Just for Him

# Chapitre quatre: #

J'allais décrocher quand l'écran de mon téléphone s'assombrit.

Merde.

Je souffle d'exaspération et le
déverrouille. Je tape machinalement les chiffres de son numéro. Numéro que je connaissais depuis bien longtemps par coeur....

Je m'appretais à lancer l'appel, quand l'appareil téléphonique se mit à vibrer.

Un sourire aussi long qu'un train apparut sur mon visage.
Sur l'écran s'affichait💞 Ma reine💞

A peine ai je porter le teléphone a mon oreille que je le retire

C'est la cacophonie de l'autre côté.

Sachant quels étaient les individus responsables de ce vacarme, je reporte malgré moi le téléphone à sa place initiale.

....: Ahh passe moi le téléphone. C'est moi qui l'ai pris la première crie une toute petite voix que je cherissait tant .

....: mais c'est moi qui suis né le premier. Pousse toi. Crie la voix qui appartenaient à mon petit prince💕

S'en suivit une série, de cris de petites tapes jusqu'à ce qu'une personne le leur prend.

Mama: Laël ! Laïra! Cessez votre cinéma. Ou sinon c'est fini le teléphone. Dit ma mère d'une voix ferme.

Laël et Laïra en coeur : c'est lui/ elle qui a commencer.

Mama: je veux rien savoir. En Taisez vous! Vous finirez par réveiller votre père.

Je vois deja la mine faussement attristée qu'ils étalent sur leur visages.Putain ces enfants sont des monstres😂😂.
Ils n'ont pas volé. On était pire Momo et moi😆😆. Ah la là l'époque.

C'est seulement quand J'éclate de rire que ma mère se rappelle de ma présence.

Mama: eh Allah mon crédit. Vous allez voir . fis t'elle d'une voix menaçante

Je suis comme une spéctatrice . J'etais habituer car les même scènes sont produisait tout le temps

Mama: allo?

Moi: Mama. Tu vas bien?

Mama: Par la grâce du Tout Puissant je vais très bien et toi ma fille? Tu rentres quand?

Moi: je te l'avais dit.Mon vol est dans pour trois jours. Moha et moi rentrons ensemble.
Comment va baba?

J'obtiens pour réponse un long soupir.
J'en déduis que son état ne s'était donc pas améliorer.

Je soupire à mon tour.

Moi: Avec l'aide de Dieu, il guerira. Il arrive encore à parler. Et c'est quelque chose.
Dis je d'une voix que je voulais joyeuse.
Au contraine elle fut pleine de trembelots.

Ma mère renifla tout doucement pour éviter qu'on ne l'entende et me dis

Mama: Qu'Allah veille sur lui..
Moi: Amine.

Ravalant mes larmes , je lui raconte certaines choses banales de ma vie et elle en fait de même en racontant la vie des gens du bled surtout des deux monstres qui n'y allaient pas de mains morte avec elle.

Contrairement à moi, il n'y avait même pas une once de timidité en eux.
Laira était a la fois  impulsive et posé.
Elle dégageait une si grande confiance en elle , pour une gamine de douze ans et demi qu'il m'arrivait parfois de l'envier.