Désespoir !

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Autrefois, j'avais l'impression d'être traiter comme une princesse, que rien ne pouvait m'atteindre car j'étais porter au sommet, j'avais ma place, que j'étais si bien , heureuse, joyeuse et pleine de vie. Ma famille, ma sœur que j'ai retrouvé me faisait toujours rire, partager des souvenirs et bien plus... J'étais coller à elle, comme une sœur siamois, ou plutôt ma sœur tout court même si nous ne sommes pas du même œuf. Tu me portais à bout de bras, quand j'avais la force, j'étais capable de soulever des montagnes pour toi, te rendre ceux que tu me donnais avec mes moyens. Même si j'étais faible, naïve, je pouvais le faire et parfois j'étais maladroite, tu arrivais quand-même à percevoir tout ceux que je faisais.

Depuis quelques jours, je n'y arrive plus à faire face aux épreuves de la vie, aux changements et à l'acceptation. Nous faisons chacun des choix comme disait beaucoup! J'ai respecté mais au fond de mon cœur, je me suis senti malheureuse et abandonner. J'ai été comme couvé, dans le sens où tu étais comme une maman qui protéger ces petits, j'ai été vers la première ranger, tout au chaud. Et après dans ma tête, j'ai eu l'impression d'avoir été placer dans des rangées plus éloigner, si loin que mon œuf devenait mauve, bleu glacé, fragile et cassant.
Abandonner est pour moi le sentiment que j'ai connu depuis toute petite, sans le vouloir ni pouvoir y faire quoi que ce soit. Depuis toujours , j'ai cherché ma place auprès des gens, auprès des amies que j'essayais d'avoir pour faire les mêmes choses comme tout le monde. Autrefois, ma maman était la seule à me réconforter, me parler, me donner une place dans son cœur même si elle était malade. La maladie, je la connaissais mais autrement, c'était psychologique. L'angoisse d'être perdue, rejeter mais toi maman, c'était la vie qui voulait me prendre à moi.

Tout ça pour dire, qu'après des jours, j'ai comprise que ce n'est pas un abandon, c'est un choix que je dois accepté que tu retrouves tes anciennes copines. Tu es heureuse, épanouie et c'est pour moi le principal. Tu dois les protégés de la tempête, des intempéries de la vie et fais attention aux obstacles.
Je te souhaite simplement le bonheur de voler de tes propres ailes et avec tes petits.
Si parfois, tu ressens de la pluie, ne m'en veux pas, c'est juste moi qui a pleuré les larmes de mon cœur. De temps en temps, il y aura un beau soleil au dessus de ta tête et tu iras loin pour les emmenés avec toi et pouvoir les nourrir, construire tout ceux qu'ils auront besoin pour faire face à tout ceux qui pourrait avoir de mal dans la vie pour ne pas qu'on casse leurs œufs.



 Moi Lucie Où les histoires vivent. Découvrez maintenant