Le combat d'une vie -EN REECRITURE TOTALE-

FIN DE LA PREFACE (réécrit)

Il y aura environ un chapitre par semaine. Ce sera seulement le mercredi soir. Ce chapitre à été complétement réécrit car il ne collait plus avec l'histoire et ne me plaisait plus. Je ne l'ai pas précisé mais dans cet histoire les gens ne guérissent et ne se soignent pas d'un coup il leur faut plus ou moins de temps comme des humains normaux.

Néanmoins, avant de partir j'avais vérifié que tous allaient bien et qu'ils étaient capables de se débrouiller seuls. Les anciens continuaient de jouer avec les petits pour tout leur faire oublier ou du moins pour le moment, les reines changeaient les lits et les remettaient en place. Les apprentis aidaient les reines dans leurs tâches tandis que certains guerriers colmataient les brèches dans le sol causées par les kagune de distances, ceux qui comme leur nom l'indiquent attaquent de loin et donc envoient des projectiles plus ou moins dangereux. Il y avait pas mal de trous dans le sol, il est donc plus fragile et cela peut être dangereux surtout si l'un des nouveaux nés essaye de marcher et tombe. Les guérisseurs s'occupent de faire disparaitre les corps en les mettant dans le garde mangé après préparation pour les conserver plus longtemps tandis que le reste des membres du clan devaient faire l'inventaire de tout ce qui été abimé ou détruit entièrement. Les apprentis guérisseurs sont toujours entrain de chercher des corps pouvant aider les blessés à guérir plus vite et à se remettre plus vite de leurs émotions. Je savais qu'ils ne mangeraient que lorsqu'ils auraient chacun finit leur tâche respective et également que lorsque je reviendrais il ne restera plus rien dans les frigos et qu'il faudra racheter du café en très grande quantité. 

Sur le chemin pour rentrer chez moi, je savais que j'étais suivis par quelqu'un donc je décida de faire un détour par le parc du centre ville, à cet heure ci il n'y aura personne et je pourrais parler à la personne qui me suis sans problèmes et la tuer si il le faut. Je longe la rue principale qui est fortement éclairée donc il ne risque pas de m'attaquer ici car trop de personnes pourraient le voir sans réels problèmes depuis leur maison ou appartement sans oublier qu'il y a encore des gens dans la rue. je tourna à droite pour me rapprocher du parc tout en restant sur une route fréquentée et lumineuse. J'atteignis le parc après de nombreux détours et des routes bondées prises à contre sens. Je décida de me faire une note à moi même "ne pas emprunter les allées principales le soir". Je m'éloigna du bord du parc pour m'enfoncer vers le milieu, là où il y avait moins de gens, de lumières et surtout là où il y avait une sorte de plaine plate, parfait pour se battre sans être repéré.

-QUI ES-TU ? je m'étais retourné d'un seul coup vers la personne lorsque j'avais senti qu'elle était à découvert.

La personne s'approcha de moi mains en l'air

- Déstresse gamin, je suis comme toi et je veux t'aider. il continuait de s'approcher doucement vers moi un petit sourire en coin. Quelque chose clochait.

-prouve moi ton honnêteté et j'y réfléchirais

-pour quoi faire ? tu n'es qu'un avortons. Je suis suffisament fort pour t'éclater ta petite gueule de vermisseau

Il me sauta dessus d'un coup lorsqu'il fût assez proche pour m'atteindre. Il sorti rapidement son kagune au moment où j'esquivais. Il m'avait pris par surprise mais cela me suffit pour comprendre qu'une discussion serait inutile envers un type de cette malhonnêteté. Il était prêt à me mentir droit dans les yeux puis de trahir sa promesse à la fin de sa phrase.

Je sortis mon kagune à mon tour et lui lança des piques pouvant le transpercer de part et d'autre si il se les prends bien. L'homme sauta vers moi et je le mit facilement à terre. Ce lamentable petit insecte de ghoul type queue (pas de détournement de phrase merci) était tellement faible qu'il n'en valait pas la peine. Heureusement que le combat ne s'est pas éternisé car je ne suis pas du tout endurant comme toutes les goules ailées me diriez vous mais je suis encore moins endurant que les autres cela vous donne un ordre d'idée de ma pitoyable résistance. 

Je le dévora vite fait bien fait sans laisser de traces et repartis en courant vers chez moi. Je vis mon ami assis sur les marches précédents ma maison.

-Désolé, ça fait longtemps que tu es là ?

En même temps que je lui parlais j'ouvrais la porte.

-Non pas trop juste trente minute ! Que faisait tu ? Je me suis inquiété idiot !

Il retirait ses chaussures et alla vers le canapé

- Pour la peine je reste dormir chez toi ce soir compris ? Et je prends ton lit na !

-Alex... T'abuses mais bon, je n'ai pas le choix, je dormirais sur le canapé et penses à fermer la fenêtre avant de te coucher sinon tu va avoir des tonnes de bestioles et tu vas encore me réveiller à trois heure du mat et je veux faire une nuit complète d'accord ?

-Promis, d'ailleurs j'ai déjà mangé donc je te prend un pyjama, je vais à la douche et je vais dormir donc tu ne vas pas dans la salle de bain ! Sinon je te pèle les fesses compris ?

-Oui oui promis aller dépêche toi je dormirais en caleçon par contre donc ne te fais pas d'image pas comme la dernière fois d'accord ?

-Oui !

Il partit en courant vers ma chambre puis repassa devant moi avec mon pyjama du Roi lion avant de s'enfermer dans la salle de bain pour se laver. Pendant ce temps j'avais balancé mes habits par terre et m'étais installé sur le canapé et un plaid pour me tenir chaud et mon coude pour servir d'oreiller. On se connait depuis la primaire et à l'époque ses parents étaient souvent absents donc mes parents s'occupaient de lui et avec le temps il a finit par être assez grand pour s'occuper de lui même sans aucune aide. Encore aujourd'hui il lui arrive de venir à l'improviste et s'installer pour dormir. Ces jours là je sais que mon pyjama du roi lion va disparaitre car c'est son disney préféré et qu'il me le pique toujours. Je finis par m'endormir bercé par le son de la douche.

Le lendemain je me réveille tôt car nous sommes mercredi et que l'on a la chance de ne pas avoir cours mais je veux profiter de ma journée pour faire le point avec le clan de ce qu'il nous faut. Je lui prépare un petit déjeuner, je prends mes affaires pour les mettre dans la corbeille à linge sale et toque à sa porte. Une fois... Deux fois... Trois fois... Pas de réponse, j'entre !

La fenêtre était ouverte et Alex absent de son lit. Je me mis à faire le tour de la maison en criant son nom et en l'appelant sur son portable. Son téléphone sonne dehors ! Il est là pas loin ! J'y vais et...

hihi à la semaine prochaine les gens ! (même si je sais que personne ne le verra)