Chapitre 8

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Je déposai mes sacs sur le trottoir. Je n'avais auncune idée où regarder et toutes ces distractions m'empèchais de me concentrer sur mon but premier: me rendre à l'université. New York c'était beaucoup plus grand que Toronto ou Altlanta. Il y avait a peine de la place entre les bâtiments et les voitures avancait à peine dans les rues tellement elles était bondées. J'agitai une main dans les airs pour essayer d'arrêter un taxi et un d'entre eux s'arrêta près de moi. Je déposai ma veste sur un poteau pour prendre mes sacs et les mettre dans le taxi. Le monsieur descendit de la voiture pour m'aider à ranger mes sacs. Lorsque je me retournai pour reprendre ma veste, elle avait disparue. Je regardai le chauffeur:

"Ou est passer ma veste?"

"Bienvenue a New York"

Il haussa les sourcils et retourna s'assoir sur le côté conducteur alors que je me frappai la tête, réalisant qu'on me l'avait volée. J'entra dans la voiture malgré qu'elle n'avanca pas à cause de la circulation trop dense. Je placai mes écouteurs dans mes oreilles et parcoura mes images dans mon téléphone. Je tombais souvent sur des photos de moi et Justin et chaque fois mon coeur se serrais. J'espèrais qu'il reponde au moins à ma lettre, j'esperais qu'il me répondre, qu'il me pardonne et qu'il ne m'oublie pas. Mes yeux se remplire de larmes et je secouai la tête en mordant mes lèvres pour ne pas qu'elles coulent. Je dirigea mon regard vers la fenêtre, examinant les gens qui marchait dans la rue. Il y en avait vraiment pour tout les genres. Il y avait autant des punks, des gothics, des gens super bien habiller et d'autre hyper pauvre qui recherchait de l'argent. J'étais triste pour eux.

Après 45 minute on arriva enfin a l'université. J'étais déjà 30 minute en retard et j'espèrais qu'ils allaient me laisser entrer. J'attrappa mes sacs et avanca devant les deux grandes portes vitrer qui menait à mon département. Je tendis la main pour l'ouvrir, mais elle était vérouiller. Je cognai, esperant que quelqu'un m'entende et vienne m'ouvrir, mais il ne restait plus personne dans les corridors. J'allais abandonner lorsque j'appercue un grand garçon aux yeux bleus et aux cheveux blonds. Il me souria en voyant que j'étais prisonnière à l'extérieur et je grimacai. Il ouvrit légèrement la porte, juste assez pour y passer sa tête et il me dit:

"Mot de passe."

"Quoi?"

Il haussa les sourcils.

"Le mot de passe."

Je croisai les bras sur ma poitrine et levant le sourcil gauche.

"On ne ma jamais parler d'un mot de passe."

"Ah bien tempis pour toi!"

Il allait refermer la porte lorsque je l'arrêtai.

"Arrête tes conneries, laisse moi entrer."

"C'est toujours pas ça."

Il me taquinai, le sourire aux lèvres alors que j'étais sur le point d'exploser. Je baissai les bras et pris un air de petite fille triste.

"Laisse moi entrer s'il te plait."

Il réfléchissait. Il serra les lèvres et plissa les yeux en m'examinant.

"D'accord, puisque tu es jolie je vais te laisser entrer."

Je souriai, contente de pouvoir enfin aller à l'intérieur lorsqu'il m'arrêta une autre fois.

"Laisse moi entrer s'il te plait, je suis épuisée..."

"Attend un peu je te connais?"

"Tu crois?"

"Oui oui, on s'est déjà croisé j'en suis sur...une beauté comme toi ne m'échappe jamais!"

Je sentais mes joues rougirent alors qu'il me regardait intensément pour essayer de se rappeler de moi. Soudain, j'eu un flash. 

"Je t'ai foncé dedans à Toronto je crois."

Son visage s'illumina.

"Voilà! Quelle coicidence! Si j'avais su que tu venais étudier a New York toi aussi!"

Il écarta la porte pour enfin me laisser entrer et il m'aida avec quelques sacs.

"C'est quoi ta chambre?"

"208."

"Alors je sais ou je passerai tout mon temps."

Je le regardai surprise et il me fit un clin d'oeil. Il était vraiment très charmant et son sourire aurait pu faire fondre l'Alaska au complet. Je mordis ma lèvres inférieur et replaca une mèche derrière mon oreille. 

On arriva finalement devant ma porte que j'ouvris doucement pour ne pas déranger ma colocataire qui si trouvait probablement déjà. Comme de fait, j'avais raison. Elle était assis à son bureau et elle travaillait à l'ordinateur. Elle ne pris même pas la peine de me dire salut alors je préférai simplement laisser mes sacs sur mon lit. Le garçon déposai le reste à côté de ce que j'avais déjà mis et reposa son regard sur moi.

"Je m'appelle Luke."

"Lexi."

"On se revoit bientôt Lexi."

"Oui, bonne nuit."

Il sortit de ma chambre avec un gros sourire et une boulle se forma dans mon estomac. Merde! Je courus vers la porte et cria dans le corridor:

"J'AI UN COPAIN!"

Il se retourna avec un gros sourire et me repondis:

"Je n'en doute pas!"

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Et il me revenu enfin.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant