Chapitre 8 : La veille du départ

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Dimanche 18 juin : 16h43

Moi : Mike ce soir on se couche pas trop tard pour être à l'heure demain.

Mike : Ouais enfin moi faut que je finisse de réparer ce fichu mur !

Moi : Tu peux t'en prendre qu'à toi même.

Mike : Je sais mais t'es pas obligé dans rajouter une couche, tu te rends pas compte de la difficulté que de réparer un mur.

Moi : Si tu l'as casser rapidement tu peux le réparer tout aussi rapidement.

Mike : Non, bon laisse moi bosser tu me perturbe.

Moi : Oui papa, dis-je rigolant.

Je me mets devant mon ordi à regarder des vidéos. Soudain mon téléphone sonne, je mets pause et réponds à l'appel.

Moi : Allô ?

Policier : Bonjour, pouvez-vous venir au commissariat toute suite ? Le commissaire Durin voudrait vous parler.

Moi : Oui bien sûr, j'arrive toute suite.

Je raccroche et prends mes affaires.

Mike : Qu'est ce que tu fais ?

Moi : Je vais au commissariat, ils viennent d'appelé.

Mike : D'acc, à toute.

Au commissariat

Moi : Bonjour, je viens voir le commissaire Durin.

Policier : Suivez-moi.

Il ouvre la porte et la referme une fois que je suis entrer.

CD : Bonjour, asseyez vous.

Moi : Merci.

CD : Bien, l'enquête avance. Nous avons convoquer Olivier Brepart.

Le coupant

Moi : Il a dit quoi ?

CD : La seule chose qu'il nous a dit est : "Cette femme a tué ma femme". Nous avons essayé à plusieurs reprises de nous dire pourquoi mais ils a toujours refuser de répondre.

Moi : Vous l'avez mit en cellule de toute façon.

CD : Non, bien sûr que non. Nous avons aucune preuve contre lui. Nous étions obliger de le relâché. Nous n'avons pas le droit de garder un homme sans aucune preuve contre lui.

Moi : Mais vous pouvez le convoquer à nouveau ?

CD : Malheureusement non, il est parti en voyage depuis une semaine.

Moi : QUOI !? ET C'EST QUE MAINTENANT QUE VOUS ME LE DITES. IL EST PARTI OU ?

Je hurle mes mots.

CD : En Amérique.

Moi : Où ?

CD : A Neywark rejoindre son oncle vous le connaissez surement. Il joue dans la série "Chicago Fire".

Moi : PEUT-ETRE  MAIS JE M'EN FICHE ! VOUS AVEZ INTERET A RETROUVER LE MEC QUI A TUE MA FEMME. COMMISSAIRE DE MERDE !!!

CD : Monsieur attendez. Nous faisons notre possible pour retrouver votre femme.

Moi : Laissez moi !!

Je pars en claquant la porte.

Policier : Vous voulez un café ? demande-t-il si gentiment

BouleversementOù les histoires vivent. Découvrez maintenant