Chapitre 17 : Qui sont-ils ?

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Moi : Bonjour Mme Lelor.

Angélique : Ce n'est pas que je t'aime pas, mais qu'est ce que tu fais là ?

Moi : Je dois vous parler, vous et votre mari. C'est assez important.

Angélique : John, tu sais très bien que mon mari ne t'accepte pas il ne voudra jamais que tu rentre dans cette maison.

Moi : Je vous en prie, j'ai fais le voyage jusqu'ici pour le dire. Seul moi le sais dans votre famille.

Elle réfléchit, puis reprends la parole.

Angélique : C'est d'accord, je vais essayer de calmer la haine qu'à mon mari sur toi.

Moi : Merci Madame.

Elle me dit d'entrer, et j'entre. Elle me dit de m'asseoir sur le canapé mais au même moment une porte s'ouvre.

Vincent : Où j'ai mis mon dossier ? Hmm, il est dans le sal...

Il ne m'a pas vu...Je commence à stresser de plus en plus. John respire tout va bien se passer.

Vincent : Vous ! Qu'est ce que vous faites ici !? dit-il en me remarquant.

Moi : Je...

Je me fais couper par Angélique.

Angélique : Chéri, je dois te parler.

Ils s'éclipsent.

Vu la réflexion de Vincent, il ne m'a pas oublier... Je sais pas si c'est rassurant ou non ?

Ils reviennent et s'assoient sur le canapé à mes côtés.

Angélique : Alors que voulez-vous nous dire ?

Vincent : Oui, pour que tu reparte le plus vite. dit-il d'un ton froid.

Angélique : Vincent !

Moi : Euh et bien, votre fille Andréa comme vous devez le savoir est parti me rejoindre à Séoul, sauf qu'un jour, je l'ai retrouvé dans un parc parterre la bouche en sang.... Elle venait de se faire tabasser. Je l'ai emmener à l'hôpital et le lendemain, un médecin m'a appeler m'annonçant qu'elle s'est fait poignardé... Les médecins vous on appeler plusieurs fois par jours mais personne ne répondait. Comme j'étais là seule personne qui est répondu à cet appel, ils m'ont dis de vous l'annoncer... Je suis désolé, toute mes condoléances.

Je vois la tête d'Angélique se décomposer, et celle de Vincent se crisper.

Angélique : Ma fille !!!

Elle part en pleurant. Je regarde l'homme qui n'est même pas un peu triste de perdre sa fille.

Moi : Vous n'êtes même pas un peu triste de savoir que vous n'avez pu d'enfants et que c'est deux sont morts ?

Vincent : Non pour trois raisons.

Il se rapproche de moi.

Vincent : La première parce que je sais que c'est toi la tué, la deuxième parce qu'elle m'a dit avant de partir que si tu l'as rejetterais elle se poignarderais, et la troisième parce que je ne montre pas ma faiblesse devant un homme qui tue mes filles.

Moi : Que quoi ??

Je me sens faible à sa présence...

Vincent : Je sais que si ma fille est morte c'est à cause de toi, et ça ce n'est pas une preuve ?

Il sort un papier de sa poche.

Je le reconnais ! C'est la lettre que le médecin devait m'envoyer.

BouleversementOù les histoires vivent. Découvrez maintenant