueurs sans vraiment faire attention à lui.
Au bout d'un moment je m'arrête.

moi : tu vas vraiment rester là ? Parce que je suis capable de nager pendant longtemps jusqu'à ce que tu partes.

lui : j'suis pas pressé.

Je m'approcha de lui en restant dans l'eau et mis mes coudes sur le rebord de la piscine, tourna la tête vers lui et le regarda dans les yeux.

-qu'est ce que tu veux ?-lui demandais-je, toujours de mon air froid.

pdv lewis :

elle : qu'est ce que tu veux ?

Elle avait son air froid et je détestais quand elle parlais comme ça, car je savais que quand on s'engueulais, ça partais loin.

moi : juste qu'on parle. de cet après-midi.

Elle ouvra la bouche puis la referme avant de parler et de hausser le ton.

elle : QU'ON PARLE DE CET APREM ? J'AI RIEN À ME REPROCHER LEWIS, RIEN, JE TRAÎNE AVEC QUI JE VEUX, QUAND JE VEUX, OÙ JE VEUX OK ? C'EST PAS QUELQU'UN COMME TOI QUI VA M'EN EMPÊCHER. T'ES PERSONNE, PERSONNE. T'ES PAS MON PÈRE ET JE T'EN SUPPLIE JOUE PAS AU MEILLEUR AMI PROTECTEUR, J'AI 28 ANS PAS 14 MERDE. C'EST BON T'ES CONTENT, TU PEUX PARTIR MAINTENANT J'AIMERAIS BIEN FINIR MES LONGUEURS TRANQUILLE. ET PUIS TU SAIS QUOI NON, J'AI MÊME PLUS ENVIE.

Au fil de ses paroles, sa peau s'était teintée en une sorte de rouge pivoine, elle était énervée apparemment.

Elle sortit de la piscine en furie, me laissant seul, sauf que je la suivis et l'attrapa par le bras droit, et la fit se retourner.

moi : tu vas m'écouter maintenant.

elle : TU ME LÂCHES, LÂCHES MOI, JE VAIS PAS T'ECOUTER PARCE QUE J'EN AI RIEN À BATTRE DE CE QUE TU PENSES.

Je ne la lâche pas, la pris par l'autre bras et la claqua sur le mur.

moi : TU TE RENDS PAS COMPTE JE CROIS, JE TIENS À TOI BIEN PLUS QUE TU NE LE PENSES EMMA OK ? JE M'INQUIÈTE POUR TOI MERDE, J'AIME PAS DANIEL, J'AI PAS CONFIANCE C'EST POUR ÇA.

J'étais énervé, je la lâcha en la poussant, et je partis pour rentrer à l'hôtel, je me casse.

Mes jointures était blanches, et mes veines ressortait, j'avais mal à la tête et j'avais chaud.

Je rentra dans ma chambre d'hôtel, fis ma valise en moi de temps qu'il n'en faut pour le faire, attacha Roscoe a sa laisse et claqua la porte de la chambre.

Je rendis le pass a l'accueil, prévenu les managers que j'allais à ma maison.

J'avais une maison à Monaco, on avait une vue imprenable sur tout les toits.

Je pris ma voiture, une Porsche. Je fis monter Roscoe sur le siège passager, balança ma valise à l'arrière, je m'installa et ferma ma portière.