Bouleversement

Chapitre 12 : Des amis hors de prix

15h09

Cela fait déjà 5 min que nous quatre nous nous regardons dans le blanc des yeux sans bouger. Quelques secondes plus tard, Inès brise ce silence.

Inès : Alors comme ça c'est toi Andréa. La petite d'1m60.

Andréa : Oui et toi t'es qui pour me juger !? dit-elle d'un ton froide.

Inès : La sœur de John.

Andréa : Oh, alors c'est toi l'invité qu'il manquait au mariage de John et Tiffanny. Mais encore ça tout le monde s'en fiche, tu ne manquais à personne même pas à ton frère. Le pire dans cette histoire c'est que c'est moi qui à dû le réconforter vu que toi tu n'ai pas venue. Qu'est ce qui pouvait être plus important que le mariage de ton frère ? Dis le moi parce que je ne vois pas.

Inès : Je travaillais.

Andréa : Ah oui évidemment j'aurais dû m'en douté. Tu préfère coucher avec des hommes inconnus qu'être au mariage à ton frère pour le félicité. C'était pourtant tellement évident pour ton cas.

Le ton commence à monter entre les deux femmes.

Inès : Je rêve ou tu me traite de pute !?

Andréa : C'est bien, tu comprends vite.

Je me retiens de l'a frapper.

Elle est qui pour insulter ma sœur !? Personne.

Inès : Non mais tu t'es regardé ? Franchement j'aurais été un mec jamais je voudrais coucher vu à quelle point tu es repoussante et tu vois ça c'est ce que pense mon frère de toi.

Andréa : Sauf que ce que tu à dis ne dis pas que je suis une pute alors que toi tu t'es braquer ça veut dire que tu t'es senti vexé. Et personnellement ce n'est pas de ta faute mais plutôt de l'éducation de ta mère. Après c'est peut-être elle qui t'as tout appris.

Inès : PERSONNE N'INSULTE MA MÈRE  !!

Une fois je me retiens, deux fois je refuse surtout si il s'agit de ma mère dont on parle.

Je frappe Andréa.

Fille ou pas fille, le coup il part.

Je lui cogne le visage, tandis qu'Inès en profite pour lui mettre un coup de pied dans le ventre ce qui l'a fait tomber par terre. Je l'as prend au col pour l'a relever.

Moi : Je t'avais dis que la prochaine fois qu'on se verrait, je ne te dirais pas que de simple parole.

Je m'apprête à l'a frapper au visage mais Inès m'en empêche.

Inès : Attend.

Moi : Quoi ?

Elle lui crache au visage.

Inès : Tu peux y aller.

Je l'as frappe à plusieurs reprises et l'as jette parterre. Mike lui est assis sur un banc à admirer le spectacle. Je lui dis de se lever et nous reprenons notre promenade en rigolant. Je me retourne et vois Andréa la bouche en sang parterre immobile.

Franchement, ça ne me fais ni chaud, ni froid elle l'a mérité.

Nous rentrons à l'appart'. 5 min plus tard mes parents m'appellent sur Skype, je décroche.

Évelyne  : Coucou mon chéri, j'ai une bonne nouvelle.

Moi : Vas y. dis-je un peu froid.

Évelyne : Ton père et moi allons venir te rejoindre en Corée. C'est super non ?

Moi : Hors de question ! dis-je encore plus froid.