De l'autre coté de la toile avec toi

chapitre 2

« je ne vois rien du tout , il fait noire , j'ai froid et faim, ma tete me fait mal , mais je me laisse aller comme d'ahabitude , alonger sur le sol en bétant je veux bouger mais je n'arrive pas , je ne peux pas , j'ai plus de force , physique et moral , alors le seul truc que je fait c'est réspirer le peu d'air qu'il y a dans cette éspace , réspire , éxpire , réspire ,expire , oh non encore se bruit , se bruit infernal, comme si en donne des coup sur un mur , ça ne veux pas s'arreter , je veux que s'assarete , car je sais ce qui vas se passé après cela , je ne veux , non pas encor une fois , alors je bouche mes oreiles , le plus fort possible , j'enfence mes majeur dans le pavillon de mes oreilles au point de me faire mal , et d'un seul coup le bruit s'arrete, non non non.... !!!, des bruit de pat se font enttendre , réspire éxpire , réspire , éxpire , mon rytme cardiaque s'accélere a une fréconce sur humaine , mes oreilles bourdonent , ma vision se floute , je voix encore une lummière se filtré a travère l'embrasure de la porte , les pats s'arrete il y a une ombre c'est encore lui , je le sais je le sens , j'entend le bruit des clefs et de la serure se qui me fait prendre consience que tout cela recommence , et je n'est pas d'autre choix que de me laissé aller, alors la lumière s'agrendisse et je vois l'ombre la meme ombre que d'habitude , je ne sais pas sur qu'elle rytme il viennent me prendre , chhaque 1heure , chaque jour , chaque semaine, j'en est aucunne idée j'ai perdu la notion du temps de puis biens longtmps, il avence vers moi, je veux crier mais je n'y arrive pas , ma gorge et trop seché , a oui c'est vrai j'ai soife , me cœur ne veux pas s'arrter de battre , a chaque fois quil prend cet rytme éfrené , j'ai l'impréssion qu'il vas s'arreté , je le souhaite , mais non , il ne s'arrete pas , jamais , je réspire necore et encore , j'y tiens car c'est le seul truc que je sais et peux faire ici , mais au moment ou il me prend dans ces bras et me porte, j'arrete , j'arrete tout mouvement , j'arrete de réspirer , je joue le mort , mais ça ne marche pas , il avance vers la port , mais je ne veux pas , je n'en peux plus , ça fait longtemps que je n'est pas pensé , je navais plus la force , au debut je me demonder pour quoi moi , pour faire quoi , je leurs poser des questions le leurs crier dessus , mais rien aucun mouvements de leurs part , le seul truc que j'ai réussi a faire c 'était de me fatigué , j'ai perdu éspoire , mais j'ai mal , j'ai telleement mal , j'ai un trou beant au fond de moi , a chaque pas qu'il fait , ma vision se trouble un peu plus , en traverse la le couloire lumine, au début je sens que c'est le couloire de la liberté , pas vrai ,lumière égale liberté , mais non pour moi il est obscure , je l'appele le couloire de la morte , et pour tant je ne meurs pas je le passe et re passe a chaque fois mais je ne meurs pas , et enfin , je vois une autre porte , il l'ouvre , encore de la lumière mais pas comme l'autre cela est naturel , je sens la chaleurs du soleil et puis plus rien »

