Le combat d'une vie (corrigé)

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Ça fait 3 fois que je dois réécrire ce chapitre car Wattpad me supprime mes améliorations. Donc pour la énième fois, j'ai beaucoup d'idées pour améliorer cette histoires et les persos changent un peu car ils ne me plaisent plus.

"Léo ! attend !" cria une voix suraigu derrière moi provenant de mon meilleur ami de toujours. D'ailleurs pour préciser, il a un an de moins que moi mais à sauté une classe donc on est dans la même classe et c'est un pur littéraire super fort en langue.

-Où vas tu ? les cours ne sont pas finis, il n'est que 14 heure, il nous reste français et allemand.

Dit ce dernier essoufflé de m'avoir couru après tel un titan. Il fait une tête de plus que moi ! c'est injuste !!

-Je rentre chez moi Alex, je ne me sens pas très bien, et puis entendre parler de Molière pendant une heure va vite me gonfler. "Aujourd'hui nous allons voir comment Molière dénonce la société de l'époque avec l'école des femmes, puis nous ferons un commentaire de texte sur une partie du livre", Dis-je en imitant la voix de notre très chère madame Calis. sans parler de l'allemand et cette vieille sorcière. Elle est terrifiante tu ne trouve pas ?

- D'accord petit renard, dit il en riant doucement, ça va sonner je lui dirais que tu as une gastro et que tu es rentré chez toi, à plus je passe te voir ce soir pour te passer les cours et avoir la vraie raison de ton départ.

- Merci, à ce soir petit crevetteau. (ça n'existe pas mais c'est son surnom)

-Je, ne, suis, pas, un CREVETTEAU !!!!

j'explosai de rire et parti vite fait bien fait en lui criant "petit crevetteau" vers le portail menant vers la liberté, qui pue la pisse et la drogue mais la liberté quand même. On ne va pas cracher dessus à cause de légers et tout petits détails tels que des dealeurs ou des mecs qui font genre "nous sommes plus stylés que toi car nous fumons et nous nous droguons" en oubliant le détails qu'ils vont également probablement mourir bien avant moi d'une overdose ou d'un cancer des poumons.

Je partis en direction de la base secrète du clan qui n'était rien d'autre qu'un vieil immeuble abandonné que nous nous sommes appropriés. Tous les étages étaient utilisés. En tant que jeune chef j'étais très inquiet. Je n'avais que 16 ans à l'époque et je commandais beaucoup trop de personnes à mon goût. Ils étaient 200 sous mon commandement en comptant les apprentis, les guerriers, les 3 guérisseurs et leurs apprentis mais environs 250 avec les reines, les petits et les anciens. Aucun de ces derniers ne peut se battre. Les petits apprennent à lire, à écrire et à parler avec les reines et les anciens vont chercher les provisions pour tout le clan sinon ils crient qu'ils sont un fardeau pour tous. Cependant, ils étaient tous à l'abri au dernier étage pendant que les autres étaient en bas en essayant de retenir les intrus.

L'on m'avait dit par message que notre clan se faisait attaquer. Durant tout le précédent cours, j'étais anxieux. J'ai donc décidé d'y aller le plus vite possible. cela faisait déjà 1 heure et demi que j'attendais la sainte sonnerie. J'avais peur, peur de me faire battre, peur de ne pas être capable de défendre mon clan et mes amis, peur de mourir et de perdre tous se qui me sont chers, peur de ce qui se passera une fois présent sur les lieux, que se passera t-il si j'arrive trop tard ? que devrais-je faire en cas de défaite ? Arriverais-je à temps pour être réellement utile ? Je me posais toutes ces questions pendant que je courrais vers mes amis et guerriers qui sont actuellement en détresse. Mais pourquoi ai-je si peur de mourir tout d'un coup ? je n'ai jamais eu peur de la mort, à moins que... Je sais pourquoi ! Alex est si important pour moi que si je meurs ils le tueront sûrement ou le kidnapperons et abuserons de lui. Ils pourraient s'en servir comme trophée, une preuve que j'ai échoué là où eux ont réussi.

J'étais arrivé sur les lieux, Je sortis mon kagune rouge et blanc en forme d'ailes et fonçais dans le tas pour attaquer tous nos ennemis en profitant de la confusion et de l'étonnement provoqué par mon arrivée soudaine. ils n'étaient pas beaucoup pour une fois mais on ne sait jamais qui ils sont ce n'est pas parce qu'ils sont peu qu'ils sont faible. C'est même probablement le contraire, il ne faut surtout pas les sous estimer. 

Au bout de quelques heures le combat est terminé et les ennemis ont enfin été remis à leur place. La queue pour se faire soigner était plus petite que d'habitude, cela est très bon signe à mon avis.

Je regarde l'état des étages qui n'est pas trop déplorable. Quelques meubles détruits, du sang, des corps... il n'y en aura que pour quelques heures de nettoyages et plusieurs jours pour tout remettre à neuf mais les chambres n'ont pas été atteintes. Certains guerriers déjà auscultés regardes tous les corps pour vérifier qu'ils soient tous bien morts, si certains sont encore vivants alors ils ont pour ordres de les éliminés avec un coup bref et rapide dans la nuque. Suite à ça je vis qu'il était 20h donc j'ordonnai aux apprentis guérisseurs de courir et d'acheter de quoi manger pour tout le monde et les anciens aidaient les reines à consoler les petits apeurés par ce qu'il venait de ce passer et tout ce raffut. Lorsque tout fût fini, je pris la route vers chez moi le plus vite possible pour que mon ami ne passe pas trop de temps devant mon appart.

Le combat d'une vie    -EN REECRITURE TOTALE-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant