Saphael Tome 2- Volte-face d'un coeur

Chapitre 5 (! Lemon! Vous êtes prévenu)

-Et si on prenait notre soirée, on a besoin de repos tous les deux, Proposais je

-Tu es bizarre aujourd'hui Simon

-Je ne vois pas en quoi c'est bizarre de nous accorder une soirée et de profiter de ton corps toute la nuit.

Je m'avançais vers lui et le pris par les hanche. Si ça devait être ma dernière nuit avec lui, elle serait inoubliable.

-Je trouve juste que ça ne te ressemble pas de prendre du repos en plein milieux d'une enquête et ça te ressemble encore moins de me faire des avances. Celui qui fait des allusions au sexe, c'est moi normalement.

-Raphael, toi, tu es aussi froid qu'un glaçon et moi je suis chaud comme la braise.

Je couvrais son cou de baisers puis remonter jusqu'à sa gorge. Je savais qu'il n'allait pas résister. Je descendis mes mains de son dos et les passaient sous sa chemise.

-Raphael, j'en ai assez des baisers et des câlins, je pense qu'il est temps qu'on monte au niveau supérieur.

-Tu veux dire qu'on monte dans mon appartement.

- Aussi mais je voulais surtout dire que j'avais envie de connaitre plus en profondeur, si tu vois ce que je veux dire.

-Simon tu en es sur, tu n'as jamais eu de relations sexuelles avec un homme, on peut très bien rester au stade flirt poussé, ça ne me dérange pas. J'aime parcourir chaque centimètre de ton corps.

-J'en ai envie Monsieur le roi des vampires, j'ai envie de te sentir en moi.

Avant que je ne parte, mais ces derniers mots ne sortir pas de ma bouche, cette nuit resterait gravée dans ma mémoire pour toujours je le savais. 

-Très bien Simon, on va se réserver notre soirée. Il m'embrassa et me prit la main pour m'emmener dans ses appartements qui étaient devenus les notre depuis peu.

A peine avait on fermé la porte qu'il commença à m'enlever ma chemise toute en m'embrassant. Ses baisers étaient plus passionnés que d'habitude comme si il connaissait mon plan. Il m'enleva ma chemise et fit courir sa bouche le long de mon torse en descendant et remonta.

-Tu es sur de toi Simon.

-Oui, soufflais je à son oreille.

J'avais besoin de sentir son torse nu contre le mien, de le toucher, de l'embrasser comme si ma vie en dépendait. Je commençais à le déshabiller, cette chemise avait décidément trop de bouton à mon gout mais je réussis quand même à lui enlever.

-Il est plus facile de descendre la fermeture d'un robe que de déboutonner une chemise n'est pas ?, se moqua-t-il de moi .

-Tu pourrais mettre de t-shirt ça serait beaucoup plus facile

-Mais je serais beaucoup moins sexy qu'avec une chemise.

-Assez parlé Baby vamp.

Je sentis ses mains se diriger vers mon pantalon, il continua de m'embrasser, je pouvais sentir ses crocs contre ma peau.  Il glissa sa main dans mon boxer, il effleura mon sexe en me regardant droit dans les yeux, puis le pris à pleine main.

-Ne ferme pas les yeux Simon regarde moi

Je vis sa bouche descendre le long de mon torse , il s'arrêta le temps de quelque seconde me regarda, et pris mon sexe dans sa bouche. Mon dieu, ce n'était pas la première qu'il me faisait une fellation mais à chaque fois je ressentais se désir réchauffer tout mon corps. Il s'amusait à me rendre fou , il faisait glisser ça langue le de ma queue en érection avant de reprendre les va et viens dans sa bouche. Je sentais ses mais sur mes fesses, ses caresses, quand je sentis un doigt au niveau de mon anus, je me tendis.

-Ne t'inquiète pas, je serais doux comme un agneau.

Il se releva et en leva son pantalon. Son excitation était évidente, la toute suite mon cerveau me criait "ça ne va pas rentrer qu'est que tu fais". Raphael du sentir ma peur et mon hésitation.

-Simon , si tu veux arrêter à tout moment, tu n'auras qu'à me le dire d'accord. Je ne te forcerais à rien.

J'avais confiance en lui, je lui aurais confier ma vie, c'était l'homme que j'aimais , que je désirais, je ne ferais pas marche arrière à cause de ma peur.

Raphael m'embrassa avec délicatesse et me poussa vers le lit. Il ouvrit le tiroir de la table de chevet et pris un flacon; il déposa le contenu dans sa main.

-Ça risque d'être une peu froid Simon mais c'est la première fois tu as besoin d'être préparer.

Si j'avais eu un cœur que battait encore, il battrait surement à mille à l'heure. Je sentis sa main, il avait comme une huile dessus? Il caressa l'entrer de mon anus de son pouce et commença à rentrer un doigt. La sensation était étrange mais pas désagréable. Il fit des aller et retour avec son doigt pour me détendre puis il entra un deuxième. Il s'arrêta puis continua ses caresses, je sentais une vague de désirs montait en moi, j'avais tellement envie de lui, là maintenant.

-Raphael je t'en pris.

-Que veux tu Simon ? Dis le moi , je veux l'entendre.

Même au lit il faisait preuve d'autorité, dominant dans tous les domaines.

-Prend moi Raphael maintenant, soufflais je.

Je n'en pouvais plus, j'avais besoin d'assouvir ce désir. Raphael pris mes jambes pour le mettre sur ses épaules, et je le sentis s'enfoncer en moi. Je ne pu retenir mes gémissements, ce qui l'incita à accélérer ses mouvements.

-Simon, ça faisait tellement longtemps que j'attendais ça. Je ne me lasserais jamais de t'entendre gémir comme ça, murmura-t-il à mon oreille, laisse moi te mordre Simon.

-Tu es insatiable

-Seulement quand il s'agit de toi, laisse moi faire, tu ne le regrettera pas.

Je n'avais pas la force de lui répondre, je l'embrassais juste pour l'inciter à poursuivre. Je sentais ses canines sur mon cou puis je les sentis me transpercer. Un vague de désir me traversa le corps , un cri de plaisir m'échappa.

- Jouis pour moi Simon.

Je ne contrôler plus mon corps, il ne réagissait plus qu'à Raphael. Je sentis l'orgasme montait en moi et sentis un liquide chaud se déverser sur mon torse. J'ouvris les yeux Raphael me regardait brillant de plaisir et je le vis jouir à mon tour, il était magnifique. Cette image allait rester graver dans ma mémoire à jamais. Raphael s'effondra sur moi avec un sourire satisfait.

- Je crois que je ne me lasserais jamais de ton corps Baby vamp.

J'étais heureux à ce moment là mais je me détestais comment allais je réussir à le quitter après ça. Mon corps ne voulait pas quitter ses bras tout mon être me disait de rester près de lui.