Je me lève en sursot , il fait noir , je n'arrive plus a réspiré j'étouffe , je tourne la tete dans tout les sens , pour me retrouvé , a la recherche de tout indice pour reconnaitre le lieu , jusqu'à j'entend ,, le bruit d'une sirène de police , alors las je sens un pois se libéré en moi , je ne suis pas la bas , je suis chez moi dans ma chambre , sur mon lit , calme toi Rosalinda , calme toi , je ne suis pas la bas, réspire , éxpire , réspire , éxpire , je tremble, et je sens la sueure froid qui a mouiller mon t-shirt , alors je cherche a tatent avec ma mains l'intérupteur de ma lampe a chevé , elle est éteinte , pour quoi elle est eteinte, je ne l'éteint jamais ,j'aime etre dans le noir , je le touve enfin , j'appuis ,mais ça ne veux pas marché , je déduis alors que la lampe a cramé , alors je me penche de l'autre coté du lit , et alume l'autre lampe , enfin un peu de clarté , je mets mes mains face a moi et je les observe , je tromble moins que tout a l'heur , je dessine de mes yeux les ligne de la paume de ma main , c'est se que je fait a chaque fois , ça m'aide a e calmer, je respire un bon coup , je frote mon visage de mes deux mains , puis les passe sur mes cheuveux en arrière , et je me laisse tomber sur mon dos sur le lit , j'observe le plafond blanc de ma chambre , puis baisse les yeux sur le mur en face de moi, peint jusqu'au coins par mes propre mains, je suis chaque trace de peinture couleur par couleur , c'est un shèma , je shèma de mon ésprit , illisible , je suis la seul a le comprend , c'était le premier dessin que j'ai fait ,le premier changement que j'ai fait dans la quete de mon nouveau chez moi , ma bule , pour une personne de l'exterueur cela représente qu'une multitude de tache de couleurs ni coordoné , ni claire , ça ne représente ni un objet ni une personne , se n'est meme pas un dessin , c'est une carte , ma carte , mon mode d'emploi , en plus il n'y a aucun moyen que une personne peut le voir , ils ne pouront jamais y accédé , j'entend les bruit de la circulation des voitures , pas très n'embreux mais distinctible, je tourne la tete du coté du radio-révéeile , et les chiffres vers de couleurs indique qu'il est 03H27 , c'est presque l'heure , alors je me lève en direction de la sale de bein, j'alume la lumière , je part diréctement vers la benoire, sans jetter aucun regard au carlage blanc et jaune qui habille toute la sale de bein , je prette beaucoup attention au couleur , le premier truc que je fait pour définir n'importe qu'elle chose ou personne, au premier regard c'est préssisé sa couleur . jouvre le robinet d'eau chaude et j'attend que ça se remplice , pendant ce temps je me retourne face au miroir , j'enlève mon t-shirt ,mon bas de pyjama et ma culote , et de puis mes orteilles , je m'observe a travers le grand miroir , je scane chaque parcelle de mon corps, chaque milimetre carrès , jusqu'à la rassine de mes cheveux , je le fait a chaque fois , chaque jour, comme si mon corps vas changé un jour, après avoir fini mon inspéction je me retourne vers la baignoire, juste au bon moment comme toujour , des fois je me lasse de cette prévisibilité et des je impressionne le cerveau humain m'impressionne lui et son fonctionnement , l'habitude un mots qui exprime des avis bien partgés chez les autre , y a ce qui aime et se sente serein , et y a ceux qui ça les tue et les étouffes, enfin pour dire , je place ma jambe droite la première dans la baignoire pleine a ra bore , puis le reste de mon corps, la température de l'eau froide me donne la chère de poule, j'adore la réaction de ma peau quand elle sent un changement de température, allongé maintenant , plus rien ne se vois juste ma tète resté sur la surface j'observe mon reflet a travers les clapotis , je compte ;un deux trois .....dix j'inspire , j'absorbe d'un coup tout l'oxygénée qu'il y a dans la pièce au poins de sentir mes poumons me brûle , puis je j'engouffre tout mon cors sous l'eau , je ferme les yeux et j'essaye de me rappelé de n'importe quel détaille ou indices qui peux m'aidé a comprendre mes cauchemar , comme tout les jour, je ne trouve rien , alors j'ouvre mes yeux sous l'eau je vois a travers la lumière de ma salle de bain et le plat fond , et j'attend , j'attend de manqué de souffle, j'attend ce moment ou j'ai l'impression de mourir, et quand il vient, et je sens ma tete tourné, j'agrippe les bord de la baignoire avec mes mains et je m'extirpe de l'eau dans une poussé d'adrénaline j'inspire tout l'aire qui me manque, puis je reprend peux a peux mon souffle,c'est ce que je fais tout les nuits quand je me réveille d'un de mes rêves , j'aime cette sensation de vie et de mort, j'ai l'impression de contrôlé juste un peu ma vie de ne plus souffrir de ce vide , de cette peur, après m'être habiller d'un jean et d'une veste sombre que je ferme jusqu'au bout , je mets ma capuche et tire sur quelque mèches de cheveux pour caché mon visage , je prend mes clefs et mes étuis a peintures et je sors 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