À la vie, à la mort

Chapitre 1

22 Novembre                                                                                                                                                                   8h00 du matin                                                                                                                                                                                Paris 

Le matin se lève, doucement. Les oiseaux commencent à chanter devant les fenêtres. Les magasins ouvrent leurs portes. Le levé de soleil, rayonne sur le peu de neige qui est tombé cette nuit. Le ciel vire au rose ce qui réchauffe les cœurs de plus courageux qui sont sorti dehors pour marcher dans les rues ou dans le parc de Paris.  

Et moi, je regarde notre belle capitale par le balcon de ma chambre. Une brise, très légère me caresse le visage ainsi que mon corps couvert que d'un pull blanc et d'un pantalon noir qui colle à mes jambes.  Je n'aime pas vraiment mettre ce genre de pantalon car ils montrent un peu trop les formes de mes jambes à mon goût. Mais bon, c'est confortable alors, je fais avec. 

Je continuais de me perde dans mes pensées lorsque je sentis des bras m'entourer la taille. Je me retourne avec un petit sursaut de surprise. 

-Bonjour. Me dit avec un grand sourire Ethan. 

Je lui fais un petit sourire et lui embrasse doucement la joue.  

-Bonjour. Je réponds en le regardant dans les yeux. Déjà levé ? 

-Bien sûr ! 

Il pose délicatement son front sur le mien. Je regarde dans la profondeur de ses yeux bleu et lui dans mes yeux vert. 

Comme j'aime ces moments. Ethan et moi nous sommes ensemble depuis maintenant plus d'un an. On s'est rencontré au Lycée. On était deux ans dans la même classe mais on a pas vraiment fait attention à l'autre. Mais un jour, en cours de sport, on faisait du relay et je me suis écroulée au sol. Pas parce que j'ai trébuché et que je suis tombée comme un vieux sac poubelle. Non, parce que mon corps n'en pouvait plus. Et c'est à ce moment là, que je l'ai vus. Il a été le seul à voir que je n'allais pas bien. Les autres eux s'amusaient à se moquer de moi. Après, être arrivé au près de moi, il m'a demandé si j'allais bien mais je n'avais pas pus lui répondre. Je sentais que j'allais m'évanouir. Et, c'est ce que j'ai fais. Tout ce que je me r'appelle ensuite, c'était que j'étais à l'hôpital. Depuis ce jour, nous nous somme plus jamais quitté. 

-Viens j'ai un truc à te montrer. Me dit doucement Ethan. 

Il me prend la main et m'emmène à l'intérieur. J'ai crus rêver ! Un merveilleux petit déjeuné est posé sur le lit. Tout les éléments pour un petit déjeuner d'hiver parfait s'y trouvent. 

-C'est toi qui a préparé tout ça ? Je lui demande un peu étonnée. 

-Je t'avoue que j'ai un peu été aidé par le boulanger. Me dit t'il en se grattant la nuque. 

Je lui fais un gros câlin et m'assoie sur le lit en douceur. Ethan, s'assoit juste devant moi. Je baisse la tête vers ce magnifique petit déjeuner. Je ne sais pas par quoi commencer. 

-Mély. Me dit Ethan. 

Je lève la tête. Il me tend une grosse boite enveloppée d'un papier cadeau blanc. Je le prends doucement en lui faisant une tête interrogatrice.   

-C'est aussi de la part du boulanger ? Je lui demande en rigolant. 

Il rigole aussi puis nos yeux se croisent. On a eu un arrêt.

-Aller, ouvre. Insiste Ethan, impatient. 

Je lui souris et ouvre délicatement la surprise que mon petit ami m'a faite. Je pose ma main sur ma bouche, surprise, quand je m'aperçois que c'est une boite de chaussures. Je l'ouvre et découvre une merveilleuse paire de Puma Suede heart grise avec des lacets blanc. Je suis aux anges !

-Joyeux anniversaire, mon cœur ! Me souhaite joyeusement Ethan. 

- Comment tu as su, que je voulais trop ces chaussures ?  Je lui demande surexcité. 

-Peut être parce que à chaque fois que nous passions devant un magasin tu étais en admiration. Alors je ne sais pas, j'ai eu un pré-sentiment. Plaisante Ethan. 

Je lui tire la langue et lui saute dans les bras. Je suis vraiment trop heureuse ! Il sait tellement comment me faire plaisir. 

Après cette merveilleuse surprise. On a commencé à mangé, en se parlant de tout et de rien. 

-En faîte, Noah, veut qu'on vienne chez lui. Me dit-il. 

Je le regarde la bouche plaine. Et, je lui fais signe d'attendre deux secondes, le temps que je finisse ma bouche. 

-D'accord, il est sympa Noah. Je lui réponds simplement. 

Il me regarde interrogateur. 

-On peut y aller, c'est vrai ? Me demande t'il avec une moue d'enfant. 

Je secoue la tête positivement, la bouche encore rempli de nourritures. Ethan me sourit, très joyeux de ma réponse. 

Quelques minutes plus tard, après avoir bien mangé et bien rigolé. Je me lève pour ranger, Ethan vient vite m'aider. 

Nous rentrons dans la salle à mangé/cuisine qui sont très petites. Après, tout, nous sommes étudiants, alors nous roulons pas sur l'or. Mais, nous nous débrouillons avec nos petits boulots d'étudiants. Lui ai vendeur dans une boutique de vêtements et moi je fais du baby-Sitting. Des jobs d'universitaires quoi. 

-On y va quand chez Noah ? Me demande Ethan en déposant la vaisselle dans levier.  

-Pourquoi, pas aujourd'hui ? Je le questionne. 

-Tu es sûr ? M'interroge t'il. 

-Oui, je vais pouvoir essayer mes nouvelles chaussures ! Je lui réponds toute excitée.  

Il rigole à ma réflexion. On finit de nettoyer puis on se dirige vers la salle de bain pour qu'on se prépare. Une fois cela fait je mets mes magnifiques nouvelles chaussures et nous partons. Sur le trajet vers la station du métro. Parce que oui, nous n'avons pas de voiture. Ethan me raconte quelques anecdotes hilarantes sur Noah. Enfaîte, pour éclaircir le sujet, Noah est le meilleur ami de Ethan. C'est un chanteur et danseur très connu dans le monde entier. 

Quelques minutes plus tard, nous arrivons à la station de métro. Nous prenons nos tickets, puis nous attendons le prochain métro pour le seizième arrondissement. Avec Ethan, nous parlons de tout et de rien comme à notre habitude. Cela peux passer de la couleur d'un pantalon à l'histoire d'un auteur très connu. 

Lors d'une discussion du dernier livre que j'ai lus. Le métro est arrivé. On est donc rentré à l'intérieur. 

Même si je pense que l'on n'aurait pas dû.